Flappie a écrit :Content d'avoir pu au moins servir à quelque chose avant le début de mission !
Pardon aux Bruno bleus, je vous ai perdu au mauvais moment, et j'ai comme l'impression que ça vous a porté la poisse. J'ai encore des progrès à faire en vol en escadrille...
Sous TS, j'avais du mal à entendre le leader. J'ai fini par baisser le volume du jeu, mais trop tard. Pour la prochaine fois, je pense que le whisper devrait systématiquement être utilisé par le leader ! Ça nous évitera la séance de "téléphone teuton".
Merci pour la soirée, et à bientôt !
En effet on a connu quelques soucis de comms qui ont fait que tu nous a perdu juste avant qu'on tombe sur les anglois, mais perso j'ai le même souci, une fois les contacts perdus je galère toujours pour les retrouver...
Mais sinon j'ai trouvé que ça allait super bien, tu as très bien tenu a formation, j'avais l'impression d'être moi à la ramasse par moments pour coller à la première paire.
Pour la suite en ce qui me concerne, une fois les anglais repérés je me retrouve à faire une passe frontale avec les 5 Spits
, je subis quelques impacts mais rien de grave, je n'ai pas beaucoup de vitesse.
Pensant que la première paire va être engagée je décide de reprendre de la vitesse en contournant le combat par un large virage pour revenir ensuite.
Bien sûr ça ne va pas se passer comme ça, j'ai trois Spits qui reviennent sur moi avec une rapidité déconcertante, je décide de piquer mais ils me collent comme des sangsues. J'évite quelques rafales mais l'inévitable se produit, je suis durement touché et blessé.
J'entends à la radio que Bruno 1 est mal en point aussi....ça sent le sapin...
Par un quelconque miracle les Spits ne réussissent pas à m'achever, cap sur la France.
Un regard derrière moi et je traîne un panache blanc. La jauge d'essence est au beau fixe, c'est le liquide de refroidissement.
Je baisse mon régime, j'ouvre les radiateurs, mais c'est trop tard, mon avion est secoué violemment, j'ai l'impression que le moteur va âtre arraché de la cellule, de l'huile couvre mon pare-brise...
J’émets un appel sur la fréquence de secours, largue la verrière, me déharnaches et je fout un bon coup de pied dans le manche.
Quelques rotations et une dizaine de secondes de chute et j'ouvre mon parachute, je tombe à l'eau à une vingtaine de kilomètres au large de Wilmington.
J'ai très mal géré le combat, probablement j'aurais du grimper dur dès le signalement des hostiles, mais tout s'est passé très vite....
, l'altitude me laisse le tps de stabilisé, mais je ne voit plus de contact, et je repart en vrille ! 
, 2 fois consecutifs, puis l'avion legerement touché, et moi severement touché et avec son collegue anglais qui rentre dans la danse, je decide de sauter en parachute...