[TOPIC UNIk] SH3 découvertes
#451
Non mais sinon, merci de tous ces conseils les gars, je vais pouvoir y arriver comme ça c'est sûr.
Dites en passant, je voudrais savoir si vous connaissez une adresse mail pour remercier les gars qui ont fait GWX, c'est la moindre des choses.
Bon, je retourne au combat, le temps de regarder un peu Das Boot en VO version longue, ça motive un maximum.
Dites en passant, je voudrais savoir si vous connaissez une adresse mail pour remercier les gars qui ont fait GWX, c'est la moindre des choses.
Bon, je retourne au combat, le temps de regarder un peu Das Boot en VO version longue, ça motive un maximum.
#452
Bon, j'ai essayé autre chose.
Puisque le jeu "triche", usons de ruse.
Après tout, les sous-mariniers faisaient avec les moyens de leur bord, je ne fais jamais que d'en faire autant, me battre avec les outils qui sont à ma disposition.
Voici la tactique utilisée:
Si je coule la corvette de gauche, j'ai tout le convoi libre à ma droite, le temps d'en toucher un peut-être deux avant de plonger vers le Nord-Est et rentrer(y a encore une corvette Flower de l'autre côté et un Destroyer Classe Hunt 1 devant...).
Approche full speed en surface dans l'angle mort de son hydrophone.
Ca a bien marché jusqu'à 1900 mètres après quoi il a ouvert le feu sans prévenir. Après inutile d'insister, une fois qu'on est accroché, même en faisant le mort c'est impossible de lui échapper...
Bon, peut-être que j'aurais du plonger vers 2000 mètres et finir l'approche au périscope au lieu de rester crânement en surface...
L'impatience encore...
J'y r'tourne.
Puisque le jeu "triche", usons de ruse.
Après tout, les sous-mariniers faisaient avec les moyens de leur bord, je ne fais jamais que d'en faire autant, me battre avec les outils qui sont à ma disposition.
Voici la tactique utilisée:
Si je coule la corvette de gauche, j'ai tout le convoi libre à ma droite, le temps d'en toucher un peut-être deux avant de plonger vers le Nord-Est et rentrer(y a encore une corvette Flower de l'autre côté et un Destroyer Classe Hunt 1 devant...).
Approche full speed en surface dans l'angle mort de son hydrophone.
Ca a bien marché jusqu'à 1900 mètres après quoi il a ouvert le feu sans prévenir. Après inutile d'insister, une fois qu'on est accroché, même en faisant le mort c'est impossible de lui échapper...
Bon, peut-être que j'aurais du plonger vers 2000 mètres et finir l'approche au périscope au lieu de rester crânement en surface...
L'impatience encore...
J'y r'tourne.
#453
Ok, ça marche, 55 117 tonnes coulés. Après avoir touché la corvette et endommagé le destroyer je me suis retrouvé tout seul au milieu du convoi.
Dommage que je n'avais plus assez de munitions.
Dommage que je n'avais plus assez de munitions.
-
- Chef de patrouille
- Messages : 4812
- Inscription : 01 février 2005
#454
A mon avis ta tactique ne durera qu'un temps.
Plus tard ce ne sont pas 1 ou deux escorteurs qui protègent les convois mais parfois une bonne dizaine de destroyers, corvettes avec en plus un porte-avions d'escorte.
Plus tard ce ne sont pas 1 ou deux escorteurs qui protègent les convois mais parfois une bonne dizaine de destroyers, corvettes avec en plus un porte-avions d'escorte.
To patronize and to annoy...
And now for something completely different...
And now for something completely different...
#455
Oui c'est clair.
Sur 39 000 sous-mariniers allemands partis en mission, 32 000 ne sont jamais revenus.
C'est précisément à cause de ces escortes bourrées d'électronique.
M'enfin, y en a quand même 7 000 qui ont survécu. Je gage qu'ils n'attaquaient pas les convois trop fortement gardés à partir d'une certaine époque...
Sur 39 000 sous-mariniers allemands partis en mission, 32 000 ne sont jamais revenus.
C'est précisément à cause de ces escortes bourrées d'électronique.
M'enfin, y en a quand même 7 000 qui ont survécu. Je gage qu'ils n'attaquaient pas les convois trop fortement gardés à partir d'une certaine époque...
#456
Ca y est, je suis passé !
J'ai réussi à passer Nord-Sud dans La Manche sans me faire repérer !!
Là je vogue peinard vers BF13 avc les soutes à combustible quasiment pleines !
Si ma tactique intéresse quelqu'un je me ferais un plaisir de développer un peu.
Pause, Herr Kaleun a bien mérité de s'allonger un peu.
