On gagne déjà quelques odres de grandeur sur les conséquences, même en prenant en compte un nombre conséquent d'accidents nucléaire graves.
Ceux-ci ne decimeront pas des espèces vivantes (faunes ni flores), ne provoqueront pas la disparition des coraux, n'empêcheront pas la synthèse des structures calcaire du phyto et zooplancton, ne feront pas monter le niveau des eaux, ne provoqueront pas des migrations massives à l'échelle d'un ou de plusieurs pays, ne favoriseront pas l'apparition de nouvelles maladies endémique (ou la réapparition de maladies), ne provoqueront pas l'assèchement des sols, n'influenceront pas les problématiques de stress alimentaire mondiale, ne provoqueront pas une fragilisation d'un certain nombre de structures de construction (notamment les ponts et barrages) ... etc ... Sans oublier toutes les autres concéquances que la sience sera à jamais incapable de prédire à l'avance de manière exhaustive dans la mesure où cela est une première dans l'histoire de l'humanité (à ce rythme et inscrite dans le modèle de société interdépendante d'aujourd'hui) ...
Les déchets nucléaires sont (à mons sens) loins d'être le problème le plus dimentionnant à ce stade. Et si on règle (limite) le problème de stabilité climatique et de perte de biodiversité, on aura toujours le temps de traiter la "problématique" déchets plus tard. (Rappelons qu'un déchet nucléaire n'est dangereux uniquement si on joue avec).
Encore une très interessante pour en savoir un peu plus sur ces "fameux" déchets au-delà des perceptions médiatiques et populaires :
(A voir en 144p