Tempête dans la 8th Air Force.
#1
Nous sommes en 1943, les Américains sont entrés en guerre contre l’Allemagne Nazie depuis un an. C’est par milliers qu’ils ont envoyés leurs « boys » en Europe pour tenter de sauver la démocratie et la liberté. La plupart n’ont pas 25ans et pourtant ils doivent prendre des décisions importantes, tirer sur des ennemis qu’ils ne connaissent pas, qu’ils ne haïssent pas, mais c’est leur métier, la raison de leur présence ici.
Pour les équipages de bombardiers, la tâche est encore plus dure, il faut larguer des tonnes d’explosifs sur des villes, tuer des civils qui finalement, n’ont aucune raison de mourir. La guerre des militaires est finie, c’est la guerre d’usure, à celui qui saura supporter les assauts de l’autre.
Un corps d’armée est particulièrement puissant, la 8ème Air Force américaine, forte de ses squadrons de bombardiers B-17 chacun emmenant 10 hommes au combat. Au milieu de tous ces hommes qui se battent se trouvent John « Pélican » Doeuf, Alain « Moutton » Terrieur, Paul « Wild Angel » Hochon. Ils ne se connaissaient que depuis quelques jours, ils venaient tous du centre d’entraînement de Gébobola, dans l’Etat de Tamalou.
Aujourd’hui, ils allaient faire leur première mission de guerre. Ils étaient anxieux, nerveux, aucun n’avait pu dormir la nuit précédente.
Ceci est leur mission telle qu’ils l’ont vécue.
7h00 … Le réveil sonne.
Pélican : « Allons compagnons, allons bouter les Nazis hors d’Europe !! »
Moutton et Wild Angel : « WAIIIII , BASTON !!! »
Pélican : «Hé, mais c’est mon texte ça !! »
Moutton : « désolé. »
Pélican et Wild Angel étaient pilotes de B-17, et Moutton était pilote de P51, les chasseurs d’escortes, chargés de la protection des bombardiers. La mission était prévue en début d’après midi, ils décidèrent donc de se consacrer à un peu de sport dans la matinée pour se mettre en forme pour leur mission. Quand soudain …
Moutton : Halte la ! Nous allons faire une pause pour la journée.
Wild Angel : Bonne idée, je ne sens plus mes pieds.
Moutton : T’as de la chance, moi je les sens tes pieds.
Wild Angel : Et ma main dans ta tronche, tu veux la sentir aussi ?
Moutton : Après on ira jouer aux osselets avec tes os, c’est ça ? ?
Wild Angel : Me provoque pas !
Pélican : On se calme les filles, il est l’heure de reprendre la route.
Moutton et Wild Angel : Déjà ? ?
Pélican : hé oui …
Ainsi ils repartirent en route vers de nouvelles aventures. Leur vol fut long et fatigant, c’est pour ça qu’il ne vous sera pas cité. Finalement, ils arrivèrent au dessus du territoire ennemi.
Pélican : Je vous propose de tous les exploser.
Moutton : Je vous couvre.
Pélican : C’est parti ! !
Wild Angel : Moutton, tu es mignon, mais tu pointes pas tes lances- cure-dent sur moi, SIL TEU PLAIT ! !
Moutton : désolé.
Pélican : C’est quand vous voulez, moi je suis prêt à faire le bombing-run depuis 10 minutes…
Moutton et Wild Angel : OH CA VA TWA ! !
Malheureusement, pendant leur discussion, nos trois jeunes pilotes n’avaient pas remarqué les chasseurs Allemands qui se rapprochaient et qui finirent par les attaquer, et les descendre. Une fois au sol, et sans un mot de compréhensible des Allemands, ils furent ligotés et emmenés sur la Grand-Place du village le plus proche. Les soldats Allemands se mirent en rond autour des prisonniers ligotés. Le Chef Allemand s’approcha.
Chef Allemand : Vous êtes venus pour détruire mon peuple…
Moutton : pô vré.
Pélican : On est pas venus pour ça … euh …
Wild Angel : … cueillir des cerises … on est venus cueillir de cerises.
Moutton : Non … des pommes … c’était pour des pommes.
Pélican : Oui , c’est ça , des pommes … on peut partir maintenant ? ?
Chef Allemand : SILENCE ! ! !
Moutton, Pélican et Wild Angel : buh … même pô drole.
