Mission du Lundi 11/02/2013
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#27
Equipe des Anton bleus - Bf109E3 x 4
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Cafouillage au taxi, après être sorti de ce *#%* de champ de blé : je crois suivre mon coéquipier 3 -Togno- mais c'est un E1 des Bruno. Arrivé dans leur meute, ceux-ci me redirigent gentiment vers les miens, en vilain petit canard que je suis.
Décollage : je me colle à Togno et tout se passe pour le mieux. Après un long voyage vers le nord, nous arrivons à vue de l'Île de Wight sans avoir repéré les fameux bombardiers qu'il nous faut protéger à tout prix. En descendant sur zone, nous apercevons des ennemis : Togno vire prestement en un superbe virage droit et je peine à suivre, à la traîne. Tandis qu'il poursuit une cible en montée, je le perds de vue. J'ai encore des progrès à faire, mais j'assume : je suis isolé, il me faut mettre plein gaz pour ne pas faire une cible facile.
Mes 6 sont propres, je fais donc demi-tour et tente de retrouve mon coéquipier qui m'annonce être en difficulté. Je croise alors tous les chasseurs qui passent à ma portée, certains par paquets de 5, souvent des anglais, que je ne distingue qu'au moment où je ne peux plus les toucher. Bizarrement, je n'aurais assisté à aucun échange de tir, pas même sur moi. Pourtant l'équipe est dispersée dans la mêlée et mes collègues évoquent des volées de plombs.
Togno est maintenant touché et m'indique survoler Bembridge à basse altitude. J'accours, réduis ma vitesse pour le retrouver. Il me voit enfin, mais me signale immédiatement la présence d'ennemis dans mes 6. Tandis que je joue du palonnier, et confirme son diagnostic, Togno truffe de plombs mon assaillant direct avant que celui-ci ne m'engage. Il m'annonce presque aussitôt qu'ils abandonnent la partie. Alors que je le remercie, Anton 3 repart vers la France pour tenter de poser sa passoire volante.
Je poursuis ma lancée en radada au-dessus de l'Île de Wight, tant pis pour la flak qui risque de trahir ma position : j’appuie sur le champignon. J'entame un retour plein Est en altitude, prêt à en découdre, quand Togno annonce aux Bruno que tous les Anton rentrent à la base. Bruno Leader répond qu'il en est de même pour les Bruno. Je me résigne à rentrer : je n'allais tout de même pas me battre à 1 contre 4 (peut-être plus), et aucun de nous n'avait encore aperçu nos bombardiers...
Je fonce vers la France, et je retrouve enfin Togno à la base, au moment de nous poser. Nous apprenons que la moitié des Bruno est de retour, et qu'une partie des Stuka est rentrée à bon port. Je suis heureux d'en être sorti vivant, mais une fois encore, j'ai le sentiment d'être un lâche : mon avion n'a pas d'impact de balle apparent, et je n'ai pas tiré une seule fois. Il me reste beaucoup à apprendre, à commencer par ne pas perdre mon coéquipier.
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Cafouillage au taxi, après être sorti de ce *#%* de champ de blé : je crois suivre mon coéquipier 3 -Togno- mais c'est un E1 des Bruno. Arrivé dans leur meute, ceux-ci me redirigent gentiment vers les miens, en vilain petit canard que je suis.
Décollage : je me colle à Togno et tout se passe pour le mieux. Après un long voyage vers le nord, nous arrivons à vue de l'Île de Wight sans avoir repéré les fameux bombardiers qu'il nous faut protéger à tout prix. En descendant sur zone, nous apercevons des ennemis : Togno vire prestement en un superbe virage droit et je peine à suivre, à la traîne. Tandis qu'il poursuit une cible en montée, je le perds de vue. J'ai encore des progrès à faire, mais j'assume : je suis isolé, il me faut mettre plein gaz pour ne pas faire une cible facile.
Mes 6 sont propres, je fais donc demi-tour et tente de retrouve mon coéquipier qui m'annonce être en difficulté. Je croise alors tous les chasseurs qui passent à ma portée, certains par paquets de 5, souvent des anglais, que je ne distingue qu'au moment où je ne peux plus les toucher. Bizarrement, je n'aurais assisté à aucun échange de tir, pas même sur moi. Pourtant l'équipe est dispersée dans la mêlée et mes collègues évoquent des volées de plombs.