J'ai réussi à passer Nord-Sud dans La Manche sans me faire repérer !!
Là je vogue peinard vers BF13 avc les soutes à combustible quasiment pleines !
Si ma tactique intéresse quelqu'un je me ferais un plaisir de développer un peu.
Pause, Herr Kaleun a bien mérité de s'allonger un peu.
-
- Chef de patrouille
- Messages : 4812
- Inscription : 01 février 2005
#457
Ca m'intéresse. C'est à quelle période ?Chisum a écrit :Ca y est, je suis passé !
J'ai réussi à passer Nord-Sud dans La Manche sans me faire repérer !!
Là je vogue peinard vers BF13 avc les soutes à combustible quasiment pleines !
Si ma tactique intéresse quelqu'un je me ferais un plaisir de développer un peu.
Pause, Herr Kaleun a bien mérité de s'allonger un peu.
To patronize and to annoy...
And now for something completely different...
And now for something completely different...
#458
Et bien voici comment j'ai procédé.
Tout d'abord, j'ai changé d'emblème.
J'ai pris ça:
Ensuite, comparé à la route que j'avais tracée la première fois et qui n'était qu'une droite traversant le chanel en son centre, j'ai affiné un peu.
Dès le Nord de la Hollande, plus haut que Rotterdam déjà, j'ai abattu vers la côte hollandaise(neutre) pour la suivre à vitesse très lente et en plongée.
Là j'ai eu une aubaine: BdU m'a signalé un gros convoi dans mon Nord-Est et faisant route pile vers moi !!
L'aubaine c'était pas que j'allais couler des navires, c'est que les destroyers allaient aller protéger le convoi sans s'occuper de moi.
Moi, je l'ignore et je continue à 3 noeuds en plongée, 3 noeuds au grand maximum.
Pour recharger les batteries, la nuit vers 4/5 heures du matin, moteur arrêté. Le chef-machine va alors forcément le remettre en route pour le rechargement mais il ne donne pas plus de 1 noeud de vitesse et on est ainsi quasiment invisible tout du long car en mode silencieux évidement.
Dès que c'est rechargé plouf, plongée(pas trop bas car les fonds ne le permettent pas) et reprendre la marche d'escargot à 2/3 noeuds.
Quand un contact est détecté(j'ai mis un des meilleurs hommes à l'hydrophone), suivant sa distance, ralentir(encore, juste 1 noeud) ou couper les moteurs et faire le mort. Il y a ainsi un destroyer qui est passé à moins d'un demi mile de moi sans me voir !
Continuer ainsi en suivant la côte, au niveau de la Belgique(neutre aussi), puis de la France, ennemie "théorique"(voir plus bas)...
Je me suis arrangé pour arriver au passage délicat en plein jour, ceci afin de pouvoir mieux voir ce qui se passe en cas de pépin.
Et me voivi arrivé ici sans le moindre ennui:
La ligne rouge montre +/- la route suivie, la bleue montre l'évolution du convoi. Comme on le voit, j'ai des contacts ailleurs, des bâtiments de guerre, mais ils sont loin et ne me cherchent pas puisqu'ils ne savent pas que je suis là.
N'empêche, j'ai le coeur qui bat...
En arrivant près de Calais, je règle la vitesse sur 2 noeuds et je me rapproche de la côte encore plus fort.
Quand je dis proche, c'est proche:
De cette manière, j'arrive sans problème jusqu'ici:
Là, j'écarte légèrement la trajectoire, ce n'est plus nécessaire de serrer la côte française. On sait bien que c'est la drôle de guerre et qu'ils ne vont pas tirer(ils n'ont déclaré la guerre à l'Allemagne que parce qu'ils avaient un peu trop audacieusement signé un pacte d'assistance mutuelle avec la Pologne, mais enfin, ils n'avaient pas vraiment envie d'attaquer à cette époque-là) mais c'est pas une raison pour les provoquer quand même.
Et voilà, le plus gros est fait et je peux naviguer cette nuit une heure ou deux en surface et remettre un peu plus de vitesse.
Bon, il reste encore à passer Cherbourg et espérer que Guernesey ne soit pas sous haute protection, mais enfin c'est bien engagé.
Voilà, je crois que j'ai tout dit, sauf la période de l'action: j'ai quitté Kiel le 30 décembre 1939 donc là, c'est en janvier 1940.
Quand au sous-marin, c'est un VII/B bien sûr mais je n'ai pas choisi l'hydrophone à 300 points, j'ai préféré garder l'original qui me semble plus sûr.
En résumé: naviguer lentement et en plongée pour être inaudible et invisible.
C'est sans doute ce que les sous-mariniers ont du faire pour passer.