Chef Allemand : Vous avez voulu défier la puissance des Allemands ! ! Vous allez payer cet affront.
Pélican : C’est con que René soit pas là, il nous aurait négocié un bon prix.
Moutton : Le p’tit Suisse ?
Pélican : Ouais , même qu’il s’est fait tatouer « I LOVE CHURCHILL » sur ses chaussettes.
Wild Angel : Cool. J’vais faire pareil avec Roosevelt, il a fait ça où ? ?
Pélican : Au petit G.I. Décoré.
Moutton : On se fait ça demain ?
Chef Allemand : Ca vous dérangerait de m’écouter ? ?
Pélican : Ca me va
Wild Angel : aussi.
Moutton : Oui, monsieur l’allemand ?
Chef Allemand : Je reprends. Etant nos prisonniers, vous avez droit à deux choix. La mort ou Tchi-tchi. Toi ! Choisis en premier.
Pélican : Euh … c’est quoi tchi-tchi ?
Chef Allemand : La mort ou tchi-tchi ! !
Pélican : Bon, techniquement, j’ai pas trop envie de mourir … je vais prendre tchi-tchi alors …
Moutton et Wild Angel : Ouais vas-y ! ! Montres leur ce que c’est qu’un homme !
A cet instant, le Chef Allemand se retourne vers ses 200 soldats qui assistaient à la scène.
Chef Allemand : Il a choisit TCHI-TCHI ! !
A l’entente de la décision de l’américain, les allemands se mirent à hurler.
Allemands en délire : TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI ! !
Les trois américains commençaient à avoir de grosses sueurs froides, ne sachant ce qui allait se passer. Pélican fut traîné par 2 gardiens vers un poteau, sur lequel il fut attaché, pantalon baissé, jambes écartées. Les 200 Allemands ôtèrent leurs vêtements à leur tour dévoilant leur braquemart. Chacun leur tour, ils passèrent sur Pélican. La scène fut horrible et ne sera pas contée.
Quand le dernier allemand fut passé…
Chef Allemand : Tu es libre à présent. Va ! et ne reviens jamais.
Sans dire mot, Pélican reparti en direction de la ville, marchant à quatre pattes, les larmes aux yeux. Puis le Chef Allemand se tourna vers Wild Angel.
Chef Allemand : Toi ! ! La mort ou Tchi-tchi !
Wild Angel,timidement, et à contre-cœur, d’une voix presque inaudible tchi-tchi.
Le Chef Allemand, bras levés, se tourna vers ses soldats.
Chef Allemand : Il a choisit TCHI-TCHI ! !
Allemands en délire : TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI ! !
Et l’atroce scène se reproduisit.
Quand le dernier allemand fut passé…
Chef Allemand : Tu es libre à présent. Va ! et ne reviens jamais.
Sans dire mot, Wild Angel reparti en direction de la ville, marchant à quatre pattes, les larmes aux yeux. Puis le Chef Allemand se tourna vers Moutton.
Chef Allemand : Toi ! ! La mort ou Tchi-tchi !
Beaucoup plus digne que ces camarades, Moutton décida de choisir la mort.
Moutton : La mort !
Chef Allemand : étonné La mort ?
Moutton : La mort !
Chef Allemand : se retournant vers ses soldats Il a choisit la mort …
Allemands : Oooooooooooooohhhhh … Cris de déception
Puis … levant les bras au ciel …
Chef Allemand : La mort par Tchi-tchi ! !
Allemands en délire : TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI ! ! !
[ The End ]
Pour les équipages de bombardiers, la tâche est encore plus dure, il faut larguer des tonnes d’explosifs sur des villes, tuer des civils qui finalement, n’ont aucune raison de mourir. La guerre des militaires est finie, c’est la guerre d’usure, à celui qui saura supporter les assauts de l’autre.
Un corps d’armée est particulièrement puissant, la 8ème Air Force américaine, forte de ses squadrons de bombardiers B-17 chacun emmenant 10 hommes au combat. Au milieu de tous ces hommes qui se battent se trouvent John « Pélican » Doeuf, Alain « Moutton » Terrieur, Paul « Wild Angel » Hochon. Ils ne se connaissaient que depuis quelques jours, ils venaient tous du centre d’entraînement de Gébobola, dans l’Etat de Tamalou.
