Progression EDC de Callaghan
Progression EDC de Callaghan
#1Date: Mardi 29 mai 2007
Sujet: Déroutement TACAN et atterrissage de nuit
Moniteur: Markus
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.09
Hier soir sortie de nuit avec Callaghan pour un strike sur Mostar, et un attero sur Pada.... (j'ai oublié).
Callaghan possède sur le bout des doigts toute la théorie de l'utilisation du HSI.
Il connait les modes d'utilisation du TACAN, autant par une utilisation DED que sur Backup.
Aucun problème du coté de l'instrumentation. Il n'y a aucun doute sur sa lecture à lire les indications du HSI.
Seulement voilà, une fois dans l'action, Callaghan a eu tendance à perdre le control du vol par rapport à son HSI, et par rapport à son point target.
Hier soir, la première utilisation TACAN était d'attaquer Mostar qui est sur un axe au 340°. Le waypoint IP était saturé de manpads et autres conneries mortelles. Il était donc impossible de se laisser glisser sur le rail du plan de vol, et trouver une autre solution d'approche pour le Strike. Je nous déroute à l'écart de l'IP vers le 90°, pour ensuite reprendre vers le 340° jusqu'à 10 nms du target.
Je lui annonce de prendre la manoeuvre d'alignement dans l'axe de la piste de Mostar par les données : cap au 250° / radial au 340° pour une main droite à 10nms target. Et là.... .
Je pense que Callaghan devait être un peu fatigué, et j'ai dû reprendre les choses en main car à 530kts, et à 21 nms de la cible, il faut faire vite.
Cependant, j'ai très bien ressenti que Callaghan, avec un peu plus de distance et donc de temps pour utiliser le HSI aurait sû le faire correctement.
C'est pourquoi j'ai beaucoup hésité à lui validé. Je rappelle qu'il faisait un noir d'encre... . Un peu de panique je pense... .
Ensuite, atterissage sur une base de déroutement, là aussi pas de problème pour nous amener sur la base à l'aide du TACAN. Seulement, et là je ne comprends toujours pas, j'ai vu la radiale TACAN nous traverser sans que Callaghan ordonne le virage de mise en approche dans l'axe, et passage sur ILS/TCN pour la pente.
Bref, on a dû faire demi-tour pour revenir sur la base de déroutement, mais à 1 nm de la base, Callaghan nous annonce "flame out" et s'écrase à 500 mètres du seuil de piste.
Si au premier passage radiale sur la base de déroutement tout c'était bien passé, il se serait posé sans être à court de carburant.
La prochaine sera la bonne !!! .
@+Markus
Sujet: Déroutement TACAN et atterrissage de nuit
Moniteur: Markus
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.09
Hier soir sortie de nuit avec Callaghan pour un strike sur Mostar, et un attero sur Pada.... (j'ai oublié).
Callaghan possède sur le bout des doigts toute la théorie de l'utilisation du HSI.
Il connait les modes d'utilisation du TACAN, autant par une utilisation DED que sur Backup.
Aucun problème du coté de l'instrumentation. Il n'y a aucun doute sur sa lecture à lire les indications du HSI.
Seulement voilà, une fois dans l'action, Callaghan a eu tendance à perdre le control du vol par rapport à son HSI, et par rapport à son point target.
Hier soir, la première utilisation TACAN était d'attaquer Mostar qui est sur un axe au 340°. Le waypoint IP était saturé de manpads et autres conneries mortelles. Il était donc impossible de se laisser glisser sur le rail du plan de vol, et trouver une autre solution d'approche pour le Strike. Je nous déroute à l'écart de l'IP vers le 90°, pour ensuite reprendre vers le 340° jusqu'à 10 nms du target.
Je lui annonce de prendre la manoeuvre d'alignement dans l'axe de la piste de Mostar par les données : cap au 250° / radial au 340° pour une main droite à 10nms target. Et là.... .
Je pense que Callaghan devait être un peu fatigué, et j'ai dû reprendre les choses en main car à 530kts, et à 21 nms de la cible, il faut faire vite.
Cependant, j'ai très bien ressenti que Callaghan, avec un peu plus de distance et donc de temps pour utiliser le HSI aurait sû le faire correctement.
C'est pourquoi j'ai beaucoup hésité à lui validé. Je rappelle qu'il faisait un noir d'encre... . Un peu de panique je pense... .
Ensuite, atterissage sur une base de déroutement, là aussi pas de problème pour nous amener sur la base à l'aide du TACAN. Seulement, et là je ne comprends toujours pas, j'ai vu la radiale TACAN nous traverser sans que Callaghan ordonne le virage de mise en approche dans l'axe, et passage sur ILS/TCN pour la pente.
Bref, on a dû faire demi-tour pour revenir sur la base de déroutement, mais à 1 nm de la base, Callaghan nous annonce "flame out" et s'écrase à 500 mètres du seuil de piste.
Si au premier passage radiale sur la base de déroutement tout c'était bien passé, il se serait posé sans être à court de carburant.
La prochaine sera la bonne !!! .
@+Markus
#2
Un peu de fatigue un peu de stress et hop ! tout foiré
Y'a des jours comme ca ou tout va pas comme on le voudrait .
C'est pas grave je ferai mieux la prochaine fois! (au vu de ma perf je peux faire que mieux ...)
Et un grand merci aux buzzards qui m'ont accompagné lors de ce vol.
PS : L'attero était prévu sur Podgorica
Y'a des jours comme ca ou tout va pas comme on le voudrait .
C'est pas grave je ferai mieux la prochaine fois! (au vu de ma perf je peux faire que mieux ...)
Et un grand merci aux buzzards qui m'ont accompagné lors de ce vol.
PS : L'attero était prévu sur Podgorica
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#3
Date: vendredi 20 juillet 2007
Sujet: Air-air niveau 2: canon
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Hop, ce vendredi Callaghan débutait dans l'ordre le niveau 2, par le maniement du canon.
Nous commençons par nous assurer que Callaghan utilise bien les fonctions "TMS-up" et "TMS-down" pour verrouiller et déverrouiller ses cibles, parce qu'elles sont nettement plus pratiques que les fonctions "radar lock" et "radar return to search" dans la mesure où une fois en mode de surpassement Dogfight ces fonctions permettent en outre de passer du sous-mode ACM Bore au sous-mode ACM 10x60.
On discute d'ailleurs ensuite un peu de ces modes ACM, et de leur utilité, et j'en profite comme toujours pour insister sur l'utilité du mode de surpassement Dogfight comparativement au mastermode air-air, puisqu'il permet d'abord une plus grande rapidité de réaction, et ensuite il permet de disposer en même temps de repères de visée du canon et des Sidewinders, ce qui est très important. En effet, ces deux armements ne s'excluent aucunement, et le canon n'est pas un simple système de secours lorsque tous les missiles ont été tirés: en dogfight on se retrouvera souvent dans des situations où le tir canon ne sera pas possible tandis que la situation sera optimale pour un tir missile, et à l'inverse parfois on sera dans la situation de ne pas pouvoir tirer missile tandis que le canon sera idéal (par exemple, en ciseaux ou bien en virage nez-vers-nez à courte distance). Les deux armements sont donc parfaitement complémentaires en dog, et le mode de surpassement Dogfight nous permet précisément ainsi de tirer parti à chaque moment de l'armement le plus adapté à la situation.
