Les Ju88 du Goupe Dor à l'honneur
Tortues volantes
#26Pour les Ju88 à cocardes françaises, il manque encore les "tortues volantes", casernées au Levant, puis en Algérie.
Rien que l'insigne Tortues Volantes est déjà bien marrant.
Mais en fait, tout cela serait à lier à l'histoire 45-60 en Algérie, pour laquelle il vaudrait la peine de pondre une série de skins. Malheureusement, aucun combat aérien à espérer, seulement descendre des quidams isolés, quelques camions, un ou deux chameaux. Aucune cible de gloire.
Rien que l'insigne Tortues Volantes est déjà bien marrant.
Mais en fait, tout cela serait à lier à l'histoire 45-60 en Algérie, pour laquelle il vaudrait la peine de pondre une série de skins. Malheureusement, aucun combat aérien à espérer, seulement descendre des quidams isolés, quelques camions, un ou deux chameaux. Aucune cible de gloire.
#28
Arf... j'ai rien fait, à part proposer quelque chose qui me paraissait logique... le gars qui a le talent, c'est notre ami sting... moi, je serai totalement incapable de faire une skin comme ça !!!
Lorsque le sage lui montre la Lune, l'imbécile regarde le doigt
#29
Et encore un toast à porter à nos amis modeleurs 3D !
Vont nous rendre mabouls ceux-là ... En tout cas chapeaux à Sitng qui a eu la patience de se dépatouiller avec ce mapping de ouf !
Vont nous rendre mabouls ceux-là ... En tout cas chapeaux à Sitng qui a eu la patience de se dépatouiller avec ce mapping de ouf !
Zargos
#30
Merci les amis, ça fait plaisir de vous lire.
Le N°5 et le N°2 sont terminés, je vais attaquer le N°16 prochainement.
Le pack final ne devrait pas tarder.
@ shmelej : tu as des profils de ces appareils dont tu parles s'il te plait ?
Le N°5 et le N°2 sont terminés, je vais attaquer le N°16 prochainement.
Le pack final ne devrait pas tarder.
@ shmelej : tu as des profils de ces appareils dont tu parles s'il te plait ?
#34
Paquet reçu, encore merci.
Le boulot sur les Ju88 s'accumule, vous n'avez pas fini d'en entendre parler.
Le boulot sur les Ju88 s'accumule, vous n'avez pas fini d'en entendre parler.
#36
Alors ce pack, ça avance ?
J'ai hâte de le voir...
J'ai hâte de le voir...
Cooler Master Cosmos 2 SE, Intel core i5-4460 3,20Ghz, Asus B85 ProGamer, Nvidia Geforce GTX 980, 16 Go DDR3, Corsair 750W, AOC C27G2ZE - 27" CURVE FHD 240Hz HP EliteDisplay E231 23", W10, Saïtek X52pro + ProFlightRudder, Clavier Logitech G105, Souris Logitech G502, Tir3 + Vector Expansion + Track Clip Pro
Plus vous saurez regarder loin dans le passé, plus vous verrez loin dans le futur.
#37
Mais c'est qu'il serait impatient le Claymore. :laugh:
Je viens de reprendre le boulot, et comme mes derniers jours de vacances ont été très ensoleillés, j'en ai profité à fond.
Il me reste deux appareils à réaliser, et le pack sera prêt.
Si tout se passe bien, il sera dispo pour la fin semaine.
Je viens de reprendre le boulot, et comme mes derniers jours de vacances ont été très ensoleillés, j'en ai profité à fond.
Il me reste deux appareils à réaliser, et le pack sera prêt.
Si tout se passe bien, il sera dispo pour la fin semaine.
#38
Voilà les amis, le pack est enfin prêt, un mois après le premier screen posté ici même.
Comme annoncé au début du poste, voici un petit historique du groupe et des appareils.
A l'inverse du groupe Doret, le groupe Dor ne s'inscrit pas directement dans l'histoire de la résistance de la région R4 (Midi-Pyrénées).
En effet, alors que la création d'une unité de chasse sur Dewoitine D.520 a été décidée dès le 25 mai 1944, celle d'une unité de bombardement n'intervient qu'après la libération de la région toulousaine.
Cependant, la mise sur pied de cette unité s'appuie sur les structures Résistance-Air pré-existantes et ce groupe opère au début au profit de l'état-major FFI.
L'ordre de création du groupe Dor est signé en date du 28 août 1944 par le commandant Pélissié, commandant les troupes aériennes FFI de la région de Toulouse.
Ce dernier chargera le capitaine Dor de mettre sur pied un groupe de bombardement en récupérant les Junkers Ju88A-4 disponibles à Blagnac, où ils étaient réparés pour le compte de la Luftwaffe par les soins de la SNCASE.
