Tu n'as pas tort, mais dans le cas présent, TooCool avait bien précisé
TooCool_12f a écrit : ↑ven. oct. 25, 2024 11:41 amça rend plus compliqué de bien voir pour l'utilisateur lambda
On est donc sur le même avis, mais exprimé différemment.
TooCool_12f a écrit : ↑ven. oct. 25, 2024 11:41 amça rend plus compliqué de bien voir pour l'utilisateur lambda
Rien n'a été offert. Ce n'est pas un vol supplémentaire, mais un vol ordinaire détourné de sa finalité première.
On aurait pu lui demander de payer le carburant... il aurait eu les moyensMongoose a écrit : ↑ven. nov. 08, 2024 5:28 pmCharles Leclerc est très sympathique, son réseau de fans est grand et on peut comprendre qu’à ce titre l’opération est profitable pour l’AAE. Cependant, alors même que nous nous apprêtons à demander un effort de contribution aux Français, « offrir » un tour de Rafale à un citoyen d’un paradis fiscal laisse un peu songeur quant au timing de l’opération de communication.
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Par ce que "avion d'affaire" ça sonne plus green à ton goût ?ironclaude a écrit : ↑ven. nov. 08, 2024 11:40 pmAh, non : "jet privé" c'est l'expression employée par les écolos pour dévaloriser les "avions d'affaires"
Perso je préfère 'Jet de luxe'. La on dévaloriseraitpipo2000 a écrit : ↑sam. nov. 09, 2024 12:30 amPar ce que "avion d'affaire" ça sonne plus green à ton goût ?ironclaude a écrit : ↑ven. nov. 08, 2024 11:40 pmAh, non : "jet privé" c'est l'expression employée par les écolos pour dévaloriser les "avions d'affaires"
Pas plus green mais plus exact !pipo2000 a écrit : ↑sam. nov. 09, 2024 12:30 amPar ce que "avion d'affaire" ça sonne plus green à ton goût ?ironclaude a écrit : ↑ven. nov. 08, 2024 11:40 pmAh, non : "jet privé" c'est l'expression employée par les écolos pour dévaloriser les "avions d'affaires"
Mouhi... On sait déjà pas si l'actuel gouvernement durera plus de quelques semaines, sans parler de toutes les incertitudes relatives à l'avenir en ce domaine, et il faudra voir si l'un quelconque (ou plusieurs...) des gouvernements à venir ne souhaitera pas utiliser le budget de la défense comme variable d'ajustement (comme ça s'est si souvent déjà fait dans le passé, alors que la situation économique n'était même pas aussi catastrophique qu'aujourd'hui...).(...)
Dans l’avis budgétaire sur la « Préparation et emploi des forces – Air » qu’il a récemment publié, le député Frank Giletti [RN] a prévenu que les « cessions de Mirage 2000-5 occasionneront […] un report d’activité sur la flotte de Rafale et de Mirage 2000D rénovés au risque d’un accroissement inévitable des coûts de Maintien en condition opérationnelle [MCO] et d’une dégradation de leur disponibilité. Elles accéléreront également sous toutes réserves le retrait du service opérationnel du Mirage 2000-5 ». Aussi, selon le député, la seule solution pour y remédier, consisterait à « anticiper les livraisons issues de la 5ème tranche de Rafale au standard F4 », ce qui serait un « compromis respectable pour limiter le ‘trou capacitaire’ consécutif aux diverses pertes et cessions ».
Lors d’une rencontre avec l’Association des journalistes de défense [AJD], le 20 novembre, le chef d’état-major de l’armée de l’Air [CEMAAE], le général Jérôme Bellanger, a partagé ce constat et prôné la même solution. « Ces dons [de Mirage 2000-5F] vont percuter le format de l’aviation de chasse. Par exemple, cela aura un effet sur l’usure des Rafale, qui devront voler davantage. Le ministère l’a compris et on regarde comment on peut pallier cette cession », a-t-il dit, selon des propos rapportés par le quotidien Les Échos.
Et cela passe par une accélération de la livraison des 42 Rafale F4 commandés en janvier 2024 par le ministère des Armées pour 5 milliards d’euros, au titre de la 5e tranche de production. Le premier exemplaire doit être livré à l’AAE en 2027. L’objectif est que cette dernière puisse aligner 137 Rafale et 48 Mirage 2000D rénovés au terme de la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30.
En clair, le ministère des Armées compte sur Dassault Aviation pour accélérer sa cadence de production de Rafale. En mars dernier, son PDG, Éric Trappier, avait indiqué que celle-ci passerait à 3 avions par mois d’ici la fin de cette année.
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Pour rappel, la Marine nationale fut la première à mettre en œuvre des Rafale F1 [dotés uniquement de capacités air-air] en 2001. Et elle a reçu son dernier appareil en 2017. Actuellement, elle possède 42 exemplaires, portés au standard F3R. Dans le détail, 36 d’entre eux équipent les flottilles 11F, 12F et 17F. Quant aux six autres, trois sont affectés à la base aérienne de Saint-Dizier pour la formation des pilotes de l’Aéronautique navale et trois sont en réserve.
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la LPM 2024-30 a fait l’impasse sur le renouvellement partiel des Rafale M F3R de la Marine étant donné qu’il a été décidé de donner la priorité à l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE] afin, notamment, de lui permettre de remplacer les appareils prélevés sur sa dotation pour honorer les contrats conclus avec la Grèce et la Croatie. C’est pourquoi tous les Rafale commandés au titre des 4e et 5e tranches de production [82 avions au total] lui seront destinés.
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Mais c’était sans compter sur le standard F5 du Rafale, dont le développement a été confirmé par la LPM 2024-30. (...). En effet, selon le député Frank Giletti, rapporteur du programme 178 « Préparation des forces – Air », il est prévu de notifier la 6e tranche de production du Rafale en 2029. Et celle-ci sera « composée d’avions au standard F5 ». Parmi les 45 avions devant être commandés, 12 seront destinés à la Marine nationale. Soit l’équivalent de la dotation d’une flottille.
Selon le ministère des Armées, le Rafale F5 est « attendu pour 2030 ».
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