Une chasse au sous-marin, frégate, Lynx, ATL
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#26
Disons que pour di mercurio le "sous marin de l' apocalypse" est top on y croit sauf pour le coup des polymeres mais bon (et puis 60 noeuds ça fait beaucoup pour un soum )
Operation seawolf est pas mal aussi comme celui d' aprés la derniere chance avec un Ben laden avant l heure pour le reste .....heu le seawolf avec des vortex en ceintures puis le SSN avec des missilles en propulseurs qui file à 300 noeuds heu je passe ...
mais sa nouvelle serie est pas mal du tout avec le capitaine vornado
voilà c' 'etait ma critique litterraire du soir ...........espoir
Operation seawolf est pas mal aussi comme celui d' aprés la derniere chance avec un Ben laden avant l heure pour le reste .....heu le seawolf avec des vortex en ceintures puis le SSN avec des missilles en propulseurs qui file à 300 noeuds heu je passe ...
mais sa nouvelle serie est pas mal du tout avec le capitaine vornado
voilà c' 'etait ma critique litterraire du soir ...........espoir
carte mere MSI Z97-G43 (MS-7816)/ Intel Core i7 @ 4000 MHz-/8192 Mo/NVIDIA GeForce GTX 970/ Western Digital WD10EZEX-08M2NA0 ATA Device (1000Go)/Windows 7 64bit
#27
Je viens de le découvrir et comme toujours j'arrive un peu à la bourre sur ce genre de topic.
Pour avoir pratiqué l'engin pendant quelques années sur Frégates ASM (dont le Latouche-Tréville), il faut savoir que le Lynx a été, dès le départ conçu pour embarquer avec un harpon, repliage des pales principales et du RAC pour un encombrement minimum à bord, emport d'un treuil sonar avec tout l'attirail de détection (y compris l'ETBF) et la capacité de tirer des torpilles (j'ai même connu l'époque où il tirait le missile filo-guidé AS12...) et bien sûr tout ce dont dispose les hélicoptères "lambda" à savoir la capacité de treuiller du personnel, en version SAR ou cargo. Alors que le Panther (version militarisée du Dauphin) est une machine qu'on a navalisée avec plus ou moins de succès à cause de la fragilité de sa cellule, mais il ne faut pas vouloir à tout prix les comparer car de toute façon elles n'ont pas les mêmes missions, le lynx pour l'ASM avec son sonar et le Panther pour la surface avec son radar et son système de transmission de données "Titus".
Le Lynx se fait vieux oui mais je peux vous certifier que ce taxi encaisse beaucoup mieux la "vie embarquée" d'un aéronef que le Panther puisqu'il a été fait pour. Vous pouvez le laisser au chaud dans son hangar, plié et saisiné gros temps (12 à 14 saisines) pendant tout le temps que vous voudrez lorsqu'il fait vraiment mauvais dehors, ce qui est rare car ses limitations sont bien supérieures à celle du Panther, alors que pour ce dernier n'aprécie pas beaucoup de se faire "branler" dans les même conditions et surtout, sa tête rotor "semi rigide" n'accepte pas de resté pliée trop longtemps.
Voilà ce que m'a appris 16 ans de navigation en tant que "Chien Jaune" sur Pa avec le Dauphin, Frégates ASM avec le Lynx et de surveillance avec le Panther.
Pour avoir pratiqué l'engin pendant quelques années sur Frégates ASM (dont le Latouche-Tréville), il faut savoir que le Lynx a été, dès le départ conçu pour embarquer avec un harpon, repliage des pales principales et du RAC pour un encombrement minimum à bord, emport d'un treuil sonar avec tout l'attirail de détection (y compris l'ETBF) et la capacité de tirer des torpilles (j'ai même connu l'époque où il tirait le missile filo-guidé AS12...) et bien sûr tout ce dont dispose les hélicoptères "lambda" à savoir la capacité de treuiller du personnel, en version SAR ou cargo. Alors que le Panther (version militarisée du Dauphin) est une machine qu'on a navalisée avec plus ou moins de succès à cause de la fragilité de sa cellule, mais il ne faut pas vouloir à tout prix les comparer car de toute façon elles n'ont pas les mêmes missions, le lynx pour l'ASM avec son sonar et le Panther pour la surface avec son radar et son système de transmission de données "Titus".