Nous discutons ensuite un peu vues et padlock, sujet sur lequel Callaghan est déjà très à l'aise.
Il nous reste donc à parler repères de visée (EEGS, LCOS et SNAP). Nous nous attardons en particulier sur l'utilisation de l'EEGS, de loin à mon sens le repère de visée le plus utile. J'insiste sur le fait qu'il faut toujours prendre une visée préalable, "à la louche", à l'aide de la croix fixe du canon (gun cross) tout en utilisant le funnel pour mieux se placer dans le même plan que l'adversaire, avant même d'utiliser le pipper. En effet, si l'on prend sa première visée à l'aide des repères mobiles de visée, on perd un temps précieux en ajustement, correction et réajustement. Il faut donc bien viser à l'aide des repères fixes au départ, puis ne se servir des repères mobiles seulement que pour affiner la visée, et non pas pour la trouver en premier lieu.
J'insiste également bien sur le fait que l'EEGS est un repère de type prédictif, et que le pipper n'est donc un moyen de visée exact qu'à la condition qu'avant de tirer il soit dans une position stable sur l'ennemi et qu'ensuite celui-ci maintienne une trajectoire constante pendant le temps de trajet des balles (en gros, une demi-seconde aux distances de tir usuelles). En soi, le fait que le pipper soit superposé à la cible ne signifie donc rien, il faut également qu'il soit en position stable sur elle.
Callaghan comprend tout ça très bien. Nous commençons un peu de mise en pratique, mais pris par le temps n'avons pas beaucoup de temps pour ce faire, nous verrons donc sans doute ça au prochain vol.
Sujet: Air-air niveau 2: canon
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Hop, ce vendredi Callaghan débutait dans l'ordre le niveau 2, par le maniement du canon.
Nous commençons par nous assurer que Callaghan utilise bien les fonctions "TMS-up" et "TMS-down" pour verrouiller et déverrouiller ses cibles, parce qu'elles sont nettement plus pratiques que les fonctions "radar lock" et "radar return to search" dans la mesure où une fois en mode de surpassement Dogfight ces fonctions permettent en outre de passer du sous-mode ACM Bore au sous-mode ACM 10x60.
On discute d'ailleurs ensuite un peu de ces modes ACM, et de leur utilité, et j'en profite comme toujours pour insister sur l'utilité du mode de surpassement Dogfight comparativement au mastermode air-air, puisqu'il permet d'abord une plus grande rapidité de réaction, et ensuite il permet de disposer en même temps de repères de visée du canon et des Sidewinders, ce qui est très important. En effet, ces deux armements ne s'excluent aucunement, et le canon n'est pas un simple système de secours lorsque tous les missiles ont été tirés: en dogfight on se retrouvera souvent dans des situations où le tir canon ne sera pas possible tandis que la situation sera optimale pour un tir missile, et à l'inverse parfois on sera dans la situation de ne pas pouvoir tirer missile tandis que le canon sera idéal (par exemple, en ciseaux ou bien en virage nez-vers-nez à courte distance). Les deux armements sont donc parfaitement complémentaires en dog, et le mode de surpassement Dogfight nous permet précisément ainsi de tirer parti à chaque moment de l'armement le plus adapté à la situation.
Nous discutons ensuite un peu vues et padlock, sujet sur lequel Callaghan est déjà très à l'aise.
Il nous reste donc à parler repères de visée (EEGS, LCOS et SNAP). Nous nous attardons en particulier sur l'utilisation de l'EEGS, de loin à mon sens le repère de visée le plus utile. J'insiste sur le fait qu'il faut toujours prendre une visée préalable, "à la louche", à l'aide de la croix fixe du canon (gun cross) tout en utilisant le funnel pour mieux se placer dans le même plan que l'adversaire, avant même d'utiliser le pipper. En effet, si l'on prend sa première visée à l'aide des repères mobiles de visée, on perd un temps précieux en ajustement, correction et réajustement. Il faut donc bien viser à l'aide des repères fixes au départ, puis ne se servir des repères mobiles seulement que pour affiner la visée, et non pas pour la trouver en premier lieu.
J'insiste également bien sur le fait que l'EEGS est un repère de type prédictif, et que le pipper n'est donc un moyen de visée exact qu'à la condition qu'avant de tirer il soit dans une position stable sur l'ennemi et qu'ensuite celui-ci maintienne une trajectoire constante pendant le temps de trajet des balles (en gros, une demi-seconde aux distances de tir usuelles). En soi, le fait que le pipper soit superposé à la cible ne signifie donc rien, il faut également qu'il soit en position stable sur elle.
Callaghan comprend tout ça très bien. Nous commençons un peu de mise en pratique, mais pris par le temps n'avons pas beaucoup de temps pour ce faire, nous verrons donc sans doute ça au prochain vol.
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#4
Date: mardis 24 juillet et 31 juillet 2007
Sujet: tir canon, tir Sidewinder / CCRP et DTOS
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Mardi de la semaine dernière, nous avons donc terminé avec Callaghan de voir un peu la partie air-air du niveau 2. Comme nous avions vu toute la théorie lors de la séance précédente, nous avons fait un peu de pratique autour du tir canon. Callaghan a déjà de bonnes bases, mais manque un peu d'expérience pour saisir rapidement la géométrie des évolutions. Cependant, c'est pas mal, et tout ce qui est demandé à un bon pilote est là, hop, voilà une bonne chose de validée.
Ensuite, nous passons aux Sidewinders. Là, j'ai peu de choses à apprendre à Callaghan, qui connaît déjà les trois manières de tirer le Sidewinder (asservi sur désignation radar, tir sans désignation radar avec "uncage" manuel, et enfin tir avec désignation au casque). Je n'ai qu'à lui filer deux-trois bricoles, et à réinsister sur le fait que le canon et le missile ne sont pas en dog des armements qui s'excluent l'un l'autre, mais bien des armements complémentaires, et que c'est bien là la raison pour laquelle le mode de surpassement Dogfight présente dans le HUD les repères de visée nécessaires aux deux armements.
Nous passons à un peu de pratique, en particulier avec les AIM-9X, et c'est rapidement du validé également, vu la bonne aisance que possède déjà Callaghan.
C'était déjà pas mal pour la première séance, et nous ne reprenons, faute de dispos pour chacun, que le mardi suivant, cette fois-ci pour entamer le travail air-sol.