La tâche qui attendra le capitaine Dor sera loin d'être simple.
En effet, les avions disponibles ne pouvant pas voler sans une complète révision et cette opération prendra du temps.
Une note de service, rédigée par le commandant Pélissié le 13 septembre 1944, annoncera la création officielle du groupe de bombardement Dor, un "groupe de bombardement à deux escadrilles" avec une dotation de 13 appareils.
Mais la théorie se révèlera être loin de la vérité, puisque la remise en état des Ju88A-4 s'avèrera beaucoup plus longue que prévu, et les appareils n'arriveront qu'au compte-gouttes, alors que pilotes et mécaniciens, eux, sont déjà sur place.
Le premier avion (N°1) sera réceptionné par le capitaine Dor le 20 septembre, et le N°2 arrivera quant à lui le 29 septembre.
Le temps de former l'ensemble du personnel navigant fera que la première mission officielle aura lieu le 19 octobre au-dessus de Royan.
Peu de temps après, l'état-major général de l'armée de l'Air ne souhaitant pas laisser le groupe Dor sous le commandement des FFI, proclame par décision ministérielle de rebaptiser le groupe.
C'est chose faite le 13 novembre, et le groupe devient alors le GB1/31 Aunis.
Cependant, cela ne sera effecif qu'au 1er décembre.
Désormais, le 1/31 dépendra des forces aériennes de l'Atlantique du général Corniglion-Molinier, et ces dernières regroupent les GB 1/18 Vendée, 1/34 Béarn, 3/33 Périgord et les flotilles 3FB et 4FB de l'Aéronautique navale.
L'histoire des appareils réalisés dans ce pack est liée à l'histoire du groupe.
Ainsi, le N°2, portant le Wk.Nr 1295 sera réceptionné le 29 septembre, comme stipulé plus haut.
Il sera le doyen du groupe avec un total de 47 missions accomplies.
Il est livré ici en deux versions, la première correspondant à la livrée qu'il portait à la naissance du groupe.
Avec la nouvelle dénomination du groupe, les bandes noires et blanches seront effacées, et les extrémités des hélices seront peintes en jaune.
Le repeint au niveau des bandes blanches et noires du fuselage est intéressant, puisque que le schéma n'est pas tout à fait identique au reste de l'appareil.
Le N°5, Wk.Nr 140249 sera réceptionné le 2 novembre 1944, et effectuera 29 missions.
Comme son homologue, le N°2, celui-ci est décliné en deux versions.
Le camouflage sur les flancs est cependant différent, et il en va de même pour les capot moteurs.
Le N°16, dernier appareil réceptionné des entrepôts de la SNCASE, portant le Wk.Nr 6642, sera livré le 8 mai 1945, et n'effectuera aucune mission.
L'appareil mérite tout de même que l'on se penche sur lui, car le camo est différent des autres appareils de la SNCASE, avec des nuances au niveau du fuselage, de la dérive et des nacelles moteurs.
Enfin, le N°17, provenant des usines AAB (Ateliers Aéronautiques de Boulogne), immatriculé AAB 2 sera réceptionné le 25 mars 1945 et volera 4 missions de guerre. (selon AJ)
Les infos glanées dans WM stipule que l'appareil sera perdu le 13 avril sur panne moteur.
A noter ques les appareils des AAB portaient un camouflage uniforme "vert SNCF".
Voilà, en espérant que ce pack vous intéressera.
En attendant, vous pouvez le trouver ici
Merci à tous ceux qui m'ont aidé.
PS : Dès que tu as un moment J.j., fais moi signe.
Comme annoncé au début du poste, voici un petit historique du groupe et des appareils.
A l'inverse du groupe Doret, le groupe Dor ne s'inscrit pas directement dans l'histoire de la résistance de la région R4 (Midi-Pyrénées).
En effet, alors que la création d'une unité de chasse sur Dewoitine D.520 a été décidée dès le 25 mai 1944, celle d'une unité de bombardement n'intervient qu'après la libération de la région toulousaine.
Cependant, la mise sur pied de cette unité s'appuie sur les structures Résistance-Air pré-existantes et ce groupe opère au début au profit de l'état-major FFI.
L'ordre de création du groupe Dor est signé en date du 28 août 1944 par le commandant Pélissié, commandant les troupes aériennes FFI de la région de Toulouse.
Ce dernier chargera le capitaine Dor de mettre sur pied un groupe de bombardement en récupérant les Junkers Ju88A-4 disponibles à Blagnac, où ils étaient réparés pour le compte de la Luftwaffe par les soins de la SNCASE.