Le Lynx se fait vieux oui mais je peux vous certifier que ce taxi encaisse beaucoup mieux la "vie embarquée" d'un aéronef que le Panther puisqu'il a été fait pour. Vous pouvez le laisser au chaud dans son hangar, plié et saisiné gros temps (12 à 14 saisines) pendant tout le temps que vous voudrez lorsqu'il fait vraiment mauvais dehors, ce qui est rare car ses limitations sont bien supérieures à celle du Panther, alors que pour ce dernier n'aprécie pas beaucoup de se faire "branler" dans les même conditions et surtout, sa tête rotor "semi rigide" n'accepte pas de resté pliée trop longtemps.
Voilà ce que m'a appris 16 ans de navigation en tant que "Chien Jaune" sur Pa avec le Dauphin, Frégates ASM avec le Lynx et de surveillance avec le Panther.
Cooler Master Cosmos 2 SE, Intel core i5-4460 3,20Ghz, Asus B85 ProGamer, Nvidia Geforce GTX 980, 16 Go DDR3, Corsair 750W, Acer Kg271a 27" HP EliteDisplay E231 23", W10, Saïtek X52pro + ProFlightRudder, Clavier Logitech G105, Souris Logitech G502, Tir3 + Vector Expansion + Track Clip Pro
Plus vous saurez regarder loin dans le passé, plus vous verrez loin dans le futur.
#28
Un pas negatif pourrait permettre de reprendre plus vite des tours rotor en cas d'autorotation foireuse ?
#29
Dans l'absolue je dirais que oui, mais la différence serait sans doute très insignifiante...Famas_TAW a écrit :Un pas negatif pourrait permettre de reprendre plus vite des tours rotor en cas d'autorotation foireuse ?
Et puis le problème de la perte de tours çà se joue au tout début, lorsque la panne survient. A ce moment c'est surtout la hauteur de l'appareil qui est primordiale de même que la rapidité du pilote à baisser le pas.
Sur les monomoteurs, c'est quasi un réflexe pour le pilote! Celui-ci n'ayant qu'un seul bourrin, il est toujours "cablé" pour l'autorote; c'est beaucoup moins vrai sur multimoteur où l'autorote n'est envisagée d'emblée que dans un nombre très restreint de situations assez peu probables...
Même si le pilote tarde un peu à réagir pour baisser le pas, si il est assez haut, sa vitesse de chute lui redonnera des tours...
Par contre si il se rate lors du "flare", là c'est foutu, à 30m/sol, il est trop tard pour rebaisser le pas!...
ps: En fait une fois en autorotation il faut faire plus attention au sur-régime rotor (causée par le taux de chute) qu'à la perte de tours. D'ailleurs sur certaines machine qui prennent facilement des tours il faut parfois rajouter un peu de pas pour éviter de rentrer en sur-régime (ce qui pourrait entraîner une perte pure et simple du rotor...)
#30
Je viens d'attaquer "Nimitz", je n'en suis qu'au premier chapitre mais j'ose déjà appeller la traduction une catastrophe...mitor74 a écrit :ps: D'une manière général ses bouquins sont meilleurs en VO, le traducteur n'est visiblement pas très à l'aise avec le vocabulaire des sous-mariniers...
Page de présentation du pont d'envol : "longueur : 957 m"
Avant-propos : une vitesse est donnée en "noeuds à l'heure"
Page 26 : "Les pilotes de l'Aéronavale balancent leurs Tomcats de 22 tonnes sans ménagement, à 160 noeuds, les dirigent droit sur le pont à 160 noeuds ... "
Page 37 : "le souffle des réacteurs fait trembler l'atmosphère" (on parle d'un Hawkeye)
Page 37 également : "Howell était de retour dans le circuit. Avec un nouvel avion RIO ..." (d'après une "search inside" sur Amazon, la VO était "with a new RIO" ; de plus la définition de RIO avait été donnée page 22, et d'ailleurs traduite en en OIR)
Je vais lire la suite parce que j'ai pas vraiment les moyens de m'acheter la VO d'un bouquin que je n'ai pas l'intention de re-lire 100 fois, mais quand même...
#31
@ Rob1: Pourrais-tu m'indiquer l'éditeur et l'auteur de cet excellent ouvrage?
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#32
C'est Patrick Robinson
Je l'ai vu en VO sur Amazon en occasion, le titre original est "Nimitz Class" chez Harpercollins.
L'édition française a pour titre "Nimitz" et c'est dans la collection Livre de Poche...
Je pense essayer de me le trouver à la rentrée d'occase en VO, vu que ça m'a l'air pas mal du tout
Je l'ai vu en VO sur Amazon en occasion, le titre original est "Nimitz Class" chez Harpercollins.