Nous commençons par revoir les réglages permis par la page SMS pour les bombes air-sol. Callaghan connaît déjà pas mal les subtilités du truc, je n'ai guère qu'à insister sur l'utilité, pour l'efficacité de la frappe tout comme pour sa sécurité, de ne pas régler les détonateurs sans considération des conditions particulières de la mission.
Nous passons donc ensuite au tir CCRP. Nous discutons un peu du radar, que Callaghan connaît déjà assez bien. Il sait également déjà utiliser les coordonnées précises d'une cible pour les donner à un steerpoint, ainsi que bombarder en palier. En revanche, il ne connaît pas le tir en palier-ressource, c'est l'occasion de bosser là-dessus. J'explique la mécanique, simple, à Callaghan, en soulignant les difficultés inhérentes à l'exercice: arriver avec une vitesse élevée ET stable avant ressource, passer la PC rapidement AVANT la montée, ne pas sortir le FPM de la steering line pendant qu'on monte le nez, ne pas tirer assez fort pour flinguer les emports (pas plus de 4G suffit) ni épuiser l'énergie et risquer de rater la solution de tir, bien garder enfoncé le bouton de tir, et enfin ne pas amener le FPM en tirant sur le manche pour la ressource au-delà de la valeur en degré rentrée dans la sous-page CNTL de la page SMS (valeur AR, pour "angle of release"), sous peine là aussi de ne pas avoir l'énergie prévue par le calculateur de tir pour la solution de tir préconisée.
Callaghan s'en tire sans problème, et nous pouvons donc passer au DTOS, qui fonctionne de façon très similaire au CCRP en palier-ressource, hormis le fait que la cible est désignée visuellement via le HUD (et que le verrouillage est effectué avec le bouton de tir, et non avec un TMS-up). Là aussi, Callaghan pige vite, et s'en tire très rapidement (mieux que son moniteur qui foire complètement sa démonstration d'exemple, et montre plutôt ce qu'il ne faut pas faire que ce qu'il faut faire ). Cette partie se trouve donc également validée.
A l'issue du cours, j'en profite pour rappeler que les modes de bombardement sont au service de la manière d'attaquer, et qu'ils doivent être choisis souplement, selon les circonstances: une manière d'attaquer ne suppose pas forcément un mode de bombardement précis. On doit choisir d'abord la manière d'attaquer, et ensuite aviser selon les conditions quel mode de bombardement on utilisera, et non faire l'inverse, c'est très important, il faut être plastique.
En tous les cas, Callaghan a saisi tout ça très bien, et la prochaine fois nous passerons à quelques mises en pratique pour approfondir tout ça.
Sujet: tir canon, tir Sidewinder / CCRP et DTOS
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Mardi de la semaine dernière, nous avons donc terminé avec Callaghan de voir un peu la partie air-air du niveau 2. Comme nous avions vu toute la théorie lors de la séance précédente, nous avons fait un peu de pratique autour du tir canon. Callaghan a déjà de bonnes bases, mais manque un peu d'expérience pour saisir rapidement la géométrie des évolutions. Cependant, c'est pas mal, et tout ce qui est demandé à un bon pilote est là, hop, voilà une bonne chose de validée.
Ensuite, nous passons aux Sidewinders. Là, j'ai peu de choses à apprendre à Callaghan, qui connaît déjà les trois manières de tirer le Sidewinder (asservi sur désignation radar, tir sans désignation radar avec "uncage" manuel, et enfin tir avec désignation au casque). Je n'ai qu'à lui filer deux-trois bricoles, et à réinsister sur le fait que le canon et le missile ne sont pas en dog des armements qui s'excluent l'un l'autre, mais bien des armements complémentaires, et que c'est bien là la raison pour laquelle le mode de surpassement Dogfight présente dans le HUD les repères de visée nécessaires aux deux armements.
Nous passons à un peu de pratique, en particulier avec les AIM-9X, et c'est rapidement du validé également, vu la bonne aisance que possède déjà Callaghan.
C'était déjà pas mal pour la première séance, et nous ne reprenons, faute de dispos pour chacun, que le mardi suivant, cette fois-ci pour entamer le travail air-sol.
Nous commençons par revoir les réglages permis par la page SMS pour les bombes air-sol. Callaghan connaît déjà pas mal les subtilités du truc, je n'ai guère qu'à insister sur l'utilité, pour l'efficacité de la frappe tout comme pour sa sécurité, de ne pas régler les détonateurs sans considération des conditions particulières de la mission.
Nous passons donc ensuite au tir CCRP. Nous discutons un peu du radar, que Callaghan connaît déjà assez bien. Il sait également déjà utiliser les coordonnées précises d'une cible pour les donner à un steerpoint, ainsi que bombarder en palier. En revanche, il ne connaît pas le tir en palier-ressource, c'est l'occasion de bosser là-dessus. J'explique la mécanique, simple, à Callaghan, en soulignant les difficultés inhérentes à l'exercice: arriver avec une vitesse élevée ET stable avant ressource, passer la PC rapidement AVANT la montée, ne pas sortir le FPM de la steering line pendant qu'on monte le nez, ne pas tirer assez fort pour flinguer les emports (pas plus de 4G suffit) ni épuiser l'énergie et risquer de rater la solution de tir, bien garder enfoncé le bouton de tir, et enfin ne pas amener le FPM en tirant sur le manche pour la ressource au-delà de la valeur en degré rentrée dans la sous-page CNTL de la page SMS (valeur AR, pour "angle of release"), sous peine là aussi de ne pas avoir l'énergie prévue par le calculateur de tir pour la solution de tir préconisée.
Callaghan s'en tire sans problème, et nous pouvons donc passer au DTOS, qui fonctionne de façon très similaire au CCRP en palier-ressource, hormis le fait que la cible est désignée visuellement via le HUD (et que le verrouillage est effectué avec le bouton de tir, et non avec un TMS-up). Là aussi, Callaghan pige vite, et s'en tire très rapidement (mieux que son moniteur qui foire complètement sa démonstration d'exemple, et montre plutôt ce qu'il ne faut pas faire que ce qu'il faut faire ). Cette partie se trouve donc également validée.
A l'issue du cours, j'en profite pour rappeler que les modes de bombardement sont au service de la manière d'attaquer, et qu'ils doivent être choisis souplement, selon les circonstances: une manière d'attaquer ne suppose pas forcément un mode de bombardement précis. On doit choisir d'abord la manière d'attaquer, et ensuite aviser selon les conditions quel mode de bombardement on utilisera, et non faire l'inverse, c'est très important, il faut être plastique.
En tous les cas, Callaghan a saisi tout ça très bien, et la prochaine fois nous passerons à quelques mises en pratique pour approfondir tout ça.
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#6
Date: jeudi 09 août 2007
Sujet: tir CCIP, attaque de cibles mobiles en DTOS
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Nous avons poursuivi avec Callaghan la partie air-sol du niveau 2.