Aujourd’hui, ils allaient faire leur première mission de guerre. Ils étaient anxieux, nerveux, aucun n’avait pu dormir la nuit précédente.
Ceci est leur mission telle qu’ils l’ont vécue.
7h00 … Le réveil sonne.
Pélican : « Allons compagnons, allons bouter les Nazis hors d’Europe !! »
Moutton et Wild Angel : « WAIIIII , BASTON !!! »
Pélican : «Hé, mais c’est mon texte ça !! »
Moutton : « désolé. »
Pélican et Wild Angel étaient pilotes de B-17, et Moutton était pilote de P51, les chasseurs d’escortes, chargés de la protection des bombardiers. La mission était prévue en début d’après midi, ils décidèrent donc de se consacrer à un peu de sport dans la matinée pour se mettre en forme pour leur mission. Quand soudain …
Moutton : Halte la ! Nous allons faire une pause pour la journée.
Wild Angel : Bonne idée, je ne sens plus mes pieds.
Moutton : T’as de la chance, moi je les sens tes pieds.
Wild Angel : Et ma main dans ta tronche, tu veux la sentir aussi ?
Moutton : Après on ira jouer aux osselets avec tes os, c’est ça ? ?
Wild Angel : Me provoque pas !
Pélican : On se calme les filles, il est l’heure de reprendre la route.
Moutton et Wild Angel : Déjà ? ?
Pélican : hé oui …
Ainsi ils repartirent en route vers de nouvelles aventures. Leur vol fut long et fatigant, c’est pour ça qu’il ne vous sera pas cité. Finalement, ils arrivèrent au dessus du territoire ennemi.
Pélican : Je vous propose de tous les exploser.
Moutton : Je vous couvre.
Pélican : C’est parti ! !
Wild Angel : Moutton, tu es mignon, mais tu pointes pas tes lances- cure-dent sur moi, SIL TEU PLAIT ! !
Moutton : désolé.
Pélican : C’est quand vous voulez, moi je suis prêt à faire le bombing-run depuis 10 minutes…
Moutton et Wild Angel : OH CA VA TWA ! !
Malheureusement, pendant leur discussion, nos trois jeunes pilotes n’avaient pas remarqué les chasseurs Allemands qui se rapprochaient et qui finirent par les attaquer, et les descendre. Une fois au sol, et sans un mot de compréhensible des Allemands, ils furent ligotés et emmenés sur la Grand-Place du village le plus proche. Les soldats Allemands se mirent en rond autour des prisonniers ligotés. Le Chef Allemand s’approcha.
Chef Allemand : Vous êtes venus pour détruire mon peuple…
Moutton : pô vré.
Pélican : On est pas venus pour ça … euh …
Wild Angel : … cueillir des cerises … on est venus cueillir de cerises.
Moutton : Non … des pommes … c’était pour des pommes.
Pélican : Oui , c’est ça , des pommes … on peut partir maintenant ? ?
Chef Allemand : SILENCE ! ! !
Moutton, Pélican et Wild Angel : buh … même pô drole.
Chef Allemand : Vous avez voulu défier la puissance des Allemands ! ! Vous allez payer cet affront.
Pélican : C’est con que René soit pas là, il nous aurait négocié un bon prix.
Moutton : Le p’tit Suisse ?
Pélican : Ouais , même qu’il s’est fait tatouer « I LOVE CHURCHILL » sur ses chaussettes.
Wild Angel : Cool. J’vais faire pareil avec Roosevelt, il a fait ça où ? ?
Pélican : Au petit G.I. Décoré.
Moutton : On se fait ça demain ?
Chef Allemand : Ca vous dérangerait de m’écouter ? ?
Pélican : Ca me va
Wild Angel : aussi.
Moutton : Oui, monsieur l’allemand ?
Chef Allemand : Je reprends. Etant nos prisonniers, vous avez droit à deux choix. La mort ou Tchi-tchi. Toi ! Choisis en premier.
Pélican : Euh … c’est quoi tchi-tchi ?
Chef Allemand : La mort ou tchi-tchi ! !
Pélican : Bon, techniquement, j’ai pas trop envie de mourir … je vais prendre tchi-tchi alors …
Moutton et Wild Angel : Ouais vas-y ! ! Montres leur ce que c’est qu’un homme !
