Heureusement que ça ne se finit pas pareilCol. Chibani a écrit : ↑lun. mai 24, 2021 1:46 pmMerci !
Le largage vu de dessus, il n'y a que moi qui a pensé au générique de l'"Homme qui valait 3 milliards ?" ?
Je me suis fait la même réflexion , c'est quand même étonnant.Mais on est d'accord que s'ils ont une dépressurisation là haut ça va mal se terminer ?
Parce que sur U-2 et SR-71 ils volent/ volaient moins haut avec scaphandre pressurisé. Sans doute pour s'éviter de pressuriser le cockpit, mais sur le Virgin c'est sans filet...
Un remorqueur spatial russe à énergie nucléaire pour 2030, avec une mission de 50 mois, durant laquelle il déposera un engin spatial autour de la Lune, puis un autre autour de Venus, avant de partir vers un satellite de Jupiter...First mission of Russia’s nuclear-powered space tug to take 50 months
The first flight has been scheduled for 2030
MOSCOW, May 22. /TASS/. The first mission of Russia’s nuclear-powered transport and energy module, Zeus, will last 50 months, Roscosmos Executive Director for Long-Term Programs and Science Alexander Bloshenko told reporters on Saturday.
"The combined duration of the mission is 50 months," he said during the New Knowledge forum.
He went on to say that the first flight has been scheduled for 2030.
"Together with the Russian Academy of Sciences, were are now making calculations about this flight’s ballistics and payload," he said.
According to Bloshenko, the space tug will first approach the Moon, where a spacecraft will separate from it. After that, it will head to Venus to perform a gravity assist maneuver and deliver another spacecraft. Then, it will depart towards Jupiter and one of its satellites.
Last December, Russia’s space corporation Roscosmos and design bureau Arsenal signed a contract for developing a preliminary project of a nuclear-powered space tug Nuklon, to be used in deep space missions. The contract signed on December 10 is estimated at more than 4.17 billion rubles. The delivery date is July 28, 2024.
Au cours de son sixième vol sur la planète rouge, Ingenuity ne s’est pas comporté comme prévu. Le giravion a néanmoins pu atterrir sans dommages grâce à ses systèmes de sécurité intégrés. Il pourra donc voler à nouveau.
Le cockpit du SR71 était préssurisé , l'altitude cabine etait de 25000ft au FL750 (quand meme)jojo a écrit : ↑jeu. mai 27, 2021 9:16 am
Mais on est d'accord que s'ils ont une dépressurisation là haut ça va mal se terminer ?
Parce que sur U-2 et SR-71 ils volent/ volaient moins haut avec scaphandre pressurisé. Sans doute pour s'éviter de pressuriser le cockpit, mais sur le Virgin c'est sans filet...
).
Oui, entre autres parce que le SR 71 faisait des missions au dessus de territoires plus ou moins hostiles et qu'il pouvait se faire tirer dessus (d'ailleurs, je crois qu'effectivement "les autres" ont essayé…) et que, là, s'il se créait un trou dans la cabine à 20.000 m, le pilote en manches de chemise ou même en combi de vol classique, adieu...
Au sujet de Challenger dans Wikipedia :ironclaude a écrit : ↑lun. mai 31, 2021 11:12 amEt puis, de la façon dont se sont produits les deux accidents de Navette, que les astronautes aient été en scaphandre, en tenue de ville ou en maillot de bain, ça n'aurait hélas fait aucune différence...
Durant la désintégration de la navette, l'habitacle — très robuste — s'est détaché d'un seul bloc et a chuté. La NASA a estimé la force de séparation à environ douze à vingt fois la force de gravité. En moins de deux secondes, ces forces étaient déjà passées en dessous de 4 g, et en moins de dix secondes la cabine était en chute libre. Ces forces étaient vraisemblablement insuffisantes pour causer des lésions sérieuses.
Les astronautes semblaient encore en vie et conscients après la séparation de la navette, car trois des quatre dispositifs PEAP du poste de pilotage avaient été activés. Les enquêteurs ont estimé, en mesurant la quantité d'air non consommé, que les PEAPs ont été utilisés durant les 2 min 45 s de vol ayant suivi l'explosion. On ne sait pas si les astronautes sont restés conscients pendant l'accident, ni si la pression s'est maintenue longtemps dans l'habitacle ; en effet, en état de dépressurisation, on ne peut rester conscient à cette altitude que pendant quelques secondes.