D'abord, en allant travailler un peu l'attaque en piqué sur les batteries anti-aériennes. Las, sans que nous sachions pourquoi, je vois très bien les fumées de tir des canons, mais Callaghan ne les voit pas, tandis qu'il les distingue pourtant en vol solo . Dans le coup, c'est un peu moins marrant , mais bon nous en profitons néanmoins pour voir pas à pas les difficultés de la manoeuvre: gestion de la vitesse tout en étant rapide (faut pas non plus dépasser la VNE avec emports), importance de prendre du champ avant chaque passe pour la préparer au mieux et donc importance de ne JAMAIS se mettre en position d'improviser une passe hâtive, et enfin difficulté de bien gérer la ressource pour ne pas se manger le sol ni stresser la cellule (d'où l'utilité de bien régler les alertes MSL FLOOR et CARA FLOOR pour qu'elles préviennent des moments clefs de la manoeuvre, histoire de ne pas avoir à disperser trop son attention durant le travail sur la cible).
Ensuite, nous allons travailler un peu l'attaque de cibles mobiles en piqué-ressource (à l'aide du mode DTOS). J'explique que pour se faciliter la tâche, il faut rester en mode CCRP jusqu'au moment de commencer la passe, afin de profiter du radar pour nous indiquer dans quelle zone aller porter nos yeux au moment de commencer la passe, où nous passons donc alors en DTOS.
J'explique aussi l'importance de prendre de bons repères visuels avant de commencer quelque passe que ce soit, bien repérer les points particuliers au sol qui permettront de se réorienter aisément pour les passes prochaines, ainsi qu'éventuellement donner de bonnes indications aux ailiers sur la localisation éventuelle de cibles qu'eux n'auraient pas repérées.
Et puis, comme toujours pour n'importe quelle passe air-sol, je rappelle le bon réflexe: avant la passe s'assurer qu'aucun ennemi ne vole dans les environs (ni même d'ami, d'ailleurs!), réflexe utile qui permet parfois d'éviter de bien mauvaises surprises, ou bien de mettre dans le souffle de ses bombes un gentil ailier qui ne demandait rien à personne. Je redis également l'importance d'annoncer à la radio le début de la passe, ainsi que le cap de conduite de la passe.
Quoi qu'il en soit, après un peu pédalage pour prendre de bons repères visuels (pas évident, au début, on a tous eu ce problème d'orientation), Callaghan se débrouille pas mal du tout sur tout ça, et il ne lui reste donc plus pour son niveau 2 qu'à voir le travail au Maverick.
Sujet: tir CCIP, attaque de cibles mobiles en DTOS
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Nous avons poursuivi avec Callaghan la partie air-sol du niveau 2.
D'abord, en allant travailler un peu l'attaque en piqué sur les batteries anti-aériennes. Las, sans que nous sachions pourquoi, je vois très bien les fumées de tir des canons, mais Callaghan ne les voit pas, tandis qu'il les distingue pourtant en vol solo . Dans le coup, c'est un peu moins marrant , mais bon nous en profitons néanmoins pour voir pas à pas les difficultés de la manoeuvre: gestion de la vitesse tout en étant rapide (faut pas non plus dépasser la VNE avec emports), importance de prendre du champ avant chaque passe pour la préparer au mieux et donc importance de ne JAMAIS se mettre en position d'improviser une passe hâtive, et enfin difficulté de bien gérer la ressource pour ne pas se manger le sol ni stresser la cellule (d'où l'utilité de bien régler les alertes MSL FLOOR et CARA FLOOR pour qu'elles préviennent des moments clefs de la manoeuvre, histoire de ne pas avoir à disperser trop son attention durant le travail sur la cible).
Ensuite, nous allons travailler un peu l'attaque de cibles mobiles en piqué-ressource (à l'aide du mode DTOS). J'explique que pour se faciliter la tâche, il faut rester en mode CCRP jusqu'au moment de commencer la passe, afin de profiter du radar pour nous indiquer dans quelle zone aller porter nos yeux au moment de commencer la passe, où nous passons donc alors en DTOS.
J'explique aussi l'importance de prendre de bons repères visuels avant de commencer quelque passe que ce soit, bien repérer les points particuliers au sol qui permettront de se réorienter aisément pour les passes prochaines, ainsi qu'éventuellement donner de bonnes indications aux ailiers sur la localisation éventuelle de cibles qu'eux n'auraient pas repérées.
Et puis, comme toujours pour n'importe quelle passe air-sol, je rappelle le bon réflexe: avant la passe s'assurer qu'aucun ennemi ne vole dans les environs (ni même d'ami, d'ailleurs!), réflexe utile qui permet parfois d'éviter de bien mauvaises surprises, ou bien de mettre dans le souffle de ses bombes un gentil ailier qui ne demandait rien à personne. Je redis également l'importance d'annoncer à la radio le début de la passe, ainsi que le cap de conduite de la passe.
Quoi qu'il en soit, après un peu pédalage pour prendre de bons repères visuels (pas évident, au début, on a tous eu ce problème d'orientation), Callaghan se débrouille pas mal du tout sur tout ça, et il ne lui reste donc plus pour son niveau 2 qu'à voir le travail au Maverick.
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#7
Date: vendredi 17 août 2007
Sujet: tir Maverick
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Vendredi dernier (voui, ça date, je suis en retard pour ce débrief-ci ) nous avons donc poursuivi dans l'ordre la progression dans l'EDC de Callaghan. Pour le niveau 2 ne lui restait plus qu'à voir le tir des Maverick, ce à quoi nous nous sommes donc attelés.
Donc, d'abord, tir sur cible mobile: nous avions déjà pas mal dégrossi avec Callaghan l'attaque de cible mobile et les passes en CAS lorsque nous avions vu le tir en DTOS de cluster bombs, donc il en sait déjà pas mal. Le tir Maverick n'est pas tellement différent, les mêmes réflexes doivent être acquis (bien identifier le paysage pour bien s'orienter, checks armements, annonce des débuts et fins de passe avec caps, ne pas oublier de regarder avant et après les passes le ciel à la recherche de chasseurs ennemis importuns, etc.), simplement évidemment on ne pique pas sur la cible, on laisse le missile faire ça lui-même , tandis qu'on reste à hauteur de sécurité, hors d'atteinte des MANPADS.
J'en profite pour insister sur le fait que tirer avec un missile aussi simple d'emploi que le Maverick (je verrouille et je tire) n'empêche pas qu'il est sain de bien veiller à respecter les paramètres prévus pour la passe (hauteur, distance de dégagement, vitesse, cap, cible prévue), la franche improvisation sur l'instant étant bien souvent une mauvaise idée, parce qu'elle ne laisse pas le temps d'évaluer tous les risques au préalable, et donc expose bien souvent à se faire descendre, même lors d'une mission qui s'annonçait sans difficulté (surtout dans ce genre de mission, en fait ).
En tous les cas, c'est du tout bon pour Callaghan qui s'en tire tout à fait bien, et comprend l'importance de tout ça.