Togno est maintenant touché et m'indique survoler Bembridge à basse altitude. J'accours, réduis ma vitesse pour le retrouver. Il me voit enfin, mais me signale immédiatement la présence d'ennemis dans mes 6. Tandis que je joue du palonnier, et confirme son diagnostic, Togno truffe de plombs mon assaillant direct avant que celui-ci ne m'engage. Il m'annonce presque aussitôt qu'ils abandonnent la partie. Alors que je le remercie, Anton 3 repart vers la France pour tenter de poser sa passoire volante.
Je poursuis ma lancée en radada au-dessus de l'Île de Wight, tant pis pour la flak qui risque de trahir ma position : j’appuie sur le champignon. J'entame un retour plein Est en altitude, prêt à en découdre, quand Togno annonce aux Bruno que tous les Anton rentrent à la base. Bruno Leader répond qu'il en est de même pour les Bruno. Je me résigne à rentrer : je n'allais tout de même pas me battre à 1 contre 4 (peut-être plus), et aucun de nous n'avait encore aperçu nos bombardiers...
Je fonce vers la France, et je retrouve enfin Togno à la base, au moment de nous poser. Nous apprenons que la moitié des Bruno est de retour, et qu'une partie des Stuka est rentrée à bon port. Je suis heureux d'en être sorti vivant, mais une fois encore, j'ai le sentiment d'être un lâche : mon avion n'a pas d'impact de balle apparent, et je n'ai pas tiré une seule fois. Il me reste beaucoup à apprendre, à commencer par ne pas perdre mon coéquipier.
#28
Nan, nan, nan. T'es mignon mais le rapport correct serait plutôt :Flappie a écrit : Togno est maintenant touché et m'indique survoler Bembridge à basse altitude. J'accours, réduis ma vitesse pour le retrouver. Il me voit enfin, mais me signale immédiatement la présence d'ennemis dans mes 6. Tandis que je joue du palonnier, et confirme son diagnostic, Togno truffe de plombs mon assaillant direct avant que celui-ci ne m'engage. Il m'annonce presque aussitôt qu'ils abandonnent la partie. Alors que je le remercie, Anton 3 repart vers la France pour tenter de poser sa passoire volante.
Togno balance du plomb n'importe comment, de 300m, avec une déflexion d'au moins 80° à l'aide de ses mitrailleuses et de son canon gauche (le droit étant HS) pour essayer de faire peur en arrosant comme un damné sans trop y croire.
Puis passoire volante t'es dure là
Sinon débrief similaire à celui de Flappie, pas grand chose à dire. Pas de prise de contact, un peu de Dightfigh, quelques frayeurs, quelques touches fébriles, et un RTB.
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#29
Groupe Blue sur Hurri 100 Oct.
Désigné une nouvelle fois "volontaire" pour leader le petit groupe de 6 Hurris ( Emile-Xav-Erel-Warpig-Gib et Nacy ) auquel je suis affecté nous prenons notre envol pour notre zone de patrouille à l'est de l'ile de Wight. Une première alerte - des 110 sur Portsmouth - nous amène à nous porter dans la zone portuaire mais lorsque nous arrivons les 110 semblent s'être évaporés, nous retournons donc à notre tranquille patrouille . Pas pour longtemps car des contacts sont signalés juste derrière nous, sur l'est de l'ile. Demi-tour et bientôt mes équipiers signalent des combats juste sur notre route, je fini par les voir , ma myopie s'est aggravée, le service actif sera bientôt fini pour moi. Nous entrons dans la mêlée , pas facile avec mes yeux de taupe éblouie de distinguer l'ami de l'ennemi et je suis d'ailleurs à deux doigts d'engager un hurri. Pendant ce temps Bleu 2 est engagé , moteur touché et doit dégager. Enfin un nez jaune poursuivant un ami croise ma route, je le prend en chasse et alors que je suis sur le point de tirer des traçantes m'entourent puis le bruit assourdissant des impacts sur ma carlingue me déchire les oreilles mais -horreur !- je suis plein de sang et ma vision se brouille, je suis touché ! Je plonge et m'enfuis la queue entre les jambes , la base de Gosport n'est pas loin et heureusement car mon moteur commence à cracher de l'huile, je réussis à me poser sans plus de casse , l'ambulance m'attend, les chirurgiens vont avoir du travail aujourd'hui...