PS: rien à voir mais j'ai une question. Durant l'armement du navire à Kiel, j'ai équipé mon U-46 de torpilles T2 et je n'ai mis que des T2. Mais une fois en mer, je vérifie et je n'ai que 2 torpilles T2 dans les tubes 1 et 2, toutes les autres sont des T1...Pourquoi ?
Tout d'abord, j'ai changé d'emblème.
J'ai pris ça:
Ensuite, comparé à la route que j'avais tracée la première fois et qui n'était qu'une droite traversant le chanel en son centre, j'ai affiné un peu.
Dès le Nord de la Hollande, plus haut que Rotterdam déjà, j'ai abattu vers la côte hollandaise(neutre) pour la suivre à vitesse très lente et en plongée.
Là j'ai eu une aubaine: BdU m'a signalé un gros convoi dans mon Nord-Est et faisant route pile vers moi !!
L'aubaine c'était pas que j'allais couler des navires, c'est que les destroyers allaient aller protéger le convoi sans s'occuper de moi.
Moi, je l'ignore et je continue à 3 noeuds en plongée, 3 noeuds au grand maximum.
Pour recharger les batteries, la nuit vers 4/5 heures du matin, moteur arrêté. Le chef-machine va alors forcément le remettre en route pour le rechargement mais il ne donne pas plus de 1 noeud de vitesse et on est ainsi quasiment invisible tout du long car en mode silencieux évidement.
Dès que c'est rechargé plouf, plongée(pas trop bas car les fonds ne le permettent pas) et reprendre la marche d'escargot à 2/3 noeuds.
Quand un contact est détecté(j'ai mis un des meilleurs hommes à l'hydrophone), suivant sa distance, ralentir(encore, juste 1 noeud) ou couper les moteurs et faire le mort. Il y a ainsi un destroyer qui est passé à moins d'un demi mile de moi sans me voir !
Continuer ainsi en suivant la côte, au niveau de la Belgique(neutre aussi), puis de la France, ennemie "théorique"(voir plus bas)...
Je me suis arrangé pour arriver au passage délicat en plein jour, ceci afin de pouvoir mieux voir ce qui se passe en cas de pépin.
Et me voivi arrivé ici sans le moindre ennui:
La ligne rouge montre +/- la route suivie, la bleue montre l'évolution du convoi. Comme on le voit, j'ai des contacts ailleurs, des bâtiments de guerre, mais ils sont loin et ne me cherchent pas puisqu'ils ne savent pas que je suis là.
N'empêche, j'ai le coeur qui bat...
En arrivant près de Calais, je règle la vitesse sur 2 noeuds et je me rapproche de la côte encore plus fort.
Quand je dis proche, c'est proche:
De cette manière, j'arrive sans problème jusqu'ici:
Là, j'écarte légèrement la trajectoire, ce n'est plus nécessaire de serrer la côte française. On sait bien que c'est la drôle de guerre et qu'ils ne vont pas tirer(ils n'ont déclaré la guerre à l'Allemagne que parce qu'ils avaient un peu trop audacieusement signé un pacte d'assistance mutuelle avec la Pologne, mais enfin, ils n'avaient pas vraiment envie d'attaquer à cette époque-là) mais c'est pas une raison pour les provoquer quand même.
Et voilà, le plus gros est fait et je peux naviguer cette nuit une heure ou deux en surface et remettre un peu plus de vitesse.
Bon, il reste encore à passer Cherbourg et espérer que Guernesey ne soit pas sous haute protection, mais enfin c'est bien engagé.
Voilà, je crois que j'ai tout dit, sauf la période de l'action: j'ai quitté Kiel le 30 décembre 1939 donc là, c'est en janvier 1940.
Quand au sous-marin, c'est un VII/B bien sûr mais je n'ai pas choisi l'hydrophone à 300 points, j'ai préféré garder l'original qui me semble plus sûr.
En résumé: naviguer lentement et en plongée pour être inaudible et invisible.
C'est sans doute ce que les sous-mariniers ont du faire pour passer.
PS: rien à voir mais j'ai une question. Durant l'armement du navire à Kiel, j'ai équipé mon U-46 de torpilles T2 et je n'ai mis que des T2. Mais une fois en mer, je vérifie et je n'ai que 2 torpilles T2 dans les tubes 1 et 2, toutes les autres sont des T1...Pourquoi ?
#459
U46 à Bdu-Check Six_07/02/1940_En position BF13_Pas soucis_Mangé 3 lapins_Gros gâteau en vue, pas de mouches_+_Caviar au Sud Porstmouth_Rallierais Cadiz après attaque pour ravitaillement_Tout va bien.
-
- Jeune Pilote
- Messages : 1794
- Inscription : 27 décembre 2006
#462
Teufel !