Ensuite, nous allons traiter de la cible fixe, avec un AGM-65G, dans une attaque-type pour ce genre de missile: à basse altitude mais distance de sécurité. Je souligne une nouvelle fois le fait que là aussi il vaut mieux ne pas improviser, d'autant qu'une attaque à basse altitude va toujours très vite, et que pour être certain de ne pas survoler la cible lors du dégagement il faut se fixer, en gros, comme limite de commencer à dégager lorsque la cible est indiquée à une distance aux deux tiers de la DLZ, ce qui finalement laisse assez peu de temps pour tirer. D'où d'ailleurs le fait que même avec les Mavericks bien rentrer les coordonnées précises de la cible que l'on va détruire reste une bonne idée: ainsi une fois arrivée sur zone il ne reste plus qu'à vérifier que sous l'oeil de la caméra se trouve la bonne cible, verrouiller, tirer puis dégager. Aucun temps n'est perdu à la rechercher, on file fissa et le risque se trouve réduit au minimum.
En dépit de certaines difficultés (avec la façon dont est programmée la simu, pas avec le maniement des armes), Callaghan s'en tire là aussi pas mal, tandis que nous en profitons pour faire un peu de nav TTBA.
A l'issue le tir Maverick lui est donc validé, et en conséquence il obtient du même coup son niveau 2. Bravo!
Sujet: tir Maverick
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Vendredi dernier (voui, ça date, je suis en retard pour ce débrief-ci ) nous avons donc poursuivi dans l'ordre la progression dans l'EDC de Callaghan. Pour le niveau 2 ne lui restait plus qu'à voir le tir des Maverick, ce à quoi nous nous sommes donc attelés.
Donc, d'abord, tir sur cible mobile: nous avions déjà pas mal dégrossi avec Callaghan l'attaque de cible mobile et les passes en CAS lorsque nous avions vu le tir en DTOS de cluster bombs, donc il en sait déjà pas mal. Le tir Maverick n'est pas tellement différent, les mêmes réflexes doivent être acquis (bien identifier le paysage pour bien s'orienter, checks armements, annonce des débuts et fins de passe avec caps, ne pas oublier de regarder avant et après les passes le ciel à la recherche de chasseurs ennemis importuns, etc.), simplement évidemment on ne pique pas sur la cible, on laisse le missile faire ça lui-même , tandis qu'on reste à hauteur de sécurité, hors d'atteinte des MANPADS.
J'en profite pour insister sur le fait que tirer avec un missile aussi simple d'emploi que le Maverick (je verrouille et je tire) n'empêche pas qu'il est sain de bien veiller à respecter les paramètres prévus pour la passe (hauteur, distance de dégagement, vitesse, cap, cible prévue), la franche improvisation sur l'instant étant bien souvent une mauvaise idée, parce qu'elle ne laisse pas le temps d'évaluer tous les risques au préalable, et donc expose bien souvent à se faire descendre, même lors d'une mission qui s'annonçait sans difficulté (surtout dans ce genre de mission, en fait ).
En tous les cas, c'est du tout bon pour Callaghan qui s'en tire tout à fait bien, et comprend l'importance de tout ça.
Ensuite, nous allons traiter de la cible fixe, avec un AGM-65G, dans une attaque-type pour ce genre de missile: à basse altitude mais distance de sécurité. Je souligne une nouvelle fois le fait que là aussi il vaut mieux ne pas improviser, d'autant qu'une attaque à basse altitude va toujours très vite, et que pour être certain de ne pas survoler la cible lors du dégagement il faut se fixer, en gros, comme limite de commencer à dégager lorsque la cible est indiquée à une distance aux deux tiers de la DLZ, ce qui finalement laisse assez peu de temps pour tirer. D'où d'ailleurs le fait que même avec les Mavericks bien rentrer les coordonnées précises de la cible que l'on va détruire reste une bonne idée: ainsi une fois arrivée sur zone il ne reste plus qu'à vérifier que sous l'oeil de la caméra se trouve la bonne cible, verrouiller, tirer puis dégager. Aucun temps n'est perdu à la rechercher, on file fissa et le risque se trouve réduit au minimum.
En dépit de certaines difficultés (avec la façon dont est programmée la simu, pas avec le maniement des armes), Callaghan s'en tire là aussi pas mal, tandis que nous en profitons pour faire un peu de nav TTBA.
A l'issue le tir Maverick lui est donc validé, et en conséquence il obtient du même coup son niveau 2. Bravo!
#8
Et de 2!:cheer:
Merci Wildcat pour ta grande disponibilité.
J'en profite aussi pour remercier tout mes moniteurs depuis mes débuts en EDC:Wildcat,Theureu,SirBlack, Acrid,Markus et Clavier.Merci pour votre sympathie et pour votre rigueur qui m'ont montré que Falcon était bien plus riche que je ne le pensait:yes:.
Donc RDV au bar, c'est moi qui rince !!:cheers::drunk:
Bon ben maintenant y'a plus qu'a :
1)Convaincre l'ATC du bien fondé du vol en escadrille..... [/align] 2)Renvoyer l'ascenseur en aidant les nouveaux. [/align]
3)Continuer sur le niveau 3!
Merci Wildcat pour ta grande disponibilité.
J'en profite aussi pour remercier tout mes moniteurs depuis mes débuts en EDC:Wildcat,Theureu,SirBlack, Acrid,Markus et Clavier.Merci pour votre sympathie et pour votre rigueur qui m'ont montré que Falcon était bien plus riche que je ne le pensait:yes:.
Donc RDV au bar, c'est moi qui rince !!:cheers::drunk:
Bon ben maintenant y'a plus qu'a :
1)Convaincre l'ATC du bien fondé du vol en escadrille..... [/align] 2)Renvoyer l'ascenseur en aidant les nouveaux. [/align]
3)Continuer sur le niveau 3!
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#9
Date: mercredi 22 août 2007
Sujet: radar BVR et tir AIM-120
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Nous avons commencé pour Callaghan le niveau 3 dans l'ordre ce mercredi avec la partie air-air. Nous avons d'abord travaillé sur le maniement du radar et la compréhension fine des données qu'il offre, ainsi que sur le travail avec le HSD et la liaison de données. Callaghan a très bien tout assimilé, dans la mesure où il possédait déjà de très bonnes bases, il ne s'est agi finalement que de perfectionnements sur certaines notions.
Ensuite, puisque nous avions donc pu bien avancer, nous sommes passés au tir de l'AIM-120, après avoir repassé en revue tous les affichages liés à cet armement, et la façon d'y accéder. Naturellement, on a également un peu parlé cinématique générale des missiles (importance en particulier de l'aspect de l'altitude sur la variation de la distance de tir maximale).
Nous sommes passés à la pratique, et Callaghan a nettement montré que la séquence de tir "académique" de l'AIM-120 (tir à bonne altitude, suivi de crank et descente à altitude inférieure à celle de la cible à vitesse modérée, puis pump une fois le missile passé actif).