L'édition française a pour titre "Nimitz" et c'est dans la collection Livre de Poche...
Je pense essayer de me le trouver à la rentrée d'occase en VO, vu que ça m'a l'air pas mal du tout
#33
Nan, je voulais juste l'éditeur de la VF. Pour décerner un BC, il faut les références du titulaire...
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#34
Re ! (désolé, j'étais en vacs 15 jours sans accès web)*Aquila* a écrit :@ Rob1: Pourrais-tu m'indiquer l'éditeur et l'auteur de cet excellent ouvrage?
Alors l'édition de Nimitz que j'aie est Albin Michel (ISBN 2-226-09568-3), traduite par Claudie Langlois-Chassaignon.
Le reste de la traduction contient aussi beaucoup d'erreurs, je ne vais pas m'amuser à les relever toutes, mais ce qui m'a le plus fait chier c'est le mélange d'acronymes parfois conservés en anglais (CNO, SDV) et parfois traduits (CCFP au lieu de CINCPACFLT, c'est original...). Le top étant la NSA qui est un coup appelée NSA, un coup ANS...
J'avais aussi lu Barracuda 945 aussi chez Albin Michel, mais trad de Bernard Blanc, c'était à un niveau nettement plus compréhensible.
#35
Merci Rob1, je crédite ma blacklist.
Je ne lancerai pas une pierre, pas même un gravillon ni un regard noir en direction de cette dame. Ne rien connaitre aux questions militaires n'est pas une tare. Par contre, quand on entend éditer un livre à des fins lucratives, et qu'on a un semblant de respect pour le client, on ne confie pas un ouvrage spécialisé à un traducteur généraliste. Et quand on le fait, c'est en pleine connaissance de cause. Dont acte.traduite par Claudie Langlois-Chassaignon
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#37
En même temps, les bons traducteurs qui sont aussi capables d'ingérer du technique ne courent pas les rues, hélas...
Tiens, vous savez combien de personnes dans ma promo d'anglais avaient un bac S?
Un seul, sur 218 personnes.
(Devinez qui, d'ailleurs? )
Tiens, vous savez combien de personnes dans ma promo d'anglais avaient un bac S?
Un seul, sur 218 personnes.
(Devinez qui, d'ailleurs? )
#38
Soit dit en passant chez Albin Michel, ils ont déjà Jean Bonnefoy sur les Tom Clancy, les bouquins de Richard Clarke et celui de Eric Haney sur la Delta Force... C'est pas que j'aime particulièrement ce type, mais il aurait été logique de lui filer Nimitz.
Mais bon, j'ai pas trop d'illusions à leur sujet, un Tom Clancy sorti en 1 tome de 400 pages en livre de poche, ils parviennent (c'est un exploit dans le genre) à le sortir en 2 tomes, format standard, de 350 pages chacun... Vachement pratique
à trimbaler, et 1 pour le prix de 2...
Mais bon, j'ai pas trop d'illusions à leur sujet, un Tom Clancy sorti en 1 tome de 400 pages en livre de poche, ils parviennent (c'est un exploit dans le genre) à le sortir en 2 tomes, format standard, de 350 pages chacun... Vachement pratique
à trimbaler, et 1 pour le prix de 2...
#39
@ Wild: on a déjà vu des "hommes de l'art" (c'est à dire des personnes impliquées professionnellement dans le domaine traité), à la retraite ou en activité, jouer les traducteurs en dilettante. Ainsi le CV Denis CHAPUIS a-t-il amplement mis la main à la pâte pour "Code SSN". Et si ce bouquin est une croûte en VF, ce n'est pas de sa faute! C'est une croûte également en VO, et le binôme CHAPUIS a fait de la VF une croûte impeccablement traduite!
Rob1, mon enfant, quand tes yeux auront l'âge des miens, tu militeras comme un tigre pour la multiplication des volume et le grossissement des textes!Rob1 a écrit :Mais bon, j'ai pas trop d'illusions à leur sujet, un Tom Clancy sorti en 1 tome de 400 pages en livre de poche, ils parviennent (c'est un exploit dans le genre) à le sortir en 2 tomes, format standard, de 350 pages chacun... Vachement pratique
à trimbaler, et 1 pour le prix de 2...
