TooCool... en Suisse, aussi, les stat. sur les décès sont intéressantes :
-72 % des morts avaient plus de 80 ans,
-97 % souffraient déjà sévèrement d'une ou de plusieurs co-morbidités (62 % d'hypertension, 62 % de maladies cardio-vasculaires, 27 % de diabète, etc).
Sans vouloir être cynique et sans vouloir leur manquer de respect... auraient-ils vécu beaucoup plus longtemps sans le virus ? J'ai quelques doutes là-dessus, puisque soit ils avaient atteint leur espérance de vie, soit ils étaient déjà en fin de vie.
Milos... ton meilleur ami y a perdu sa mère, et j'en suis profondément désolé. Quant à moi, j'ai perdu un ami, et cela m'affecte énormément. Sauf que lui, je ne l'ai pas perdu à cause du COVID. Non. Lui, ce sont les mesures anti-COVID qui l'ont tué, car elles l'ont acculé à la faillite : il est donc une victime de ces mesures. Sa petite boîte est partie en banqueroute (confinement, fermeture de l'économie, fermeture des frontières au tourisme international : pour une boîte que s'occupe de voiturage pour touristes, ça fait mal...). Il a perdu en quelques semaines le boulot de toute une vie, a craqué, et s'est suicidé. Il laisse derrière lui une épouse et 2 gosses.
OPIT... c'est facile de connaître le vrai taux de mortalité de ce machin. Il faut juste tenir compte de TOUTES les infos, surtout lorsqu'elles émanent de l'OMS. Pas se limiter au seul Worldometers. J'ai oublié toutefois de préciser que ce taux est au niveau mondial. Et comment le trouver ? facile. Il faut revenir sur la déclaration du directeur de l'OMS du 12.10.020, M. Adhanom Ghebreyesus, lorsqu'ils s'est exprimé au sujet de l'immunité de groupe, qu'il condamne et considère "immorale".
https://www.bbc.com/news/world-54518286
Son argument ? Lors de cette déclaration, il a indiqué que les tests de séro-prévalence sanguine indiquaient que, depuis le début de cette affaire, 10 % de la population mondiale avait été exposée au virus (contaminée, quoi...). Il a dit que ce taux était trop bas pour parler d'immunité de groupe. 10 % de la population mondiale, ce sont environ 800'000'000 personnes, soit autant de cas positifs détectés par la présence d'anti-corps dans le sang (pas par PCR, donc). Personnellement, vu le cadre dans lequel il a indiqué ce taux de 10 %, j'aurais plutôt tendance à considérer qu'il le minimisait pour justifier son propos et qu'en réalité, il doit être supérieur et se situer autour des 15 %. Mais bon. 10 %, c'est facile pour faire des calculs... donc, par pure flemme, je le prends et je continue. A ce 10 % (soit 800'000'000 personnes) obtenu par tests de séroprévalence sanguine, il faut ajouter ceux du Worldometers, obtenus eux par PCR, et avec lesquels on nous rebâche les oreilles chaque jour depuis des mois, soit aujourd'hui 62'496'000. Le total des 2 nombres donne donc (j'arrondis) environ 850'000'000 cas positifs ou qui l'ont été à un moment ou à un autre. Et les morts : 1'450'000. Pourcentage de décès : 0.17 % (pas 0,15 % comme je l'indiquais avant, mais loin de ce qu'on essaie de nous faire avaler quand même !). Donc, taux de survie : 99.83 %.
La surcharge des hôpitaux ? Il faut la chercher ailleurs que dans cette épidémie, parce qu'elle se produit presque chaque hiver depuis plusieurs années. Elle est le résultat de 40 ans de politiques d'austérité, de restrictions budgétaires, de fonctionnements à flux tendus, de restrictions de personnel et de privatisations. Cela fait 40 ans que nos gouvernements torpillent le système hospitalier. C'est ça qui tue ! Il a fallu cette épidémie pour que cela apparaisse de façon très crue sous les projecteurs. Alors, accuser un seul virus de tous les maux, c'est juste de la malhonnêteté, et de la manipulation !
J'arrête là mon HS.