Bilan : sur les trois bombes larguées par le groupe d'attaque (P/O John "Bishop" Johnson & P/O Albert Jacobson), une a touché l'estaminet du coin de la rue Jacquement-l'estaminet s'appelait "La Paix", il a ré-ouvert après la guerre sous le nom de "La Bombe"- par miracle, le bâtiment était vide, les propriétaires étaient à la messe dans l'église Notre-Dame juste à coté.
Une autre est rentrée par les vitraux de la dite église, mais, par miracle, n'a pas explosée : depuis, chaque 19 octobre une prière est adressée au mécanicien inconnu de la RAF qui ne l'avait pas armée.
Une dernière a pénétré dans les combles de la mairie transformées en annexe de la Gestapo, et fit périr l'Obersturmfuhrer Keingluck et ses trois pires lieutenants, les SS Kaskapointz, Freidolein & Kaputstein.
Le bilan matériel et humain fut lourd pour la RAF, les équipages des P/O Paul Gilbert et Mark Gibson (groupe flak) furent perdus, abattus par la DCA. Le copilote du P/O Johnson fut également tué. L'appareil de Jacobson fut gravement endommagé mais il parvint à le ramener au dessus de Dungeness et à sauter en parachute.