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#40
Bien sûr. Ce que je voulais dire, c'est que le boulot de l'éditeur sur le plan de la traduction pour les ouvrages techniques n'est pas toujours évident.*Aquila* a écrit :@ Wild: on a déjà vu des "hommes de l'art" (c'est à dire des personnes impliquées professionnellement dans le domaine traité), à la retraite ou en activité, jouer les traducteurs en dilettante. Ainsi le CV Denis CHAPUIS a-t-il amplement mis la main à la pâte pour "Code SSN". Et si ce bouquin est une croûte en VF, ce n'est pas de sa faute! C'est une croûte également en VO, et le binôme CHAPUIS a fait de la VF une croûte impeccablement traduite!
Ainsi, s'il veut trouver un "lettreux" qui manie la technique (par exemple parce que l'ouvrage à traduire est assez littéraire, en sus de son contenu technique), il va avoir du mal parce qu'il y en a très peu. Son carnet ne doit comporter que quelques noms, au mieux. Maintenant, il suffit que les personnes en question soient, au même moment, déjà occupées sur une autre traduction, et il est marron. S'il n'est pas dans la situation financière de pouvoir attendre, il est contraint de faire avec ce qu'il a sous la main comme traducteurs/traductrices.
A l'inverse, si l'ouvrage n'est pas trop littéraire, le plus simple est effectivement de faire appel à quelqu'un de la partie qui possède un bon niveau d'anglais. Le truc, c'est que là aussi il faut déjà en connaître, et ensuite même si l'on en connaît il faut encore en trouver un parmi ceux-là qui est prêt à se livrer au travail ingrat de la traduction, c'est-à-dire en général plusieurs heures de travail par jour pendant trois mois, le tout payé au SMIC horaire pakistanais.
Bref, je tombe moi-même souvent sur des ouvrages si mal traduits (et pas que des ouvrages techniques, en plus, parfois ) que j'en ai la larme à l'oeil, mais c'était simplement pour dire que le boulot d'éditeur sur ce plan-là n'était pas toujours aussi évident qu'il en a l'air, et ce qui semble relever de l'incompétence ou d'une crasse légèreté peut simplement avoir été également entraîné par de défavorables circonstances.
#41
Je suis entièrement d'accord avec toi.
Toutefois, concilier la liberté d'entreprise avec le caractère aisé du travail et la garanie du bénef, c'est vouloir le beurre, l'argent du beurre et la crémière. Quand la solution de facilité conduit à la vente, en pleine connaissance de cause, de merde en boîte à un public qui n'en veut pas, et pour le prix d'un vrai bouquin, je choisis de garder mon beurre, mon argent et (soyez-en assurés!!!) ma crémière! Alors quand je me suis fait avoir une fois, je le fais savoir et on ne m'y reprend pas.
Mais je refuse de céder à la logique "de la merde ou rien". S'ils veulent une bonne traduc, qu'ils m'envoient un mail avec des propositions pour les quelques domaines où je saurais faire. Ou alors qu'ils s'accomodent de ma publicité incendiaire et de mon caractère de cochon. C'est pas les profs d'Anglais qui vont me détester, car j'encourage vivement chaque lecteur du forum à franchir le pas des bouquins en VO, quitte à s'armer d'un bon dico. Quant aux plus jeunes ici, suivez en cours d'Anglais. Ca vous permettra au moins de lire des livres formidables sur ce qui vous passionne, au lieu de devoir subir la rillette francophone (quoique...) frelatée que certains vendent sans vergogne.
Clémenceau disait "le meilleur moment dans l'amour, c'est quand on monte l'escalier". C'est trop souvent ce qu'on ressent en revenant de la librairie avec le bouquin qu'on a payé avec ses sous gagnés honnêtement.
Toutefois, concilier la liberté d'entreprise avec le caractère aisé du travail et la garanie du bénef, c'est vouloir le beurre, l'argent du beurre et la crémière. Quand la solution de facilité conduit à la vente, en pleine connaissance de cause, de merde en boîte à un public qui n'en veut pas, et pour le prix d'un vrai bouquin, je choisis de garder mon beurre, mon argent et (soyez-en assurés!!!) ma crémière! Alors quand je me suis fait avoir une fois, je le fais savoir et on ne m'y reprend pas.
Là, c'est très simple. Un officier de marine ne fera pas ce travail pour un SMIC pakistanais. Sauf peut-être à le recruter dans l'arrière boutique d'une fumerie singapourienne, auquel cas il ne le fera pas de toute manière, pour cause d'inaptitude acquise.même si l'on en connaît il faut encore en trouver un parmi ceux-là qui est prêt à se livrer au travail ingrat de la traduction, c'est-à-dire en général plusieurs heures de travail par jour pendant trois mois, le tout payé au SMIC horaire pakistanais.