Je m'étais glissé au milieu du convoi tel un loup dans un troupeau de moutons. Dès que ça a explosé, ça a fait une telle pagaille que les escorteurs n'ont pas pu faire leur travail !
Je suis très fier de ce coup-là, un cargo, un ravitailleur de munition et un pétrolier T2 avec 3 torpilles tirées quasi en même temps par faible visibilité au nez et à la barbes des Destroyers anglais !
Après ça, pas faire le gourmand: plongée à 100 mètres, vitesse 1 noeud cap inverse à la route du convoi et bye bye les roostbeaf.
Par contre j'ai du laisser filer un autre gros convoi qui allait trop vite et m'entrainait vers l'Ouest, bien trop loin de mes bases.
Finalement j'irais pas en Espagne, fait trop chaud.
Suis remonté vers le passage Nord. Tombé sur un petit convoi de trois pétroliers T3. Me léchais déjà les babines quand j'ai vu qu'ils étaient irlandais...Ouf, ils ont eu chaud, j'allais tirer.
La suite au Deutsche Wochenschau.
ghtye kjlùm pjurf gzlirt mkpjug djdaij nmrez hyygq wgtfx fdsjd
sdfuy fhtr jhggyr mpgh ertfg dkzml
Vous avez Enigma ?
PS: à propos, quand on touche un bateau avec une torpille, sur GWX on entend des gars qui exhultent en allemand puis qui font silence. Vous savez ce que c'est ? C'est le passage de Das Boot en version allemande lorsqu'ils ont fait mouche sur le gros convoi. Vous le saviez peut-être, moi je viens seulement de m'en rendre compte en regardant Das boot VO.
Je m'étais glissé au milieu du convoi tel un loup dans un troupeau de moutons. Dès que ça a explosé, ça a fait une telle pagaille que les escorteurs n'ont pas pu faire leur travail !
Je suis très fier de ce coup-là, un cargo, un ravitailleur de munition et un pétrolier T2 avec 3 torpilles tirées quasi en même temps par faible visibilité au nez et à la barbes des Destroyers anglais !
Après ça, pas faire le gourmand: plongée à 100 mètres, vitesse 1 noeud cap inverse à la route du convoi et bye bye les roostbeaf.
Par contre j'ai du laisser filer un autre gros convoi qui allait trop vite et m'entrainait vers l'Ouest, bien trop loin de mes bases.
Finalement j'irais pas en Espagne, fait trop chaud.
Suis remonté vers le passage Nord. Tombé sur un petit convoi de trois pétroliers T3. Me léchais déjà les babines quand j'ai vu qu'ils étaient irlandais...Ouf, ils ont eu chaud, j'allais tirer.
La suite au Deutsche Wochenschau.
ghtye kjlùm pjurf gzlirt mkpjug djdaij nmrez hyygq wgtfx fdsjd
sdfuy fhtr jhggyr mpgh ertfg dkzml
Vous avez Enigma ?
PS: à propos, quand on touche un bateau avec une torpille, sur GWX on entend des gars qui exhultent en allemand puis qui font silence. Vous savez ce que c'est ? C'est le passage de Das Boot en version allemande lorsqu'ils ont fait mouche sur le gros convoi. Vous le saviez peut-être, moi je viens seulement de m'en rendre compte en regardant Das boot VO.
#463
Bilan de cette 4ème sortie.
Intégrité coque 100%(pas été grenadé une seule fois !)
10 navires coulés
81 110 tonnes dans le fond
Aucune erreur d'identification
Total coulé en 4 missions: 151 925 tonnes(1er as historique 22 fév 1940 )
Réputation 5230.75
Aucun homme perdu.
Permission à Hambourg.
Intégrité coque 100%(pas été grenadé une seule fois !)
10 navires coulés
81 110 tonnes dans le fond
Aucune erreur d'identification
Total coulé en 4 missions: 151 925 tonnes(1er as historique 22 fév 1940 )
Réputation 5230.75
Aucun homme perdu.
Permission à Hambourg.
#464
hé ben, y'en a qui chaument pas !
allez, je vais faire un p'tit tour pépère dans mon Uboot
allez, je vais faire un p'tit tour pépère dans mon Uboot
Life is nothing but the occasional burst of laughter rising above the interminable wail of grief...
#465
Pas le temps de chomer .
Mutation accordée à Willemshaven, ça fera gagner du temps pour sortir.
Mon équipage est désormais chevronné et cette fois toutes mes torpilles sont des T2.
Garez-vous les destroyers !
Quitté base 25 mars 1940 pour AM32.
Le chef-mécanicien a gonflé le moteur et on arrive très rapidement à 18 noeuds.
A suivre...
