2 questions concernant le circuit d'atterro:
1. Quelqu'un a -t-il déjà analysé le circuit d'atterrissage couramment pratiqué par les IA en RTB ?
Si oui, qu'en est-il ?
2. Certes, le circuit d'atterrissage standard de nos jours (vent arrière 1000', base et finale) ainsi que le break sont des pratiques connus mais avez-vous des infos sur les circuits utilisés par les différentes forces aériennes durant la WW2 ?
Merci.
Question: circuit d'atterrissage
Question: circuit d'atterrissage
#1Site perso IL2:
http://klaus.cmonfofo.com/
Site perso Aviation moderne:
http://aviationmilitaireclaudio.centerblog.net/
Blog Photo:
http://lemondedeclo.centerblog.net/
http://klaus.cmonfofo.com/
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Blog Photo:
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#2
Salut Klaus !
En voilà un sujet pertinent.
Je me suis posé beaucoup de questions aussi à ce propos.
Il y a qq temps j'ai pris ce screen de la map en vol au moment de l'atterro des IA (sur DBW 1.71) :
Uploaded with ImageShack.us
Ce qui me fait dire qu'on peut faire faire une sorte de break à l'IA en lui programmant l'avant dernier point, verticale piste à une hauteur variant entre 300 et 500 m, contrairement à ce qui est affirmé dans tous les tutos traitant du FMB.
En principe, l'IA, à l'issue du survol de l'avant dernier point, au dessus de la piste, va effectuer un virage à gauche pour rejoindre le premier point de son circuit (celui qui est annoté <105° / 2km> sur l'image ci-dessus)
Le problème est que ça ne marche pas avec tous les avions. Certains s'en sortent bien, d'autres se mettent brusquement à plonger vers le sol avant de remonter, quand ils y arrivent et qu'ils ne percutent pas la planète, tout ça entre l'avant dernier point de nav et le premier du circuit.
C'est peut-être pour ça qu'il est préconisé de fixer l'avant dernier point dans l'axe de piste et à quelques km de distance.
Pourtant, je doute de l'efficacité de cette dernière méthode, bien qu'elle soit systématiquement utilisée.
La soluce, à mon avis, est bien de tenter le virage au dessus de la piste mais en jouant sur la vitesse : il faut surtout faire gaffe à ne pas règler une vitesse inférieur à la vitesse mini de l'IA, qui peut être assez élevée dans certains cas (aux alentours de 150kt/280km/h pour le Corsair par exemple) ou bien essayer de décaler le point pour l'écarter du circuit de sorte que l'IA n'ait pas à faire un virage trop serré.
Quant à la question sur les pratiques en la matière, pendant la 2ème GM, j'ai cherché de la doc sur le web mais sans succès, sauf pour les circuits autour des PA de l'US navy, ici : http://www.airgroup51.net/ag51website/i ... r-training
Donc si qq'un en a, ça m'interesse aussi.
En voilà un sujet pertinent.
Je me suis posé beaucoup de questions aussi à ce propos.
Il y a qq temps j'ai pris ce screen de la map en vol au moment de l'atterro des IA (sur DBW 1.71) :
Uploaded with ImageShack.us
Ce qui me fait dire qu'on peut faire faire une sorte de break à l'IA en lui programmant l'avant dernier point, verticale piste à une hauteur variant entre 300 et 500 m, contrairement à ce qui est affirmé dans tous les tutos traitant du FMB.
En principe, l'IA, à l'issue du survol de l'avant dernier point, au dessus de la piste, va effectuer un virage à gauche pour rejoindre le premier point de son circuit (celui qui est annoté <105° / 2km> sur l'image ci-dessus)
Le problème est que ça ne marche pas avec tous les avions. Certains s'en sortent bien, d'autres se mettent brusquement à plonger vers le sol avant de remonter, quand ils y arrivent et qu'ils ne percutent pas la planète, tout ça entre l'avant dernier point de nav et le premier du circuit.
C'est peut-être pour ça qu'il est préconisé de fixer l'avant dernier point dans l'axe de piste et à quelques km de distance.
Pourtant, je doute de l'efficacité de cette dernière méthode, bien qu'elle soit systématiquement utilisée.
La soluce, à mon avis, est bien de tenter le virage au dessus de la piste mais en jouant sur la vitesse : il faut surtout faire gaffe à ne pas règler une vitesse inférieur à la vitesse mini de l'IA, qui peut être assez élevée dans certains cas (aux alentours de 150kt/280km/h pour le Corsair par exemple) ou bien essayer de décaler le point pour l'écarter du circuit de sorte que l'IA n'ait pas à faire un virage trop serré.
Quant à la question sur les pratiques en la matière, pendant la 2ème GM, j'ai cherché de la doc sur le web mais sans succès, sauf pour les circuits autour des PA de l'US navy, ici : http://www.airgroup51.net/ag51website/i ... r-training
Donc si qq'un en a, ça m'interesse aussi.
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- Pilote Confirmé
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- Inscription : 31 janvier 2002
#3
Je pense que les règles doivent être sensiblement les mêmes dans tous les pays
c'est plus l'avion et ses contraintes qui doit à la limite amener des variantes
Concernant l'IA
je fais systématiquement un waypoint 500m juste avant la base dans l'axe de piste
et l'ia fait toujours (en formation) un circuit "ordinnaire"
c'est plus l'avion et ses contraintes qui doit à la limite amener des variantes
Concernant l'IA
je fais systématiquement un waypoint 500m juste avant la base dans l'axe de piste
et l'ia fait toujours (en formation) un circuit "ordinnaire"
"les cons cela osent tout et c'est d'ailleurs à cela qu'on les reconnait" M.AUDIARD
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- Jeune Pilote
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#5
en 1943>>>>1956, US France; c'était déjà le circuit rectangulaire(vent arrière à 1400/1200'), ou une prise de terrain en L en U ou en O, à la différence que l'étape de base se pratiquait souvent moteur tout réduit (cycle basic flying & primary school US et France).Klaus a écrit :2
2. Certes, le circuit d'atterrissage standard de nos jours (vent arrière 1000', base et finale) ainsi que le break sont des pratiques connus mais avez-vous des infos sur les circuits utilisés par les différentes forces aériennes durant la WW2 ?
Merci.
L'avantage de la prise de train tout réduit, est qu'au cas où le moteur lâcherait, tu finis sur la piste, ce qui ne serait pas le cas d'une base/finale au moteur.