Je viens de l'acheter. Je vous en dirai plus après lecture.
Forces Aériennes Stratégiques
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#1Un livre vient de sortir sur l'histoire des FAS de 1964 à nos jours. L'ouvrage semble bien documenté avec un certain nombre de témoignages inédits sur le Mirage IV notamment. Il comble un manque car rien n'existait auparavant sur le sujet à part les livres de photos de Paringaux.
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P IV 3.4Ghz HT, 1024 Mo DDR 3200 Infineon, ATI 9800 Pro, DD 200 Go
:exit:-
warbird2000
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#3
Il y a avait quand même le docavia sur le mirage IV qui consacrait pas mal de pages aux FAS. Parlait des doctrines et contenait quelques témoignages.Kleist a écrit :Un livre vient de sortir sur l'histoire des FAS de 1964 à nos jours. L'ouvrage semble bien documenté avec un certain nombre de témoignages inédits sur le Mirage IV notamment. Il comble un manque car rien n'existait auparavant sur le sujet à part les livres de photos de Paringaux.
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Ouvrage dont les commentaires ne caressent pas toujours dans le sens du poil.
Un officier zélé voulait interdire à ses pilotes de jouer aux cartes . Réponse des pilotes Quand on nous dit : Poker, Rami , Canasta, qu est ce qu on fait ?
#4
Oui, tu as raison. Tu fais référence au livre de Beaumont sur le Mirage IV, aujourd'hui épuisé.
Le livre de Gadal s'intéresse aux FAS en général et traite notamment des missiles du plateau d'Albion, sur lesquels peu de choses ont été écrites. Les derniers chapitres concernent le 2000N et le Rafale.
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warbird2000
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#5
Oui c était la brique Beaumont.Kleist a écrit :Oui, tu as raison. Tu fais référence au livre de Beaumont sur le Mirage IV, aujourd'hui épuisé.
Le livre de Gadal s'intéresse aux FAS en général et traite notamment des missiles du plateau d'Albion, sur lesquels peu de choses ont été écrites. Les derniers chapitres concernent le 2000N et le Rafale.
Merci pour les précisions
#6
Une citation pour illustrer ce livre sur les FAS avec le témoignage d'un ancien pilote qui nous relate une mission de reconnaissance photographique:
"Nous roulons précautionneusement vers la piste de décollage, afin de ménager les pneumatiques : l’avion pèse environ 33 tonnes (5 bidons : 2 bidons de 2.500 litres de carburant, 2 pods de 600kgs CT51 de contre-mesures électroniques et le " pod " photo de 800kgs), soit la masse Max autorisée. Il fait encore nuit, et nous devrons opérer au petit matin, à basse altitude, à la sortie du détroit du Bosphore.
Mon navigateur, Henri Hiron, (dit " Le Yéyé "), me dit que tout est OK derrière. On respire un grand coup, et j’affiche la pleine puissance PC . La course du décollage n’en finit pas et la tension est palpable.
A 190 nœuds, lever de la roulette de nez et rotation souple. La main gauche, vigilante, est demeurée dans le secteur des manettes de puissance, du levier de rentrée du train et des boutons de largage des charges extérieures de voilure.
Enfin 320 nœuds ; nous reprenons une respiration normale, et entamons, à 400 noeuds la montée vers le sud-est. Au dessus des nuages, la clarté de l’aube naissante de ce mois de juin 1973, offre ses couleurs enchantées. Mais voici bientôt la Corse et le contrôle de " Zara ", qui autorise une descente autonome, et nous interroge sur la suite de notre mission : " Nous poursuivrons sur la mer à basse altitude, vers l’est, et rappellerons dans…quelques heures ". Silence poli du contrôleur….sans doute prévenu succinctement par le COFAS..."
La partie "Témoignages" du livre (80 p. sur 400) est tout à fait fascinante.
"Nous roulons précautionneusement vers la piste de décollage, afin de ménager les pneumatiques : l’avion pèse environ 33 tonnes (5 bidons : 2 bidons de 2.500 litres de carburant, 2 pods de 600kgs CT51 de contre-mesures électroniques et le " pod " photo de 800kgs), soit la masse Max autorisée. Il fait encore nuit, et nous devrons opérer au petit matin, à basse altitude, à la sortie du détroit du Bosphore.
Mon navigateur, Henri Hiron, (dit " Le Yéyé "), me dit que tout est OK derrière. On respire un grand coup, et j’affiche la pleine puissance PC . La course du décollage n’en finit pas et la tension est palpable.
A 190 nœuds, lever de la roulette de nez et rotation souple. La main gauche, vigilante, est demeurée dans le secteur des manettes de puissance, du levier de rentrée du train et des boutons de largage des charges extérieures de voilure.
Enfin 320 nœuds ; nous reprenons une respiration normale, et entamons, à 400 noeuds la montée vers le sud-est. Au dessus des nuages, la clarté de l’aube naissante de ce mois de juin 1973, offre ses couleurs enchantées. Mais voici bientôt la Corse et le contrôle de " Zara ", qui autorise une descente autonome, et nous interroge sur la suite de notre mission : " Nous poursuivrons sur la mer à basse altitude, vers l’est, et rappellerons dans…quelques heures ". Silence poli du contrôleur….sans doute prévenu succinctement par le COFAS..."
La partie "Témoignages" du livre (80 p. sur 400) est tout à fait fascinante.
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JulietBravo
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