Mutation accordée à Willemshaven, ça fera gagner du temps pour sortir.
Mon équipage est désormais chevronné et cette fois toutes mes torpilles sont des T2.
Garez-vous les destroyers !
Quitté base 25 mars 1940 pour AM32.
Le chef-mécanicien a gonflé le moteur et on arrive très rapidement à 18 noeuds.
A suivre...
#466
Nos services de renseignements on réussi à intercepter le document suivant, extrait de ce cahier arraché à l'ennemi, dont la lecture devrait aider tous les commandants de U-boot:
http://www.membres.lycos.fr/emirah/la%2 ... ntique.htm
Résultat des travaux d'un organisme créé vers la fin de la Première guerre mondiale, " l'Allied Submarine Detection Investigation Commitee " (Commission Alliée sur la détection des sous-marins). Il devait -- au moins en théorie -- pouvoir détecter la présence d'un sous-marin en plongée et révéler sa position.
Baptisé "ASDIC", d'après les initiales de la Commission (la version américaine fut appelé "SONAR", il comprenait un émetteur-récepteur que l'on plaçait sous la coque des bateaux dans un espèce de dôme en métal. Réfléchies par tout objet, les ondes sonores émises étaient captées à leur retour par le récepteur, produisant le célèbre "ping", qui allait devenir familier à des dizaines de milliers de marins -- et terrifier les équipages de submersibles.
Un opérateur expérimenté pouvait déterminer d'après l'intensité du son reçu en écho -- les musiciens étaient très recherchés pour ce travail -- si le sous-marin repéré s'approchait ou s'éloignait.
Couplé à un compas, l'appareil, qui pivotait comme un projecteur, indiquait la direction dans laquelle se trouvait le sous-marin, et le temps écoulé entre l'émission du train d'ondes et le retour de son écho donnait la distance.
Lorsqu'il fut perfectionné par la suite, ce système de détection permit à des navires de procéder à des recherches en groupe, les zones balayées par leur asdic ne laissaient aucun angle mort. Mais, au début des hostilités, différents facteurs limitèrent la portée de ce dispositif.
Tout d'abord, la grande majorité de ceux à qui l'on confiait le soin de l'utiliser étaient des hommes qui, arrachés brusquement à la vie civile, n'avaient reçu qu'un entraînement de trois mois avant d'être envoyés en mer. Tant qu'il n'auraient pas acquis une solide expérience de leur matériel, tous les échos leur sembleraient identiques, qu'ils proviennent de sous-marins, de rochers, d'épaves de navires coulés, de bancs de poissons ou même de couches d'eau à températures différentes.
Et on ne pouvait évidemment pas se permettre de semer l'Océan de grenades sous-marines chaque fois qu'un novice croyait avoir repéré un submersible.
D'ailleurs, même pour les opérateurs expérimentés, de graves problèmes techniques subsistaient.
Le faisceau d'ondes sonores émis par l'asdic revêtait une forme conique, dont la pointe se situait à l'émetteur; aussi, la zone couverte par l'asdic s'élargissait-elle avec la distance. Dans la limite de la portée de l'appareil -- environ 1 400 mètres --, un sous-marin risquait d'autant plus d'être repéré qu'il se trouvait plus éloigné.
A l'inverse, lorsque le submersible et le navire doté d'un asdic se rapprochaient l'un de l'autre, le faisceau d'ondes se rétrécissait jusqu'à ce que le contact avec l'U-Boot fût perdu. Les commandants de sous-marins, à l'écoute des "pings" de l'asdic, ne furent pas long à tirer parti de cette situation.
http://www.membres.lycos.fr/emirah/la%2 ... ntique.htm
Résultat des travaux d'un organisme créé vers la fin de la Première guerre mondiale, " l'Allied Submarine Detection Investigation Commitee " (Commission Alliée sur la détection des sous-marins). Il devait -- au moins en théorie -- pouvoir détecter la présence d'un sous-marin en plongée et révéler sa position.
Baptisé "ASDIC", d'après les initiales de la Commission (la version américaine fut appelé "SONAR", il comprenait un émetteur-récepteur que l'on plaçait sous la coque des bateaux dans un espèce de dôme en métal. Réfléchies par tout objet, les ondes sonores émises étaient captées à leur retour par le récepteur, produisant le célèbre "ping", qui allait devenir familier à des dizaines de milliers de marins -- et terrifier les équipages de submersibles.
Un opérateur expérimenté pouvait déterminer d'après l'intensité du son reçu en écho -- les musiciens étaient très recherchés pour ce travail -- si le sous-marin repéré s'approchait ou s'éloignait.