L'habitacle a percuté la surface de l'océan à environ 333 km/h, provoquant une décélération instantanée de plus de 200 g, bien au-delà de la résistance de la structure du cockpit et de celle d'un corps humain11 ; l'équipage serait donc décédé dans tous les cas en touchant l'océan.
Le 28 juillet 1986, l'ancien astronaute et amiral Richard H. Truly, administrateur associé à la NASA pour les vols spatiaux, a publié un rapport de Joseph Kerwin, spécialiste biomédical du Lyndon B. Johnson Space Center de Houston, portant sur la mort des astronautes dans l'accident. Le Dr. Kerwin, vétéran de la mission Skylab 2, a été chargé de réaliser cette étude peu après l'accident. Selon son rapport11 :
« Les résultats ne sont pas concluants. L'impact de l'habitacle de l'équipage à la surface de l'océan a été si violent que des preuves de dommages survenus dans les secondes qui ont suivi l'explosion ont été masquées. Nos conclusions sont les suivantes :
la cause de la mort des astronautes de Challenger ne peut être déterminée avec précision ;
les forces auxquelles l'équipage a été soumis pendant l'éclatement de l'orbiteur n'étaient probablement pas suffisantes pour causer la mort ou des lésions graves ;
l'équipage a peut-être, mais cela reste une possibilité sans assurance, perdu conscience dans les secondes suivant la rupture à cause de la perte de la pression dans le module de l'équipage ».
(...)
A l’occasion d’une séance d’inspection du bras télémanipulateur canadien de la Station spatiale internationale, Canadarm2, les opérateurs au sol ont découvert le 12 mai un trou béant dans la couverture thermique.
Ce trou, que l’on distingue parfaitement sur l’image (...), a été provoqué par un débris spatial ou une micrométéorite, que l’ISS a pu croiser lors de sa course permanente autour de la Terre, à une altitude d’environ 420 km et à la vertigineuse vitesse de… 8 kilomètres par seconde.
Les responsables de l’Agence spatiale canadienne (CSA) et de la Nasa ont repris l’expression du bowling « lucky strike » (strike chanceux) pour qualifier l’incident, étant donné la taille du bras, qui mesure 17,6 m de long pour un diamètre de 35 cm.
Heureusement, l’impact ne semble pas avoir de conséquence sur le fonctionnement du Canadarm, ni sur ses opérations programmées à court terme.
Les alertes et les manœuvres d’évitement sont de plus en plus fréquentes sur l’orbite basse terrestre, posant de plus en plus urgemment la question de la surveillance de l’espace, de la régulation de l’orbite ou du besoin de missions de « nettoyage » orbital, tel que le projet suisse ClearSpace.
Ces problématiques sont d’autant d’actualité que de nombreux projets de mégaconstellations laissent présager une probable saturation de l’orbite basse et des fréquences à court terme, avec un risque de monopolisation de certains acteurs profitant du fait accompli, tel SpaceX et son réseau Starlink.
Le 24 juin 2021, SpaceX lancera une paire de satellites CubeSats 12U pour le compte de la Space Development Agency. Construits par General Atomics et mis en orbite héliosynchrone, ces deux CubeSats 12U présentent la particularité de disposer d’un terminal de communication laser. En effet, le DoD chercherait à améliorer la connectivité entre ses différents vecteurs spatiaux et aériens. Dans le détail, la paire de CubeSats 12U qui dispose des bornes optiques SA Photonics mènera des essais de connectivité avec un drone MQ-9 situé à 25 000 pieds.
Les communications par laser présentent de nombreux avantages tactiques. Premièrement, ces liaisons se révèlent très difficiles à brouiller. Deuxièmement, elles sont très difficilement détectables. Troisièmement, elles sont moins susceptibles de se croiser et de se mélanger à d’autres communications. Enfin, elles offrent un débit beaucoup plus élevé que les radiofréquences. D'où le choix des américains d'en doter leurs satellites d'alerte avancée.
Afin d’améliorer sa connectivité lors des opérations complexes, le Pentagone lancera 20 satellites de ce type d’ici 2022, et un nombre total de 150 en 2024. Chacun de ces vecteurs pouvant emporter de trois à cinq systèmes de communication optiques. Pour autant, les premiers satellites lancés offriront une bande passante de 2,5 Gbit/s alors que l’industrie produit des bandes passantes de 100 Gbits/s. De plus, la communication optique nécessite de prendre en compte les nuages ou les poussières qui provoquent des distorsions du faisceau lumineux, ce qui pousse les décideurs militaires à rester prudents sur ce nouveau segment.