Désigné une nouvelle fois "volontaire" pour leader le petit groupe de 6 Hurris ( Emile-Xav-Erel-Warpig-Gib et Nacy ) auquel je suis affecté nous prenons notre envol pour notre zone de patrouille à l'est de l'ile de Wight. Une première alerte - des 110 sur Portsmouth - nous amène à nous porter dans la zone portuaire mais lorsque nous arrivons les 110 semblent s'être évaporés, nous retournons donc à notre tranquille patrouille . Pas pour longtemps car des contacts sont signalés juste derrière nous, sur l'est de l'ile. Demi-tour et bientôt mes équipiers signalent des combats juste sur notre route, je fini par les voir , ma myopie s'est aggravée, le service actif sera bientôt fini pour moi. Nous entrons dans la mêlée , pas facile avec mes yeux de taupe éblouie de distinguer l'ami de l'ennemi et je suis d'ailleurs à deux doigts d'engager un hurri. Pendant ce temps Bleu 2 est engagé , moteur touché et doit dégager. Enfin un nez jaune poursuivant un ami croise ma route, je le prend en chasse et alors que je suis sur le point de tirer des traçantes m'entourent puis le bruit assourdissant des impacts sur ma carlingue me déchire les oreilles mais -horreur !- je suis plein de sang et ma vision se brouille, je suis touché ! Je plonge et m'enfuis la queue entre les jambes , la base de Gosport n'est pas loin et heureusement car mon moteur commence à cracher de l'huile, je réussis à me poser sans plus de casse , l'ambulance m'attend, les chirurgiens vont avoir du travail aujourd'hui...
Théorème Shadok : il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries que mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes
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#30
Le vol green, en Spitfire:
Avec Math, nous avons recu l'ordre de patrouillé à l'est de l'île à 20 000 pied. Arrivé à cette altitude, aucun contacte radio avec les autres groupes et donc nous nous sentions un peu perdu car non informé. Ou sont les ennemis, que font ils, nous ne savions rien.
Finalement, j'ai décidé de patrouillé plus à l'ouest dans l'espoir de repérer des coup de DCA. A la place, en penchant mon avions, je vois un petit paquet d'avions et je me dis "aie aie aie ! si ce sont les allemands, à 2 nous allons avoir des problème". Ayant tout de même l'avantage de la vitesse, j'ai décidé de piqué dessus avec mon ailier pour faire peur à ce petit groupe mais à plusieurs centaines de pieds au dessus d'eux, les petit point s'étaient transformé en hurricane avec de jolie cocarde.
C'est alor que nous sommes remonté et la Math à décidé de me faire peur en m'annoncant que depuis tout à l'heure, il s'était peut être planté dans les whisper et que donc si nous copain de répondait pas, c'est peut être parcequ'il parlait sur la fréquence des allemands. Avec espoir que ce soit juste les hurricanes qui n'était pas bavard, nous avons poursuivis la patrouille sans donné d'autres infos. Par contre, nous avons pêcher l'ordre d'aller à Southampton. Donc nous nous sommes dirigé par là mais c'est alor qu'en route pour aller vers le port, nous avons entendu appeler à l'aide sur l'île. Nous avons donc fait demi-tour pour arriver dans un combat assez éparpillé.
Je repère un BF 109 qui monte. il est assez loin et je prendrais du temps à le rejoindre. J'avais prévu d'attaquer les cible en altitude pour finnir sur celle plus bas mais Math à eu le malheure d'attirer un autre BF 109 qui nous a entrainer plus bas. Finalement celui-ci c'est enfui en ayant droit à son radiateur d'au perforé et une fuite d'huile ou de carburant. Nous l'avons poursuivis jusqu'au bateau qui se trouvait au sud de l'ile.
A ce moment la, nous avons fait demi-tour tout les deux et nous avons eu la chance de croisé plusieurs contactes. Au bout de plusieurs affrontement avec 3 ou 4 BF 109 suplémentaires, nous en avons abattu un ensemble, j'ai pu faire une passe frontale à un BF 109 qui c'est écrasé au niveau des cargo et nous en avons endommagé deux de plus.
Le ciel était clair à ce moment mais dans les minutes qui ont suivis, nouvelle frayeur. Math me cherchait car il avait été séparer de moi durant le dernier affrontement et pendant que je tournais en rend au dessus des navires, j'ai repérer quatre nouveau contactes. 1 contre 4, je me suis dit "aie aie aie" à nouveau surtout que je n'avais pas l'avantage de l'altitude. Heureusement, les quatres contacte étaient des hurricanes. Après quelques tour, nous avons recu l'ordre de repasser par Southampton pour rechercher d'éventuel contacte qui serait resté. Math m'a retrouvé mais plus rien en visuel. Nous sommes donc rentré à la base ou j'ai eu la chance de l'aisser mon avion brouté l'herbe dut à un blocage des freins qui est survenu via les gentil effet de roulage.
(Merci encore pour l'idée du rétro, je test ca tout àl'heure quand j'irais voler).