Couplé à un compas, l'appareil, qui pivotait comme un projecteur, indiquait la direction dans laquelle se trouvait le sous-marin, et le temps écoulé entre l'émission du train d'ondes et le retour de son écho donnait la distance.
Lorsqu'il fut perfectionné par la suite, ce système de détection permit à des navires de procéder à des recherches en groupe, les zones balayées par leur asdic ne laissaient aucun angle mort. Mais, au début des hostilités, différents facteurs limitèrent la portée de ce dispositif.
Tout d'abord, la grande majorité de ceux à qui l'on confiait le soin de l'utiliser étaient des hommes qui, arrachés brusquement à la vie civile, n'avaient reçu qu'un entraînement de trois mois avant d'être envoyés en mer. Tant qu'il n'auraient pas acquis une solide expérience de leur matériel, tous les échos leur sembleraient identiques, qu'ils proviennent de sous-marins, de rochers, d'épaves de navires coulés, de bancs de poissons ou même de couches d'eau à températures différentes.
Et on ne pouvait évidemment pas se permettre de semer l'Océan de grenades sous-marines chaque fois qu'un novice croyait avoir repéré un submersible.
D'ailleurs, même pour les opérateurs expérimentés, de graves problèmes techniques subsistaient.
Le faisceau d'ondes sonores émis par l'asdic revêtait une forme conique, dont la pointe se situait à l'émetteur; aussi, la zone couverte par l'asdic s'élargissait-elle avec la distance. Dans la limite de la portée de l'appareil -- environ 1 400 mètres --, un sous-marin risquait d'autant plus d'être repéré qu'il se trouvait plus éloigné.
A l'inverse, lorsque le submersible et le navire doté d'un asdic se rapprochaient l'un de l'autre, le faisceau d'ondes se rétrécissait jusqu'à ce que le contact avec l'U-Boot fût perdu. Les commandants de sous-marins, à l'écoute des "pings" de l'asdic, ne furent pas long à tirer parti de cette situation.
#467
Alors là, non, là je proteste !
J'avais encore tout un plein de torpilles T2, je ravitaille en mazout et quand je repars je n'en ai plus que 2 torpilles T2 toutes les autres sont des T1 !
J'avais encore tout un plein de torpilles T2, je ravitaille en mazout et quand je repars je n'en ai plus que 2 torpilles T2 toutes les autres sont des T1 !
-
- Chef de patrouille
- Messages : 4812
- Inscription : 01 février 2005
#468
[quote="Chisum"]Alors là] Hé hé ! Ca c'est ballot !
To patronize and to annoy...
And now for something completely different...
And now for something completely different...
#469
petite plaisanterie de l'équipage de la flotille de ravitaillement ?
Life is nothing but the occasional burst of laughter rising above the interminable wail of grief...
#470
C'est une bande d'empotés, pas étonnant qu'on a perdu la guerre .
Bon je crois que je vais reprendre à une sauvegarde parce que les T2 c'est vital.
Quoique c'est intéressant aussi de ravitailler. Je sais pas si c'est toujours comme ça mais j'ai eu droit à une spécialisation pour un membre de l'équipage.
Si il suffit de faire 25 km et revenir ravitailler, y a moyen de qualifier rapidement tout le monde pour peu de frais...
Ah il veut tricher ce jeu !
Edit: j'ai repris la mission 5 au début, j'ai même perdu ainsi un navire coulé.
Bon je crois que je vais reprendre à une sauvegarde parce que les T2 c'est vital.
Quoique c'est intéressant aussi de ravitailler. Je sais pas si c'est toujours comme ça mais j'ai eu droit à une spécialisation pour un membre de l'équipage.
Si il suffit de faire 25 km et revenir ravitailler, y a moyen de qualifier rapidement tout le monde pour peu de frais...
Ah il veut tricher ce jeu !
Edit: j'ai repris la mission 5 au début, j'ai même perdu ainsi un navire coulé.
#471
Et après une longue mission, ne pas oublier de descendre sur la Reeperbahn et à Sankt Pauli. C'est important pour l'immersion !
Musique :
Silbern klingt und springt die Heuer, heut speel ick dat feine Oos.
Heute ist mir nichts zu teuer, morgen geht die Reise los.
Langsam bummel ich ganz alleine die Reeperbahn nach der Freiheit rauf.
Treff ich eine recht blonde, recht feine, die gabel ich mir auf.
Komm doch, liebe Kleine, sei die Meine, sag nicht nein!
Du sollst bis morgen früh um neune meine kleine Liebste sein.
Ist dir's recht, na dann bleib ich dir treu sogar bis um zehn.
Hak' mich unter, wir woll'n jetzt zusammen mal bummeln gehn.