La tâche qui attendra le capitaine Dor sera loin d'être simple.
En effet, les avions disponibles ne pouvant pas voler sans une complète révision et cette opération prendra du temps.
Une note de service, rédigée par le commandant Pélissié le 13 septembre 1944, annoncera la création officielle du groupe de bombardement Dor, un "groupe de bombardement à deux escadrilles" avec une dotation de 13 appareils.
Mais la théorie se révèlera être loin de la vérité, puisque la remise en état des Ju88A-4 s'avèrera beaucoup plus longue que prévu, et les appareils n'arriveront qu'au compte-gouttes, alors que pilotes et mécaniciens, eux, sont déjà sur place.
Le premier avion (N°1) sera réceptionné par le capitaine Dor le 20 septembre, et le N°2 arrivera quant à lui le 29 septembre.
Le temps de former l'ensemble du personnel navigant fera que la première mission officielle aura lieu le 19 octobre au-dessus de Royan.
Peu de temps après, l'état-major général de l'armée de l'Air ne souhaitant pas laisser le groupe Dor sous le commandement des FFI, proclame par décision ministérielle de rebaptiser le groupe.
C'est chose faite le 13 novembre, et le groupe devient alors le GB1/31 Aunis.
Cependant, cela ne sera effecif qu'au 1er décembre.
Désormais, le 1/31 dépendra des forces aériennes de l'Atlantique du général Corniglion-Molinier, et ces dernières regroupent les GB 1/18 Vendée, 1/34 Béarn, 3/33 Périgord et les flotilles 3FB et 4FB de l'Aéronautique navale.
L'histoire des appareils réalisés dans ce pack est liée à l'histoire du groupe.
Ainsi, le N°2, portant le Wk.Nr 1295 sera réceptionné le 29 septembre, comme stipulé plus haut.
Il sera le doyen du groupe avec un total de 47 missions accomplies.
Il est livré ici en deux versions, la première correspondant à la livrée qu'il portait à la naissance du groupe.
Avec la nouvelle dénomination du groupe, les bandes noires et blanches seront effacées, et les extrémités des hélices seront peintes en jaune.
Le repeint au niveau des bandes blanches et noires du fuselage est intéressant, puisque que le schéma n'est pas tout à fait identique au reste de l'appareil.
Le N°5, Wk.Nr 140249 sera réceptionné le 2 novembre 1944, et effectuera 29 missions.
Comme son homologue, le N°2, celui-ci est décliné en deux versions.
Le camouflage sur les flancs est cependant différent, et il en va de même pour les capot moteurs.
Le N°16, dernier appareil réceptionné des entrepôts de la SNCASE, portant le Wk.Nr 6642, sera livré le 8 mai 1945, et n'effectuera aucune mission.
L'appareil mérite tout de même que l'on se penche sur lui, car le camo est différent des autres appareils de la SNCASE, avec des nuances au niveau du fuselage, de la dérive et des nacelles moteurs.
Enfin, le N°17, provenant des usines AAB (Ateliers Aéronautiques de Boulogne), immatriculé AAB 2 sera réceptionné le 25 mars 1945 et volera 4 missions de guerre. (selon AJ)
Les infos glanées dans WM stipule que l'appareil sera perdu le 13 avril sur panne moteur.
A noter ques les appareils des AAB portaient un camouflage uniforme "vert SNCF".
Voilà, en espérant que ce pack vous intéressera.
En attendant, vous pouvez le trouver ici
Merci à tous ceux qui m'ont aidé.
PS : Dès que tu as un moment J.j., fais moi signe.
#40
Hein???Sting a écrit : PS : Dès que tu as un moment J.j., fais moi signe.
Non non, je suis déjà reparti...
Plus sérieusement, tu sais que j'ai pas réussi à avancer la mission de Mourmansk ?
En tout cas bravo pour ton super travail sur le Ju 88
J'aodre ce camo moucheté sur le 2, le 5 et le 16 !
#41
Super chouette ces oiseaux, c'est dans la boite !!!
Merci et bravo...
Merci et bravo...
Cooler Master Cosmos 2 SE, Intel core i5-4460 3,20Ghz, Asus B85 ProGamer, Nvidia Geforce GTX 980, 16 Go DDR3, Corsair 750W, AOC C27G2ZE - 27" CURVE FHD 240Hz HP EliteDisplay E231 23", W10, Saïtek X52pro + ProFlightRudder, Clavier Logitech G105, Souris Logitech G502, Tir3 + Vector Expansion + Track Clip Pro
Plus vous saurez regarder loin dans le passé, plus vous verrez loin dans le futur.