En conséquence, pour ce cours-ci lui sont validés les modules correspondant au maniement du radar et au tir de l'AIM-120.
Sujet: radar BVR et tir AIM-120
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Nous avons commencé pour Callaghan le niveau 3 dans l'ordre ce mercredi avec la partie air-air. Nous avons d'abord travaillé sur le maniement du radar et la compréhension fine des données qu'il offre, ainsi que sur le travail avec le HSD et la liaison de données. Callaghan a très bien tout assimilé, dans la mesure où il possédait déjà de très bonnes bases, il ne s'est agi finalement que de perfectionnements sur certaines notions.
Ensuite, puisque nous avions donc pu bien avancer, nous sommes passés au tir de l'AIM-120, après avoir repassé en revue tous les affichages liés à cet armement, et la façon d'y accéder. Naturellement, on a également un peu parlé cinématique générale des missiles (importance en particulier de l'aspect de l'altitude sur la variation de la distance de tir maximale).
Nous sommes passés à la pratique, et Callaghan a nettement montré que la séquence de tir "académique" de l'AIM-120 (tir à bonne altitude, suivi de crank et descente à altitude inférieure à celle de la cible à vitesse modérée, puis pump une fois le missile passé actif).
En conséquence, pour ce cours-ci lui sont validés les modules correspondant au maniement du radar et au tir de l'AIM-120.
#10
Date: 09/07/2007
Sujet: tir laser
Moniteur: Raffy
Elève: Callaghan
Version: F4AF 1.012
Je commence par quelques explications théorique sur le principe de la bombe laser et les différents types de bombes, visiblement Callaghan connait bien le sujet. L'utilisation du pod laser et le tir de GBU est déjà connu donc le vol n'est qu'une formalité pour valider le laser.
J'en profite pour faire une mission type PO.
On part de nuit, D/L à 20s puis montée snake. On transit en FMO, la tenue de formation n'est pas parfaite mais ça reste correct. Pour la recherche de la cible, un bunker, je lui ai interdit d'utiliser les coordonnées GPS, pour apprendre un à se servir du POD. Je l'aide un tout petit peu pour acquérir le visuel de la cible.
La mise en place, la passe de tir et l'évasive se passe bien. On se rassemble rapidement après mais plantage du PC de Callaghan, donc on s'arrête la pour aujourd'hui. Dommage car des mirage 2000 étaient en route pour nous intercepter.
Callaghan sera bientôt prêt pour passer sa qualif PO. L'avionique et le système d'arme sont connus. Quelques vols en escadrille permetteront d'être plus à l'aise pour le vol en formation.
Sujet: tir laser
Moniteur: Raffy
Elève: Callaghan
Version: F4AF 1.012
Je commence par quelques explications théorique sur le principe de la bombe laser et les différents types de bombes, visiblement Callaghan connait bien le sujet. L'utilisation du pod laser et le tir de GBU est déjà connu donc le vol n'est qu'une formalité pour valider le laser.
J'en profite pour faire une mission type PO.
On part de nuit, D/L à 20s puis montée snake. On transit en FMO, la tenue de formation n'est pas parfaite mais ça reste correct. Pour la recherche de la cible, un bunker, je lui ai interdit d'utiliser les coordonnées GPS, pour apprendre un à se servir du POD. Je l'aide un tout petit peu pour acquérir le visuel de la cible.
La mise en place, la passe de tir et l'évasive se passe bien. On se rassemble rapidement après mais plantage du PC de Callaghan, donc on s'arrête la pour aujourd'hui. Dommage car des mirage 2000 étaient en route pour nous intercepter.
Callaghan sera bientôt prêt pour passer sa qualif PO. L'avionique et le système d'arme sont connus. Quelques vols en escadrille permetteront d'être plus à l'aise pour le vol en formation.
FalconLog Dragons
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#11
Merci pour le vol Raffy !
Ca m'a encore appris pas mal de choses, en particulier sur le rôle de l'ailier.
Maintenant prochaine étape: le P.O!
Mais là, je vais prendre mon temps!:sweatdrop
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#12
Date: jeudi 06/07/2007
Sujet: tir HARM et manoeuvres défensives air-air
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Nous commençons pour ce vol à tâcher de terminer le cours sur la façon de contrer les missiles air-air. Dans des cours précédents, nous avions vu avec Callaghan comment faire en sorte de perturber la désignation de l'adversaire, ainsi que de quelle manière, si la désignation par l'adversaire réussit, empêcher ses missiles de pouvoir parvenir jusqu'à soi. Restait donc à voir comment réaliser une esquive proprement dite, lorsque il n'a pas été possible d'empêcher que les missiles de l'adversaire soient en mesure de parvenir jusqu'à soi.
Je commence par rappeler, déjà, à toutes fins utiles , que naturellement il s'agit d'une situation que l'on absolument éviter autant que possible, car s'il est faisable d'éviter un missile si l'on a un peu de marge pour ça en temps de préparation et en énergie, il est en revanche bien difficile d'éviter plusieurs missiles à la suite! Qui plus est, je rappellerai tout au long du cours que l'affrontement 1vs1 n'est qu'un cas très particulier, et qu'en mission jamais on n'engage seul, ce qui a par exemple pour effet que ce n'est pas parce que l'on évite les armements d'un adversaire qu'un de ses copains ne va pas nous cueillir juste ensuite, ou qu'au contraire cela signifie également que le temps que l'on gagne à éviter un missile doit toujours être utilisé pour que notre ailier aille, lui, se placer sur celui qui nous tire.
Nous voyons l'esquive des AIM-9 d'abord: j'explique que, essentiellement, la seule technique qui marche assez bien en face à face c'est de créer entre soi et le missile ennemi un écran de leurre. Callaghan a un peu de mal à réaliser la technique, mais s'en sort finalement pas trop mal, même si bien entendu pas mal de répétition sera nécessaire pour être au point. De toutes façons, je lui explique bien que s'il se révèle à force d'exercice capable d'éviter deux tiers des missiles tirés en face à face, il sera déjà très bon! Eh oui, le face à face, avec des Fox 2 modernes, ça tâche!
On reparle un peu de l'esquive d'un missile tiré depuis les six heures, avec un ennemi virant dans le même sens que soi, en poursuite: là, la seule technique valide, c'est de virer serré, tout en larguant un maximum de leurres. Puisqu'on se trouve pile-poil dans la configuration pour laquelle le missile est conçu, il est encore plus difficile à éviter. On comprend bien pourquoi il vaut mieux tâcher d'empêcher le tir en utilisant des virages nez-vers-nez systématiquement plutôt que d'espérer ensuite esquiver un missile tiré dans la bonne situation pour lui.