Auf der Reeperbahn nachts um halb eins, ob du'n Mädel hast oder hast keins,
amüsierst du dich, denn das findet sich auf der Reeperbahn nachts um halb eins.
Wer noch niemals in lustiger Nacht solchen Reeperbahnbummel gemacht,
ist ein armer Wicht, denn er kennt dich nicht, mein Sankt Pauli, Sankt Pauli bei Nacht.
Kehr ich heim im nächsten Jahre, braun gebrannt wie'n Hottentott,
hast du deine blonden Haare schwarz gefärbt, vielleicht auch rot.
Grüßt dich dann mal ein fremder Jung', und du gehst vorüber und kennst ihn nicht,
kommt dir vielleicht die Erinnerung wieder, wenn leis' er zu dir spricht:
Komm doch, liebe Kleine, sei die meine, sag nicht nein!
Du sollst bis morgen früh um neune meine kleine Liebste sein.
Ist dir's recht, na dann bleib ich dir treu sogar bis um zehn.
Hak' mich unter, wir woll'n jetzt zusammen mal bummeln gehn.
Auf der Reeperbahn nachts um halb eins... tiroulirouli...
Musique :
Silbern klingt und springt die Heuer, heut speel ick dat feine Oos.
Heute ist mir nichts zu teuer, morgen geht die Reise los.
Langsam bummel ich ganz alleine die Reeperbahn nach der Freiheit rauf.
Treff ich eine recht blonde, recht feine, die gabel ich mir auf.
Komm doch, liebe Kleine, sei die Meine, sag nicht nein!
Du sollst bis morgen früh um neune meine kleine Liebste sein.
Ist dir's recht, na dann bleib ich dir treu sogar bis um zehn.
Hak' mich unter, wir woll'n jetzt zusammen mal bummeln gehn.
Auf der Reeperbahn nachts um halb eins, ob du'n Mädel hast oder hast keins,
amüsierst du dich, denn das findet sich auf der Reeperbahn nachts um halb eins.
Wer noch niemals in lustiger Nacht solchen Reeperbahnbummel gemacht,
ist ein armer Wicht, denn er kennt dich nicht, mein Sankt Pauli, Sankt Pauli bei Nacht.
Kehr ich heim im nächsten Jahre, braun gebrannt wie'n Hottentott,
hast du deine blonden Haare schwarz gefärbt, vielleicht auch rot.
Grüßt dich dann mal ein fremder Jung', und du gehst vorüber und kennst ihn nicht,
kommt dir vielleicht die Erinnerung wieder, wenn leis' er zu dir spricht:
Komm doch, liebe Kleine, sei die meine, sag nicht nein!
Du sollst bis morgen früh um neune meine kleine Liebste sein.
Ist dir's recht, na dann bleib ich dir treu sogar bis um zehn.
Hak' mich unter, wir woll'n jetzt zusammen mal bummeln gehn.
Auf der Reeperbahn nachts um halb eins... tiroulirouli...
#472
Oui la Reeperbahn, je connais presque comme ma poche(enfin, ça a du changer pas mal depuis 35 ans !), on a fait escale plusieurs fois à Hamburg et c'était la seule direction connue .
Fini mission 5.
Pas facile....
Tenté de prendre un gros convoi en chasse en Mer d'Irlande, mais une maudite corvette "Flower" m'a harcelé sans arrêt. Finalement je l'ai coulée mais ensuite impossible de me rapprocher du convoi...
Remonté par le Nord et tombé sur une escadre à l'ancre près de Trondheim. Fort peu agressive. Coulé 2 destroyer "Tribal", un croisseur léger "Fiji" et un transport de troupe.
Ca explose d'un coup un croiseur !
Anecdote.
J'étais d'abord arrivé de nuit avec 3 torpilles devant et 1 derrière(les réserves étaient sur le pont).
D'abord coulé les deux destroyers avec 2 torpilles. Puis tiré une(tube arrière) sur un transport mais de trop loin, raté et puis la dernière sur le troisième destroyer qui m'a pris en chasse et a esquivé.
Je me suis évadé en haute mer, j'ai rechargé et suis revenu de jour pour faire le croiseur et le transport avec mes deux dernières torpilles.
Zy ont vu que du feu.
Total mission 53 000 tonnes
Au total je dépasse les 200 000 tonnes au 6 mai 1940.
Pour une première campagne je ne me plains pas.
Hâte de reprendre la mer une fois.
PS: tombé sur un bug:
A propos, on m'a parlé d'un patch 1.03 pour GWX qu'en est-il ??
EDIT.
