![Yes :yes:](./images/smilies/yes.gif)
Nous avons reçu samedi matin un (volumineux) paquet de chez Paquet. (Oui, je sais, elle est mauvaise mais c'est tout ce que j'ai comme jeu de mots tôt). Et dedans... shazam ! Si-do-niiiie ! Le second volume du "Pilote à l'edelweiss". J'en étais resté à un Henri Castillac qui avait tiré un Drachen avec des fusées Le Prieur et qui avait survécu à une attaque du "pilote à l'edelweiss" et j'avais d'autant plus hâte de lire ce volume deux que j'avais trouvé le tome 1 difficile à suivre, ainsi que je le laissais entendre.
![Image](http://www.aerostories.org/~aerobiblio/IMG/arton3966.jpg)
Sur ce coup, je suis sans doute le prem's à publier une analyse. C'est logique.
![Jumpy :Jumpy:](./images/smilies/Jumpy.gif)
Pour tout vous dire, j'avais beaucoup aimé Le grand duc, tant dans le scénario, le découpage et le dessin, même si Yann et Hugault y tordaient un peu le bras à la réalité historique (après tout, une bédé est une fiction, par un documentaire). Le premier volet du Pilote à l'edelweiss m'avait moins accroché, mais le second me fait tirer la langue dans l'attente du dénouement. Je sens qu'à la parution du tome 3 (dont j'ai de bonnes raisons de penser qu'après Valentine et Sidonie il s'appellera "Walburga"), je m'installerai confortablement avec du thé et des spéculoos et que je relirai paisiblement les deux premiers pour savourer le troisième.
Le dessin de Romain Hugault s'affine, surtout pour les vues au sol (le progrès est très sensible depuis Au-delà des nuages : les arrière-plans et les paysages sont plus fouillés). En ce qui concerne les avions, rien à redire : on connaît le talent de Romain Hugault dans ce type d'exercice.
Pour finir, je préciserai que les filles sont toujours délicieusement potelées (même si elles sont moins nombreuses que dans le volume 1), avec même des fossettes en bas du dos.
![Blushing :blushing:](./images/smilies/blushing.gif)
Bonne lecture.
Philippe Ballarini