Alors qu’il était à la tête de l’Air Mobility Command, le général Carlton Everhart avait développé trois concepts « révolutionnaires » concernant le transport aérien militaire. Le premier reposait sur une fusée réutilisable pour acheminer une centaine de tonnes fret en un temps record vers n’importe quelle région de la planète.
Le second supposait d’avoir recours à des véhicules suborbitaux habités pour accomplir le même type de mission. Enfin, le dernier consistait à prépositionner des cargaisons en orbite pouvant être ensuite chargées de façon autonome à bord de « capsules de réapprovisionnement » pour être livrées à la demande.
Ce qui passait alors pour de la science fiction pourrait bien voir le jour. En tout cas, l’Air Force Research Laboratory [AFRL] va s’y employer, via le projet « Rocket Cargo », lequel fait partie désormais de ses programmes prioritaires, classés dans la catégorie « Vanguard ».
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« Dans le cadre du programme Rocket Cargo, l’Air Force Research Laboratory dirigera un effort scientifique et technologique pour déterminer la viabilité et l’utilité de l’utilisation de grandes fusées commerciales pour la logistique mondiale du département de la Défense », est-il expliqué dans un communiqué publié le 4 juin.
Le secrétariat à l’Air Force a d’ailleurs demandé une enveloppe de 47,9 millions de dollars pour financer ce projet, qui sera mené au profit de l’US Space Force [USSF], au titre du budget 2022.
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Possible. Mais dans un tel contexte, il me semble difficile d'imaginer quel type de vie pourrait se développer.The moons of planets that have no parent star can possess an atmosphere and retain liquid water. Astrophysicists at LMU have calculated that such systems could harbor sufficient water to make life possible – and sustain it.
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there are indications that several moons in the outer reaches of our own solar system – more specifically, Saturn’s Enceladus and three of Jupiter’s moons (Ganymede, Callisto and Europa) may possess subterranean oceans.
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Free-floating planets (FFPs)are of interest mainly because the evidence indicates that there are plenty of them out there. Conservative estimates suggest that our own galaxy hosts at least as many Jupiter-sized orphan planets as there are stars – and the Milky Way itself is home to well over 100 billion stars.
LMU physicists Prof. Barbara Ercolano and Dr. Tommaso Grassi (both of whom are members of ORIGINS, a Cluster of Excellence) made use of a computer model to simulate the thermal structure of the atmosphere of an exomoon of the same size as the Earth in orbit around a FFP. Their results suggest that the amount of water present on the moon’s surface would be about 10,000 times smaller than the total volume of our planet’s oceans, but 100 times larger than that found in Earth’s atmosphere. This would be enough to enable life to evolve and thrive.
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in the researchers' model, cosmic rays provide the chemical drive necessary to convert molecular hydrogen and carbon dioxide into water and other products. To keep the system stirred up, the authors invoke the tidal forces exerted by the planet on its moon as a source of heat – and assuming that carbon dioxide accounts for 90% of the moon’s atmosphere, the resulting greenhouse effect would effectively retain a large part of the heat generated on the moon. Together, these energy sources would suffice to keep water in the liquid state.
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A keystone mission for exoplanet science, the Kepler Space Telescope launched in 2009 and observed almost 200,000 stars in a tiny patch of sky between 2013 and 2018. Its mission was to calculate what fraction of stars in the Milky Way have Earth-size planets in their habitable zone.
“Kepler stared at one patch of the sky for four years looking for planets transiting across their hosts stars, and from that we could infer information about the period and the radius of each planet,” said Jon Zink , a graduate student working on exoplanets at the University of California, Los Angeles, speaking at this week’s 238th meeting of the American Astronomical Society. “Most of the planets discovered were a little bit larger than Earth and a little bit smaller than Neptune—super-Earths or sub-Neptunes.”
Kepler discovered something incredible— 2,300 exoplanets—which marked a new era in exoplanet research, but it eventually suffered a technical defect. “There was a malfunction that caused the spacecraft to no longer be able to focus on that one patch of sky, so it began looking at different regions of the galaxy,” said Zink.
This K2 mission enabled researchers to study different parts of the galaxy, and stars of different ages and masses, albeit fleetingly. It monitored more than 100,000 more stars by the end of the mission in 2018 when Kepler became unusable.
But the K2 data proved to be too “noisy” for algorithms to automatically “find” candidate exoplanets. So people looked at the data themselves. It worked—to a point. “Human vetting of the datasets found 889 exoplanet candidates, so it was fruitful, but our goal was to fully automate the process,” said Zink.