Pour ceux qui savent où se trouve la caverne d'Ali Baba, il y a un document sur les U-boot terriblement intéressant car contenant des images rarissimes. Il porte le titre "Archive of War - Battle of the Atlantic 1939-45 (Eng, 46 mins, DivX v5) u-boat u-boats uboat uboats ww2.avi" et on y voit entre autres choses de longs moment à l'intérieur du sous-marin. Durée 46' langue anglaise.
Fini mission 5.
Pas facile....
Tenté de prendre un gros convoi en chasse en Mer d'Irlande, mais une maudite corvette "Flower" m'a harcelé sans arrêt. Finalement je l'ai coulée mais ensuite impossible de me rapprocher du convoi...
Remonté par le Nord et tombé sur une escadre à l'ancre près de Trondheim. Fort peu agressive. Coulé 2 destroyer "Tribal", un croisseur léger "Fiji" et un transport de troupe.
Ca explose d'un coup un croiseur !
Anecdote.
J'étais d'abord arrivé de nuit avec 3 torpilles devant et 1 derrière(les réserves étaient sur le pont).
D'abord coulé les deux destroyers avec 2 torpilles. Puis tiré une(tube arrière) sur un transport mais de trop loin, raté et puis la dernière sur le troisième destroyer qui m'a pris en chasse et a esquivé.
Je me suis évadé en haute mer, j'ai rechargé et suis revenu de jour pour faire le croiseur et le transport avec mes deux dernières torpilles.
Zy ont vu que du feu.
Total mission 53 000 tonnes
Au total je dépasse les 200 000 tonnes au 6 mai 1940.
Pour une première campagne je ne me plains pas.
Hâte de reprendre la mer une fois.
PS: tombé sur un bug:
A propos, on m'a parlé d'un patch 1.03 pour GWX qu'en est-il ??
EDIT.
Pour ceux qui savent où se trouve la caverne d'Ali Baba, il y a un document sur les U-boot terriblement intéressant car contenant des images rarissimes. Il porte le titre "Archive of War - Battle of the Atlantic 1939-45 (Eng, 46 mins, DivX v5) u-boat u-boats uboat uboats ww2.avi" et on y voit entre autres choses de longs moment à l'intérieur du sous-marin. Durée 46' langue anglaise.
#473
Joli tableau de chasse effectivement. Tu as combien en pourcentage réalisme ?
Car avec 75% (seulement la séquence de tir manuelle débrayée), je les trouve pas mal aggressifs et fûtés dès novembre 39, ces gens de la Royal Navy. Ils te repèrent un périscope à 2000m même par temps de brouillard. Du coup, je tape la méf' maintenant, sans attendre les Uber-ASDIC de 1943 !
Au fait, le patch 1.03 pèse 83 Mo.
Car avec 75% (seulement la séquence de tir manuelle débrayée), je les trouve pas mal aggressifs et fûtés dès novembre 39, ces gens de la Royal Navy. Ils te repèrent un périscope à 2000m même par temps de brouillard. Du coup, je tape la méf' maintenant, sans attendre les Uber-ASDIC de 1943 !
Au fait, le patch 1.03 pèse 83 Mo.
#474
Ouf !
75 % ce sera pour quand je serais grand .
Là je suis seulement à 54%, c'est la première fois que je joue et j'apprends toujours. On verra plus tard à durcir un peu.
M'enfin, on peut pas dire que c'est facile quand même.
Le patch il apporte quoi d'important si tu l'as déjà essayé ?
Edit: non ok, j'ai trouvé:
http://www.users.on.net/~jscones/GWX/ChangeLog.html
75 % ce sera pour quand je serais grand .
Là je suis seulement à 54%, c'est la première fois que je joue et j'apprends toujours. On verra plus tard à durcir un peu.
M'enfin, on peut pas dire que c'est facile quand même.
Le patch il apporte quoi d'important si tu l'as déjà essayé ?
Edit: non ok, j'ai trouvé:
http://www.users.on.net/~jscones/GWX/ChangeLog.html
-
- Chef de patrouille
- Messages : 4812
- Inscription : 01 février 2005
#475
Je ne crois pas qu'augmenter/diminuer la difficulté rende les ennemis plus intelligents/stupides. Ils sont toujours au même niveau quelqu'elle soit.
Là, c'est juste qu'au début de la guerre, tout n'était pas très au point chez les alliés. Ca devient bien plus sportif après 1941....
En fait c'est ta resistance et ta facilité à couler des navires qui est affectée par le pourcentage de difficulté.
Rien de plus.
Là, c'est juste qu'au début de la guerre, tout n'était pas très au point chez les alliés. Ca devient bien plus sportif après 1941....
En fait c'est ta resistance et ta facilité à couler des navires qui est affectée par le pourcentage de difficulté.
Rien de plus.
To patronize and to annoy...
And now for something completely different...
And now for something completely different...