Un autre beau livre vient également de sortir sur autre quadriréacteur britannique, le BAe 146. Là encore, il s'agit d'un ouvrage assez luxueusement produit (500 pages, 6 kilos), qui retrace le développement et la carrière de cet avion réputé pour son silence et sa sous-motorisation qui obtint néanmoins un succès commercial respectable. Ce fut le dernier avion de transport produit au Royaume-Uni.
De façon assez récurrente outre-manche, l'anglais tire la couverture à lui et le sous titre octroi la paternité du jet régional au 146, faisant bien peu de cas du Fokker 28 qui est à mon humble avis bien plus significatif en la matière.
https://www.lajeteepress.com/shop/p/fig ... rd-edition
Fighting to be heard
Re: Fighting to be heard
#2Le BAe 146... ce n'était pas celui que certaines compagnies surnommaient le "Jumbolino" ???
Re: Fighting to be heard
#3Hmmmm le 146!
Premier vol en avion de ligne sur les appareils chamarrés de Buzz.
Et d’ailleurs, les 146 et RJ85 ont une très respectable seconde carrière chez Neptune Air et Conair/Aeroflite en tant qu’avions-pompiers.
Par contre, 80 livres le livre. J’espère qu’il vaut son pesant de cacahuètes!
Premier vol en avion de ligne sur les appareils chamarrés de Buzz.
Et d’ailleurs, les 146 et RJ85 ont une très respectable seconde carrière chez Neptune Air et Conair/Aeroflite en tant qu’avions-pompiers.
Par contre, 80 livres le livre. J’espère qu’il vaut son pesant de cacahuètes!
Re: Fighting to be heard
#4Effectivement, Crossair, opérateur helvétique, avait baptisé le 146 Jumbolino pour ses 4 moteurs, le Saab 2000 était quant à lui Concordino, du fait de sa vitesse de croisière élevée, pour un turboprop du moins.
Globalement, on se moquait allègrement des 4 sèches cheveux prétendant propulser le 146, tant sa sous-motorisation était patente. Et la fiabilité des sèches cheveux laissait vraiment à désirer. Les compagnies européennes ont souvent opté pour une cabine à 6 sièges de front vraiment inconfortable, alors qu'en Amérique du Nord, la norme restait des rangées de 5 sièges.
Le livre vaut bien ses 80 livres (sterling), bien produit et bien recherché. Les photos sont reproduites en grand format.
Globalement, on se moquait allègrement des 4 sèches cheveux prétendant propulser le 146, tant sa sous-motorisation était patente. Et la fiabilité des sèches cheveux laissait vraiment à désirer. Les compagnies européennes ont souvent opté pour une cabine à 6 sièges de front vraiment inconfortable, alors qu'en Amérique du Nord, la norme restait des rangées de 5 sièges.
Le livre vaut bien ses 80 livres (sterling), bien produit et bien recherché. Les photos sont reproduites en grand format.
Re: Fighting to be heard
#5Allez pas dire du mal de MON avion !
Les moteurs suffisaient laaaaaaargement pour croiser à M0.68
Mais en même temps, on se posait partout en RJ-85 : London City, Florence, ...
"J'critique pas le côté farce. Mais pour le fair-play, y'aurait quand même à dire !..."
Mon simpit de Mirage 2000-10
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Re: Fighting to be heard
#6et sans reverse.
mais du coup, en opération feux de forêt, un des paramètres les plus important, c'est désormais la température des freins... (pistes courtes, temps chaud, rotations rapides, mais les qualités de vol de l'avion ont l'air très appréciées, sa charge utile également !)
Re: Fighting to be heard
#7Sans reverse effectivement, mais avec de gros ventilateurs pour refroidir les blocs de freinfredem a écrit : ↑ven. juil. 08, 2022 6:05 pm
et sans reverse.
mais du coup, en opération feux de forêt, un des paramètres les plus important, c'est désormais la température des freins... (pistes courtes, temps chaud, rotations rapides, mais les qualités de vol de l'avion ont l'air très appréciées, sa charge utile également !)
"J'critique pas le côté farce. Mais pour le fair-play, y'aurait quand même à dire !..."
Mon simpit de Mirage 2000-10
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