A cet instant, le Chef Allemand se retourne vers ses 200 soldats qui assistaient à la scène.
Chef Allemand : Il a choisit TCHI-TCHI ! !
A l’entente de la décision de l’américain, les allemands se mirent à hurler.
Allemands en délire : TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI ! !
Les trois américains commençaient à avoir de grosses sueurs froides, ne sachant ce qui allait se passer. Pélican fut traîné par 2 gardiens vers un poteau, sur lequel il fut attaché, pantalon baissé, jambes écartées. Les 200 Allemands ôtèrent leurs vêtements à leur tour dévoilant leur braquemart. Chacun leur tour, ils passèrent sur Pélican. La scène fut horrible et ne sera pas contée.
Quand le dernier allemand fut passé…
Chef Allemand : Tu es libre à présent. Va ! et ne reviens jamais.
Sans dire mot, Pélican reparti en direction de la ville, marchant à quatre pattes, les larmes aux yeux. Puis le Chef Allemand se tourna vers Wild Angel.
Chef Allemand : Toi ! ! La mort ou Tchi-tchi !
Wild Angel,timidement, et à contre-cœur, d’une voix presque inaudible tchi-tchi.
Le Chef Allemand, bras levés, se tourna vers ses soldats.
Chef Allemand : Il a choisit TCHI-TCHI ! !
Allemands en délire : TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI ! !
Et l’atroce scène se reproduisit.
Quand le dernier allemand fut passé…
Chef Allemand : Tu es libre à présent. Va ! et ne reviens jamais.
Sans dire mot, Wild Angel reparti en direction de la ville, marchant à quatre pattes, les larmes aux yeux. Puis le Chef Allemand se tourna vers Moutton.
Chef Allemand : Toi ! ! La mort ou Tchi-tchi !
Beaucoup plus digne que ces camarades, Moutton décida de choisir la mort.
Moutton : La mort !
Chef Allemand : étonné La mort ?
Moutton : La mort !
Chef Allemand : se retournant vers ses soldats Il a choisit la mort …
Allemands : Oooooooooooooohhhhh … Cris de déception
Puis … levant les bras au ciel …
Chef Allemand : La mort par Tchi-tchi ! !
Allemands en délire : TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI TCHI-TCHI ! ! !
[ The End ]
.TLS.
.Mistel pilotâh.
.Bombâh Lovâh.
.Mistel pilotâh.
.Bombâh Lovâh.
#2
Dis-moi Moutton, tu ne te serais pas inspiré du donjon de naheulbeuk par hasard? :lol:
Et beh pu**in, j'en prends pour mon grade moi !!!
Et beh pu**in, j'en prends pour mon grade moi !!!
#3
C'est vrai que le cup du volage de textre ressemble au pseudo episode 1 du donjon tel qu'il aurait pu se passer!
Mort de rire sinon :D :D
Mort de rire sinon :D :D
#4
:lol: :lol: :lol: :lol: j'en pleure..... :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
C'est pas possible des cas comme ca..faut les enfermer..... :lol: :lol: :lol:
Amraam.
C'est pas possible des cas comme ca..faut les enfermer..... :lol: :lol: :lol:
Amraam.
#9
B) :D :D :D :D :D C'EST MOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!!!!!!!!!!!!!! :D :D :D :D :D B)
(et en plus j'en suis fier! :P )
(et en plus j'en suis fier! :P )
#12
je sens que je vais en prendre pour mon grade au mess, mais ça vire un peu au délire collectif de la 09 <_<
si ça s'arrête là, je laisse, mais en cas de récidive ->au HS ...
si ça s'arrête là, je laisse, mais en cas de récidive ->au HS ...
<span style='font-size:9pt;line-height:100%'>
Alterum non laedere</span>
<div align=center>localisable ici
Alterum non laedere</span>
<div align=center>localisable ici
#13
:lol: :lol: :lol: :lol: :lol: Hi hi hi hi hi hi hi hi hi excellent ma biquette j'ai bien rigolé. Je ne connaissais pas l'histoire du donhon de naheul...machin en plus j'ai d'autant apprécié. 'tain tu m'as bien fais rire surtout la chute de l'histoire hihi
J'n ai encore le c*l rouge dis.... :D
Pélican 72
J'n ai encore le c*l rouge dis.... :D
Pélican 72
"Fermez, démontez, roulez."