série de missions 'Coups pour Coups'
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#151
Bon, personne ne se moque, Miguel y sait pas faire une nav et pis c'est tout
(4 fois que j'ai fait c'te manip..)
Bref: débrief:
Objectif:
Bombarder la base All Marquise
3 Blenheims
Big 1 Miguel
Big 2 Mikmak
Big 3 Richy
Escorté (escorte rapproché)
Blue 1 : Psycho
Blue 2 : Esoleil
Blue 3 : Hamtaror
Le groupe Red (3*Spit) suivi de Green (3*Hurri) iront sur zone nettoyer un peu l’atmosphère
Idées de base:
Arriver sur l'objectif en TBA par le sud Est pour éviter d'avoir le soleil devant.
Ne pas survoler les bases du Nord qui doivent pulluler de 109.
Après avoir grillé les moteurs de mon premier zinc (le stress sans doute ) je reprend la formation sur le seuil de piste.
Décollage selon une procédure innovante pré-USAF :
Décollage toutes les 20s
Virage à gauche en 180° toutes les 10s
Normalement ça marche, bon, là, c'est un coup d'essais, donc, ça marche presque
On cercle en attendant la formation de notre escorte d'Hurri, les Blue (s)
Cap ver Boulogne, ce P***taing de boussole commence à déconner (enfin..), on prend de l'alti 9000ft pour tromper le radar ennemi.
Arrivé sur Boulogne, on plonge TBA et j'annonce aux Spits qu'ils peuvent commencer à nettoyer avant qu'on arrive.
Bon, je me perds totalement dans ma nav (mais alors complet de chez complet), je reprend donc l'itinéraire à partir de Boulogne, cette fois , c'est la bonne.... les deux forêts, au nord, le moulin avant la petite piste. A gauche au 300 en longeant Marquise (petite incertitude, je ne vois pas encore la base... droite gauche, taing, mes coéquipiers doivent me prendre pour un fou-pommé..) ok, visuel (enfin)
Pendant ce temps, des annonces contacts fusent de partout, ça commence à grouiller dans la radio et dans le ciel. Un Hurri qui nous à perdu (tu m'étonne ^^ ) se fait engagé par un 109 et, je crois, tombe... ce sera notre seul MIA.
Large virage par la droite, nous traitons nos objectifs pré-désigné, je larque à gauche sur un hangar, puis la deuxième sur un des 4 petits hangar au nord puis break gauche, cap mer. Les collègues font de même et break à leur tour.
Les Hurri Blue traitent à la mitrailleuse les véhicules.
A mi-chemin vers la mer, un Big annonce être engagé, j'annonce un cercle défensif à gauche, (ha non, c'est vrai, on ne voit rien avec ce Blenheim..) je change d'avis, j'annonce à droite, et là je vois mon 2 me froler vers le bas, oupssss
Bref, on tourne, on est au moins 5, 3 Blenheims, un Hurri et un 109
(tien? Big3 annonce que Big2 vient de larguer ses bombes... il n'avait donc pas largué sur cible, dommage ) . Big 3 se trouve en position de tir et mouche le 109 qui pisse de l'essence ou de l'eau. Sentant l'avantage à notre niveau, j'annonce une fin de ronde et cap vers la mer. 2 mn après, Big 3 annonce être à nouveau engagé par ce 109 qui commence à être chiant. (il ne tien pas à la vie ou quoi???). Moteur coupé ou presque, nous lui infligeons quasiment tous une passe de Blenheim.
Cette fois cap final vers la mer salvatrice, on regroupe les Big(s) puis les Blue(s), annonce la fin sur zone aux Spits et rentrons tranquillement.
Sur la base de Littlestone nous nous posons en 1 + 2 PS, mon 2 voulait finir sa formation . Attention, cette piste est courte, il faut vraiment toucher au seuil.
Tout a coup, alors que nos roues touchent le sol, quelqu'un hurle à la radio et un Hurri qui se posait en face (pas vu) remet les gaz et nous frôle à gauche. Taxi à droite, on fait la pose photo + débrief.
Nous regardons les Hurri Blue puis Green se poser en face de nous tout en sirotant notre Guinness à la gloire de notre Big 3 (Richy) qui s’octroie une Victoire de Blenheim sur un 109 .......
Merci à tous, au host et préparateur de mission
Et encore, encore désolé pour cette nav de M....
"Les chiens aboient, la caravane passe..."