Nous passons ensuite à l'esquive de missiles BVR. Là, deux techniques: le break, et ce que j'appelle le "tire-bouchon". La première technique consiste à, au bon moment, virer serré vers le missile en espérant qu'il nous dépasse. Dans l'essence, c'est la même esquive qu'un break face à un adversaire dans les six en dogfight. L'ennui, c'est que c'est bien plus difficile à réaliser, qu'il faut être très précis, et que ça va très vite! Je décris donc la méthode à Callaghan, en lui expliquant comment répéter s'il veut développer cette technique, dont je dois avouer n'être guère adepte, car elle demande une trop grande précision pour bien fonctionner, à mon sens.
Nous passons donc à la réalisation de la seconde technique, que j'affectionne davantage: une spirale dans le plan horizontale, large, sous 6-7G et vitesse importante, à réaliser 5 à 7 secondes après que le RWR ait capté l'émission du radar embarqué du missile ennemi: le missile ennemi va, puisqu'il décrit toujours une trajectoire en avance de celle de sa cible, être contraint de décrire une spirale bien plus large, épuiser beaucoup d'énergie à ce jeu-là et in fine va "viser trop large", et exploser à bonne distance ou bien aller se perdre bien au-delà de sa cible. Callaghan constate bien vite qu'effectivement la manoeuvre est assez aisée à réaliser (je crois bien qu'il avait quelques doutes au départ, lors de la description ). Elle n'a que deux gros inconvénients: elle exige de posséder une vitesse relativement importante lorsqu'arrive le missile (donc de pouvoir anticiper quelque peu la manoeuvre), et qui plus est elle ne peut guère être répétée (mais c'est le cas de toutes les autres techniques d'esquive) si jamais l'ennemi a des prix chez le marchand et n'est pas effrayé par le fait de tirer plusieurs missiles sur une même cible à quelques secondes d'intervalle (même si avec de l'entraînement on réalise des spirales de plus en plus courtes, de deux tours et demie à à peine davantage qu'un tour complet).
En tous les cas, Callaghan s'en sort très bien, comprend tout, et possède à présent tout ce qu'il lui faut pour aller répéter les esquives. Le module lui est donc validé.
Nous pouvons donc ensuite passer au SEAD, que Callaghan avait déjà un peu vu auparavant.
Avec Sven ainsi qu'avec Markus, Callaghan avait déjà vu deux des trois manières de tirer un missile HARM: le tir tranquille (tir depuis la moyenne altitude et dans la DLZ, par exemple contre un système moyenne portée pas trop dangereux comme le SA-2) et le tir à très grande distance (tir au-dessus de 35.000 pieds, à pas loin de Mach 1 et entre 35 et 40 Nm de la cible, hors DLZ, par exemple contre un SA-5). Je repose quelques principes théoriques, et nous nous lançons donc dans la troisième manière de faire: la technique chèvre-tireur. Naturellement, comme le tir ne pose pour Callaghan plus de souci, il fait la chèvre .
Nous allons attaquer un SA-3 pour cet exercice, système dont le charme est qu'il ne s'allume bien souvent qu'au moment où il s'apprête à tirer. Toute la difficulté pour Callaghan est donc de s'approcher du SA-3, de le "titiller" pour l'inciter à tirer et ainsi se découvrir, sans pour autant se mettre vraiment en danger.
Avec quelques conseils, Callaghan s'en sort très bien, et comprend comme à chacun de nos vols tous les tenant et les aboutissants des techniques décrites, c'est donc pour lui la validation pour les modules SEAD du niveau 3.
Sujet: tir HARM et manoeuvres défensives air-air
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Nous commençons pour ce vol à tâcher de terminer le cours sur la façon de contrer les missiles air-air. Dans des cours précédents, nous avions vu avec Callaghan comment faire en sorte de perturber la désignation de l'adversaire, ainsi que de quelle manière, si la désignation par l'adversaire réussit, empêcher ses missiles de pouvoir parvenir jusqu'à soi. Restait donc à voir comment réaliser une esquive proprement dite, lorsque il n'a pas été possible d'empêcher que les missiles de l'adversaire soient en mesure de parvenir jusqu'à soi.
Je commence par rappeler, déjà, à toutes fins utiles , que naturellement il s'agit d'une situation que l'on absolument éviter autant que possible, car s'il est faisable d'éviter un missile si l'on a un peu de marge pour ça en temps de préparation et en énergie, il est en revanche bien difficile d'éviter plusieurs missiles à la suite! Qui plus est, je rappellerai tout au long du cours que l'affrontement 1vs1 n'est qu'un cas très particulier, et qu'en mission jamais on n'engage seul, ce qui a par exemple pour effet que ce n'est pas parce que l'on évite les armements d'un adversaire qu'un de ses copains ne va pas nous cueillir juste ensuite, ou qu'au contraire cela signifie également que le temps que l'on gagne à éviter un missile doit toujours être utilisé pour que notre ailier aille, lui, se placer sur celui qui nous tire.
Nous voyons l'esquive des AIM-9 d'abord: j'explique que, essentiellement, la seule technique qui marche assez bien en face à face c'est de créer entre soi et le missile ennemi un écran de leurre. Callaghan a un peu de mal à réaliser la technique, mais s'en sort finalement pas trop mal, même si bien entendu pas mal de répétition sera nécessaire pour être au point. De toutes façons, je lui explique bien que s'il se révèle à force d'exercice capable d'éviter deux tiers des missiles tirés en face à face, il sera déjà très bon! Eh oui, le face à face, avec des Fox 2 modernes, ça tâche!
On reparle un peu de l'esquive d'un missile tiré depuis les six heures, avec un ennemi virant dans le même sens que soi, en poursuite: là, la seule technique valide, c'est de virer serré, tout en larguant un maximum de leurres. Puisqu'on se trouve pile-poil dans la configuration pour laquelle le missile est conçu, il est encore plus difficile à éviter. On comprend bien pourquoi il vaut mieux tâcher d'empêcher le tir en utilisant des virages nez-vers-nez systématiquement plutôt que d'espérer ensuite esquiver un missile tiré dans la bonne situation pour lui.
Nous passons ensuite à l'esquive de missiles BVR. Là, deux techniques: le break, et ce que j'appelle le "tire-bouchon". La première technique consiste à, au bon moment, virer serré vers le missile en espérant qu'il nous dépasse. Dans l'essence, c'est la même esquive qu'un break face à un adversaire dans les six en dogfight. L'ennui, c'est que c'est bien plus difficile à réaliser, qu'il faut être très précis, et que ça va très vite! Je décris donc la méthode à Callaghan, en lui expliquant comment répéter s'il veut développer cette technique, dont je dois avouer n'être guère adepte, car elle demande une trop grande précision pour bien fonctionner, à mon sens.