Ensuite, le tour de math qui se gare mais qui met trop de gaz et qui lui aussi donne un peu d'herbe à son Spitfire.
Mis à part ces deux incident à l'atterrissage, nos Spitfire n'ont eu aucun dégat. L'ennemi nous à bien tiré dessus mais sans coup au but.
Avec Math, nous avons recu l'ordre de patrouillé à l'est de l'île à 20 000 pied. Arrivé à cette altitude, aucun contacte radio avec les autres groupes et donc nous nous sentions un peu perdu car non informé. Ou sont les ennemis, que font ils, nous ne savions rien.
Finalement, j'ai décidé de patrouillé plus à l'ouest dans l'espoir de repérer des coup de DCA. A la place, en penchant mon avions, je vois un petit paquet d'avions et je me dis "aie aie aie ! si ce sont les allemands, à 2 nous allons avoir des problème". Ayant tout de même l'avantage de la vitesse, j'ai décidé de piqué dessus avec mon ailier pour faire peur à ce petit groupe mais à plusieurs centaines de pieds au dessus d'eux, les petit point s'étaient transformé en hurricane avec de jolie cocarde.
C'est alor que nous sommes remonté et la Math à décidé de me faire peur en m'annoncant que depuis tout à l'heure, il s'était peut être planté dans les whisper et que donc si nous copain de répondait pas, c'est peut être parcequ'il parlait sur la fréquence des allemands. Avec espoir que ce soit juste les hurricanes qui n'était pas bavard, nous avons poursuivis la patrouille sans donné d'autres infos. Par contre, nous avons pêcher l'ordre d'aller à Southampton. Donc nous nous sommes dirigé par là mais c'est alor qu'en route pour aller vers le port, nous avons entendu appeler à l'aide sur l'île. Nous avons donc fait demi-tour pour arriver dans un combat assez éparpillé.
Je repère un BF 109 qui monte. il est assez loin et je prendrais du temps à le rejoindre. J'avais prévu d'attaquer les cible en altitude pour finnir sur celle plus bas mais Math à eu le malheure d'attirer un autre BF 109 qui nous a entrainer plus bas. Finalement celui-ci c'est enfui en ayant droit à son radiateur d'au perforé et une fuite d'huile ou de carburant. Nous l'avons poursuivis jusqu'au bateau qui se trouvait au sud de l'ile.
A ce moment la, nous avons fait demi-tour tout les deux et nous avons eu la chance de croisé plusieurs contactes. Au bout de plusieurs affrontement avec 3 ou 4 BF 109 suplémentaires, nous en avons abattu un ensemble, j'ai pu faire une passe frontale à un BF 109 qui c'est écrasé au niveau des cargo et nous en avons endommagé deux de plus.
Le ciel était clair à ce moment mais dans les minutes qui ont suivis, nouvelle frayeur. Math me cherchait car il avait été séparer de moi durant le dernier affrontement et pendant que je tournais en rend au dessus des navires, j'ai repérer quatre nouveau contactes. 1 contre 4, je me suis dit "aie aie aie" à nouveau surtout que je n'avais pas l'avantage de l'altitude. Heureusement, les quatres contacte étaient des hurricanes. Après quelques tour, nous avons recu l'ordre de repasser par Southampton pour rechercher d'éventuel contacte qui serait resté. Math m'a retrouvé mais plus rien en visuel. Nous sommes donc rentré à la base ou j'ai eu la chance de l'aisser mon avion brouté l'herbe dut à un blocage des freins qui est survenu via les gentil effet de roulage.
(Merci encore pour l'idée du rétro, je test ca tout àl'heure quand j'irais voler).
Ensuite, le tour de math qui se gare mais qui met trop de gaz et qui lui aussi donne un peu d'herbe à son Spitfire.
Mis à part ces deux incident à l'atterrissage, nos Spitfire n'ont eu aucun dégat. L'ennemi nous à bien tiré dessus mais sans coup au but.
#31
J'ai pas trop regardé ton avion au RTB, mais en vol tu m'as annoncé plusieurs fois que ton avion avait des trous partout. Un truc en métal avec des trous partout, j'appelle ça une passoire !Togno a écrit :Puis passoire volante t'es dure là
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- Nouvelle Recrue
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#32
Les OBT à l'aller...
Les OBT au retour...
Entre les deux: sang, sueur et larmes... mais pas encore la victoire
Merci pour la mission.
Les OBT au retour...
Entre les deux: sang, sueur et larmes... mais pas encore la victoire
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Seul moomoon ne croit pas en Chuck Norris, alors que des milliards de personnes ne croient pas en Dieu