Je sais: c'était un blague...
Et, promis, j'irai un jour le visiter...
Les seules vidéos d'expert que j'accepte de juger crédibles, sur Youtube, sont celles du Joueur du Grenier...
Je sais: c'était un blague...
Les seules vidéos d'expert que j'accepte de juger crédibles, sur Youtube, sont celles du Joueur du Grenier...
Le Ministère des Armées a très récemment confirmé que le 16 mars dernier, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 avait effectué une patrouille au-dessus de la mer Baltique. Cette mission contribuait au renforcement des moyens de l'OTAN dans la zone mais aussi à récolter différentes informations sur cette mer hautement stratégique.
L'avion a d'abord décollé de la base aéronavale de Lann-Biouhé (Morbihan, France) pour se rendre sur la base aéronavale de Nordholz (Basse-Saxe, Allemagne). Sur cette base, l'appareil a pu effectuer une petite escale technique et les 14 membres d'équipages ont pu obtenir les dernières informations sur la zone à patrouiller. L'Atlantique 2 a ensuite décollé vers la zone de patrouille, tout en se coordonnant avec un P-3C Orion de la Marine allemande. Il a recueilli diverses informations sur le trafic naval et aéronaval de la zone et vers 18h52, l'Atlantique 2 se dirigeait vers sa base de Lann-Biouhé.
(...)
Avis aux contributeurs : Merci de ne pas dériver là-dessus et de vous en tenir au sujet. La construction d'une défense, armée européenne, est un sujet éminemment politique et la propagande étant aussi une action politique, marcher sur des oeufs peut vite devenir casse-gueule.Pete à feu a écrit : ↑lun. mars 28, 2022 11:20 pmJe n’aimerais pas être une mouche dans un axe pays Baltes/Turquie au vu des infos, des radars, avec l’armada militaire, plus les liners. Au moment du débriefing suite à cette guerre, il sera intéressant de voir que certaines options militaires vont être vérifiées: les drones de tout poil, l’idée que les chars ne sont pas une situation d’avenir.
La suite pour les européens c’est une armée de l’union, qui est possible: dans le cadre de l’OTAN nos aviateurs avec des matériels différents mènent une mission coordonnée dans l’Est de l’Europe. La France possède une armée de terre qui suite à ses différentes opex, conjuguées avec les autres armes et services, peut servir de base. Là certains n’ont me parler des trous dans la raquette…
Au sujet du 2000N, il y a quelques années, les ricains voulaient faire uniquement des entraînements avec cette machine.
Pour le reste, et pour l’heure la propagande est en marche, comme d’habitude.
33ème jour de l'offensive russe et l'Ukraine oppose toujours une forte résistance. Au cœur de son dispositif, une unité d'élite de pilote de drones d'attaques, Aerorozvidka, s'avère être particulièrement efficace. FRANCE 24 a pu rencontrer l'un de ses commandants.
Ce n'est pas un manque, c'est un partage des tâches. l'USAF n'est pas (tout à fait) une nation souveraine
C’est délibéré et pas nouveau. L’USAF a abandonné les avions de brouillage offensif (au moins les jets d’escorte) avec le retrait et le non remplacement de l’EF-111 Raven après La Guerre du Golfe.
Tu ne serais pas un peu Marseillais ?
?? Vidéo du 28 mars, travail de nuit...
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C'est le ministre britannique de la Défense, Ben Wallace, qui a expliqué dans une interview au Mail on Sunday que le système était désormais prêt à être utilisé par les forces ukrainiennes. Il a fallu pour cela dûment les entraîner à son maniement, un peu plus complexe que celui d'un MANPAD classique de type Stinger.
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En service depuis 1997 dans l'armée britannique, le Starstreak est un «High-Velocity Missile» (HVM)
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Il peut prendre plusieurs formes. La principale, celle fournie en priorité à l'armée ukrainienne, est portée à l'épaule comme d'autres systèmes anti-aériens du même genre. Le Starstreak peut aussi utiliser trois missiles, montés sur un «Lightweight Multiple Launchers» (LML), objet portable et déplaçable, dont il semble que quelques exemplaires aient également été fournis.
Comme l'explique The Drive, l'une des caractéristiques principales du Starstreak est son système de visée. Celle-ci, effectuée via un écran ad hoc, projette deux lasers sur la cible visée et est de type «fire and forget» (tire et oublie)
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Ce double système laser permet un accrochage beaucoup plus instantané de l'aéronef à abattre que les missiles à guidage infrarouge classiques, la partie informatique du Starstreak se chargeant ensuite de calculer la meilleure trajectoire d'interception possible.
The Drive note en outre que le guidage laser rend le missile du Starstreak insensibles aux contre-mesures, même les plus récentes, que l'avion ou l'hélicoptère visé pourrait lancer
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Le projectile du Starstreak est lui aussi différent des missiles traditionnels. Au lieu d'une tête contenant une charge explosant au contact ou à proximité immédiate de la cible, le MANPAD britannique dispose de trois flèches en tungstène, lancées par le corps du missile en toute fin de parcours mais capables elles-mêmes de manœuvrer en vol pour atteindre leur objectif mobile.
Selon Thales UK, qui fabrique le Starstreak, le projectile atteindrait une vitesse de Mach 3 (...). Une telle vélocité le rend extrêmement difficile à esquiver, et produit une force cinétique à même de provoquer d'énormes dégâts à la cible touchée. Celle-ci peut même, est-il expliqué, être un véhicule terrestre lourdement blindé.
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