Nous passons donc à la réalisation de la seconde technique, que j'affectionne davantage: une spirale dans le plan horizontale, large, sous 6-7G et vitesse importante, à réaliser 5 à 7 secondes après que le RWR ait capté l'émission du radar embarqué du missile ennemi: le missile ennemi va, puisqu'il décrit toujours une trajectoire en avance de celle de sa cible, être contraint de décrire une spirale bien plus large, épuiser beaucoup d'énergie à ce jeu-là et in fine va "viser trop large", et exploser à bonne distance ou bien aller se perdre bien au-delà de sa cible. Callaghan constate bien vite qu'effectivement la manoeuvre est assez aisée à réaliser (je crois bien qu'il avait quelques doutes au départ, lors de la description ). Elle n'a que deux gros inconvénients: elle exige de posséder une vitesse relativement importante lorsqu'arrive le missile (donc de pouvoir anticiper quelque peu la manoeuvre), et qui plus est elle ne peut guère être répétée (mais c'est le cas de toutes les autres techniques d'esquive) si jamais l'ennemi a des prix chez le marchand et n'est pas effrayé par le fait de tirer plusieurs missiles sur une même cible à quelques secondes d'intervalle (même si avec de l'entraînement on réalise des spirales de plus en plus courtes, de deux tours et demie à à peine davantage qu'un tour complet).
En tous les cas, Callaghan s'en sort très bien, comprend tout, et possède à présent tout ce qu'il lui faut pour aller répéter les esquives. Le module lui est donc validé.
Nous pouvons donc ensuite passer au SEAD, que Callaghan avait déjà un peu vu auparavant.
Avec Sven ainsi qu'avec Markus, Callaghan avait déjà vu deux des trois manières de tirer un missile HARM: le tir tranquille (tir depuis la moyenne altitude et dans la DLZ, par exemple contre un système moyenne portée pas trop dangereux comme le SA-2) et le tir à très grande distance (tir au-dessus de 35.000 pieds, à pas loin de Mach 1 et entre 35 et 40 Nm de la cible, hors DLZ, par exemple contre un SA-5). Je repose quelques principes théoriques, et nous nous lançons donc dans la troisième manière de faire: la technique chèvre-tireur. Naturellement, comme le tir ne pose pour Callaghan plus de souci, il fait la chèvre .
Nous allons attaquer un SA-3 pour cet exercice, système dont le charme est qu'il ne s'allume bien souvent qu'au moment où il s'apprête à tirer. Toute la difficulté pour Callaghan est donc de s'approcher du SA-3, de le "titiller" pour l'inciter à tirer et ainsi se découvrir, sans pour autant se mettre vraiment en danger.
Avec quelques conseils, Callaghan s'en sort très bien, et comprend comme à chacun de nos vols tous les tenant et les aboutissants des techniques décrites, c'est donc pour lui la validation pour les modules SEAD du niveau 3.
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#13
Date: dimanche 11/11/2007
Sujet: test Pilote Opérationnel
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Pour cette tentative de débrief le plus en retard jamais posté , ça va être assez simple: dimanche soir dernier c'était la dernière ligne droite pour Callaghan, c'est-à-dire un vol "opérationnel" à deux avions, avec votre serviteur pour leader, vol dans lequel il devait prouver être capable de tenir une place d'ailier sans souci.
Nous sommes donc partis pour une mission nous faisant décoller de Lamezia Terme, au sud de l'Italie, pour aller bombarder un générateur à coup de missiles Maverick en Sicile, territoire ennemi pour cette mission.
Au menu: briefing (un peu rouillé de ma part, d'ailleurs, pas au top , mais Callaghan m'en aura pardonné), décollage et rejointe, navigation selon plan de vol vers l'objectif, beaucoup de concentration en dépassant les "points chauds", rencontre de deux Tornado F.3 parfaitement traités dans un engagement parfaitement propre, puis frappe du générateur selon briefing, et retour pour atterrissage aux instruments sur une piste particulièrement embrouillardée!
Enfin, j'ai demandé à Callaghan de donner un court compte-rendu de la mission, ce qui a été parfaitement effectué.
Au final, je peux faire court: je n'ai rien eu à reprocher à Callaghan, à aucun moment. C'est donc pour lui un niveau 3 validé avec les honneurs, sans aucun souci!
Bravo, et maintenant: place aux bananes!
Sujet: test Pilote Opérationnel
Moniteur: Wildcat
Elève: Callaghan
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.0.12
Pour cette tentative de débrief le plus en retard jamais posté , ça va être assez simple: dimanche soir dernier c'était la dernière ligne droite pour Callaghan, c'est-à-dire un vol "opérationnel" à deux avions, avec votre serviteur pour leader, vol dans lequel il devait prouver être capable de tenir une place d'ailier sans souci.
Nous sommes donc partis pour une mission nous faisant décoller de Lamezia Terme, au sud de l'Italie, pour aller bombarder un générateur à coup de missiles Maverick en Sicile, territoire ennemi pour cette mission.
Au menu: briefing (un peu rouillé de ma part, d'ailleurs, pas au top , mais Callaghan m'en aura pardonné), décollage et rejointe, navigation selon plan de vol vers l'objectif, beaucoup de concentration en dépassant les "points chauds", rencontre de deux Tornado F.3 parfaitement traités dans un engagement parfaitement propre, puis frappe du générateur selon briefing, et retour pour atterrissage aux instruments sur une piste particulièrement embrouillardée!
Enfin, j'ai demandé à Callaghan de donner un court compte-rendu de la mission, ce qui a été parfaitement effectué.
Au final, je peux faire court: je n'ai rien eu à reprocher à Callaghan, à aucun moment. C'est donc pour lui un niveau 3 validé avec les honneurs, sans aucun souci!
Bravo, et maintenant: place aux bananes!
#15
Yes!!!!!!:usflag:
Quand jai commencé l'EDC je ne pensais pas que j'arriverai au N3.Et pourtant ca y est!:jerry:
Tout ca grâce à tous les monits avec qui j'ai eu le plaisir de voler:notworthy.
Merci à vous :Theureu,Sirblack,Acrid,Markus,Clavier,Sven et Raffy.Bien sûr "spéciale dédicace" à toi Wildcat pour ta grande disponibilté.
Et je remercie aussi mes compagnons de vol: Les Buzzards.Si le test P.O c'est bien déroulé c'est en partie grâce aux vols que fais avec vous:king:.
Allez, tous au bar, c'est moi qui paye la tournée !!
Quand jai commencé l'EDC je ne pensais pas que j'arriverai au N3.Et pourtant ca y est!:jerry:
Tout ca grâce à tous les monits avec qui j'ai eu le plaisir de voler:notworthy.
Merci à vous :Theureu,Sirblack,Acrid,Markus,Clavier,Sven et Raffy.Bien sûr "spéciale dédicace" à toi Wildcat pour ta grande disponibilté.
Et je remercie aussi mes compagnons de vol: Les Buzzards.Si le test P.O c'est bien déroulé c'est en partie grâce aux vols que fais avec vous:king:.
Allez, tous au bar, c'est moi qui paye la tournée !!
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