Its his new algorithms—essentially an automated detection pipeline—that have uncovered this new tranche of exoplanet candidates in the K2 data. “Our code can do it faster, but also more thoroughly—we found 372 new exoplanet candidates in a dataset that’s been sitting around for a few years. They were just waiting to be discovered!” said Zink.
The new code also found 18 multi-planetary star systems and revealed that while the original Kepler mission found about 1.25 planets per star, in the K2 sample that rate was much lower—as low as 0.5 planets per star.
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L’information, en provenance du Pentagone, attribuerait un nouvel revers au lancement au petit lanceur Simorgh (Safir 2), « lanceur de deuxième génération dont les moteurs sont d’inspiration nord-coréenne » selon la description des militaires américains, que les Iraniens tentent de faire voler depuis juillet 2017 – indépendamment du lanceur Qassed SLV, développé par les Gardiens de la révolution islamique –, toujours sans succès : quatre échecs pour quatre tentatives de vol orbital.
Le nouvel essai aurait eu lieu le 12 juin depuis le centre spatial de Semnan, à environ 300 km à l’est de Téhéran. Le 1er juin, un satellite d’observation de la Terre de la société américaine Planet aurait permis de constater une activité sur le site, correspondant aux préparatifs d’un lancement imminent – avec notamment la présence d’un grand nombre de véhicules et de réservoirs de carburant. Des images plus récentes confirmeraient une baisse d’activité notable, signe que le lancement a bien été effectué.
Les autorités iraniennes nient en bloc ce nouvel échec : « Les deux satellites du ministère de la communication, Nahid et Pars, sont entre les mains de l’agence spatiale » iranienne, a aussitôt déclaré le ministre des Télécommunications Mohammad Javad Azari Jahromi, cité par l’agence officielle Irna.
L’affaire intervient alors que les États-Unis et l’Iran négocient un retour mutuel à l’accord nucléaire de 2015, connu sous le nom de Plan d’action global conjoint, qui était censé limiter le programme nucléaire de Téhéran en échange d’un allègement des sanctions.
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le ministère des Armées a annoncé qu’il venait de nouer un « partenariat de confiance » avec Airbus Defence & Space afin de disposer d’un satellite pour les communications en bande UHF [Ultra High Frequency] sans bourse délier.
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pour leurs communications en bande UHF, les forces françaises doivent louer les services d’opérateurs étrangers de satellites. Or, les fréquences UHF sont très prisées, en particulier par les forces spéciales, dans la mesure où elles permettent d’utiliser des moyens de communications légers, robustes et sécurisés. La capacité UHF SATCOM est « très recherchée par les armées modernes pour leur interopérabilité en environnement interallié », complète par ailleurs le ministère des Armées.
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l’accord que ce dernier vient de nouer avec Airbus Defence & Space, via sa Direction générale du numérique [DGNum], consistera à installer une charge utile F-UHF sur le satellite de télécommunication géostationnaire multimissions de nouvelle génération Eutelsat E36D
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Ce satellite doit être en mis en orbite en 2024
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« Le projet industriel ‘F-UHF’ repose sur une mise à disposition […] de fréquences militaires, sous la forme d’une Autorisation d’occupation privative [AOP] du spectre public permettant de construire une capacité SATCOM, en contrepartie d’un accès à cette capacité opérationnelle » dont disposeront les forces françaises durant la vie du satellite », explique le ministère des Armées.
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En clair, en échange de l’utilisation de cette capacité pour ses besoins, le ministère des Armées mettra à la disposition d’Airbus une partie de ses 18 canaux UHF au profit d’autres forces partenaires.
« L’UHF étant une bande de fréquences particulière et une ressource spatiale relativement rare, cette offre permettra de pallier la pénurie de ce type de capacité dans le monde », souligne Airbus, précisant avoir « déjà signé des premières prises de commandes fermes sur ces capacités ».
Outre cette contrepartie, et au regard de l’intérêt qu’il « représente » pour les forces françaises et alliées, le ministère des Armées s’est engagé à ce que ce satellite fasse « l’objet d’une surveillance particulière par le Commandement de l’Espace [CdE] ».
Oui, deux vrais gamins dans une cour de récré :warbird2000 a écrit : ↑ven. juil. 02, 2021 10:06 amUn loisir de riche
Fini le temps ou le golf épatait les voisins
https://www.rtl.be/people/buzz/la-cours ... 10244.aspx
60 ans après sa première formation d'astronaute, l'Américaine âgée de 82 ans va enfin pouvoir voyager dans l'espace. Elle a été choisie par Jeff Bezos pour embarquer à bord du premier vol habité de sa société Blue Origin.