Mais je refuse de céder à la logique "de la merde ou rien". S'ils veulent une bonne traduc, qu'ils m'envoient un mail avec des propositions pour les quelques domaines où je saurais faire. Ou alors qu'ils s'accomodent de ma publicité incendiaire et de mon caractère de cochon. C'est pas les profs d'Anglais qui vont me détester, car j'encourage vivement chaque lecteur du forum à franchir le pas des bouquins en VO, quitte à s'armer d'un bon dico. Quant aux plus jeunes ici, suivez en cours d'Anglais. Ca vous permettra au moins de lire des livres formidables sur ce qui vous passionne, au lieu de devoir subir la rillette francophone (quoique...) frelatée que certains vendent sans vergogne.
Clémenceau disait "le meilleur moment dans l'amour, c'est quand on monte l'escalier". C'est trop souvent ce qu'on ressent en revenant de la librairie avec le bouquin qu'on a payé avec ses sous gagnés honnêtement.
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#42
Déterrage de topic pour éviter d'en créer un hors-sujet.
J'entends actuellement des bruits contradictoires sur la possibilité pour des SNA de pénétrer dans le Golfe Persique. D'un côté quelqu'un me dit savoir que les SNA français s'y baladent régulièrement, d'un autre côté on dit qu'il est tout purement et simplement inaccessible à des SNA...
Je remarque quand même que je n'ai pas trouvé une seule mention de SNA dans les opérations US dans le Golfe (escarmouches avec les Iraniens dans les 1980s, guerre du Golfe de 1991, ni celle de 2003)...
J'entends actuellement des bruits contradictoires sur la possibilité pour des SNA de pénétrer dans le Golfe Persique. D'un côté quelqu'un me dit savoir que les SNA français s'y baladent régulièrement, d'un autre côté on dit qu'il est tout purement et simplement inaccessible à des SNA...
Je remarque quand même que je n'ai pas trouvé une seule mention de SNA dans les opérations US dans le Golfe (escarmouches avec les Iraniens dans les 1980s, guerre du Golfe de 1991, ni celle de 2003)...
#43
Inaccessible, sûrement pas. Mais à partir du détroit d'Ormuz, ce ne sont que hauts fonds, avec une profondeur grand maximum de 300 ft dans un "couloir" extrêmement étroit, vers la partie médiane du golfe. Absolument pas un théâtre idéal pour ces grands bâtiments, d'autant que dans le coin, on n'est jamais bien loin de rien et que les sous-mariniers occidentaux ne fantasment pas sur l'idée de faire écouter leurs pompes secondaires à des oreilles malveillantes...
Bref, je doute qu les SNA aillent au delà des eaux profondes qui précèdent le détroit d'Ormuz, ou alors très exceptionnellement.
PS: Savoir vraiment où les SNA français se baladent régulièrement, c'est un beau défi...
Bref, je doute qu les SNA aillent au delà des eaux profondes qui précèdent le détroit d'Ormuz, ou alors très exceptionnellement.
PS: Savoir vraiment où les SNA français se baladent régulièrement, c'est un beau défi...
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#44
Certains secrets sont mieux gardés que d'autres.Rob1 a écrit :Je remarque quand même que je n'ai pas trouvé une seule mention de SNA dans les opérations US dans le Golfe (escarmouches avec les Iraniens dans les 1980s, guerre du Golfe de 1991, ni celle de 2003)...
#45
Evidemment c'est pas le sujet sur lequel ils communiquent le plus
Je note cependant que les USS Pittsburgh et Louisville qui ont tiré des Tomahawk pendant Tempête du Désert semblent l'avoir fait depuis la Mer Rouge. Il y a aussi un livre sur l'US Navy dans Desert Storm qui rapporte l'emploi d'un SDV pour rechercher des mines en janvier-février 199 (on est loin d'un SNA, certes).
Je note cependant que les USS Pittsburgh et Louisville qui ont tiré des Tomahawk pendant Tempête du Désert semblent l'avoir fait depuis la Mer Rouge. Il y a aussi un livre sur l'US Navy dans Desert Storm qui rapporte l'emploi d'un SDV pour rechercher des mines en janvier-février 199 (on est loin d'un SNA, certes).
#46
Pour les intéressés par le sujet des soums, un article d'un officier de l'US Navy racontant le cours "Perisher" britannique : http://www.navy.mil/navydata/cno/n87/us ... risher.htm