#152
Merci de votre participation!:yes:
Désolé pour le défaut de 'timing' entre les arrivées des différents groupes de la RAF, nous avons passés beaucoup trop de temps au sol, et je n'avais pas prévu cela...
Je vais modifier le reste des missions CPC afin d'essayer de contourner ce genre de problème.
Concernant la mission, cela faisait bien longtemps que je n'avais pas eu le palpitant si haut pendant un combat!
Si bas, si nombreux, quel pied!!!!!!!!!!!!!!!!!:notworthy
@ bientôt.
Désolé pour le défaut de 'timing' entre les arrivées des différents groupes de la RAF, nous avons passés beaucoup trop de temps au sol, et je n'avais pas prévu cela...
Je vais modifier le reste des missions CPC afin d'essayer de contourner ce genre de problème.
Concernant la mission, cela faisait bien longtemps que je n'avais pas eu le palpitant si haut pendant un combat!
Si bas, si nombreux, quel pied!!!!!!!!!!!!!!!!!:notworthy
@ bientôt.
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- Jeune Pilote
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- Inscription : 30 juillet 2002
#154
Débriefing Caesar leader (Bf-110 C-4):
Nous avons pour mission d’effectuer une patrouille de combat sur le secteur côtier délimité au Sud par Boulogne s. Mer et par Wissant au Nord avec notamment couverture de nos nombreux aérodromes.
Les Anglais ont monté quelques raids à basse altitude très audacieux ces derniers temps, nous sommes chargés d’attaquer tout bombardier se présentant dans le secteur.
Des patrouilles de Bf-109 patrouilleront dans le même secteur afin de s’occuper d’une éventuelle escorte.
Nous ne serons que deux ce matin, il y a peu d’activité sur le terrain de Boulogne au moment où nous allumons nos moteurs. Je sors du hangar et passe devant Caesar 2 pour aller m’aligner sur la piste. C’est un pilote expérimenté, peu de consignes à donner, il s’aligne derrière moi et on annonce prêt à décoller.
La tour nous donne le feu vert, mise des gaz, on lâche les freins et on prend rapidement de la vitesse.
Vers 190km/h le tire légèrement sur le manche, petit coup de trim nez haut et je suis en l’air. Rentrée du train, les lumières vertes s’allument, je passe les 210 km/h et lève les volets.
Un coup d’œil dans mes 4h et Caesar 2 est là en parfaite formation serrée, impeccable.
Je donne le nouveau régime moteur pour la croisière, virage à gauche pour revenir vers Boulogne puis prise d’un cap 30° direction Marquise.
Nous devons patrouiller vers 500m d’altitude, nous y sommes déjà et arrivons pratiquement de suites sur notre zone de patrouille.
A la radio nous entendons les patrouilles de 109 se former et arriver sur zone, pendant ce temps je commence une série d’orbites main gauche au-dessus des nombreux aérodromes que nous devons protéger.
Nous n’attendrons pas longtemps, des contacts sont rapidement signalés plus au Sud direction Boulogne, nous prenons un cap en conséquence.
Les 109 signalent aussi des contacts et engagent le combat contre des chasseurs anglais.
Nous voyons rapidement des contacts en combat tournoyant au-dessus de la côte et plus haut.
Caesar 2 me signale ne voir que des monomoteurs. Sagement nous reprenons un cap au Nord pour revenir vers Marquise.
De nouveaux contacts sont ensuite signalés vers Boulogne, nous changeons à nouveau de cap et en effet nous repérons vite des bimoteurs arrivant depuis la mer. Nous les prenons en poursuite sans pouvoir encore les identifier clairement.
Soudain du coin de l’œil je vois une forme passer sous mon nez de gauche à droite. Instinctivement je bascule sur la tranche et me place derrière lui. Je signale ce contact à Caesar 2 mais je ne sais pas si il m’a entendu, la fréquence est assez saturée avec les 190 qui semblent être toujours engagés dans une furieux combat.
Je me rapproche rapidement de mon contact, je devine un camouflage brun-vert, une seule dérive, des gros moteurs radiaux….ce n’est pas un JU-88, le dièdre des ailes ne correspond pas…une tourelle se dessine sur le dos de l’appareil. Plus de doutes, c’est un Blenheim !
Je l’aligne, une salve de mes quatre MG17, l’aile s’embrase de suite, une deuxième rafale avec cette fois les canons en plus, le Blenheim vomit de suite une épaisse fumée noire.
Je dégage pour ne pas risquer de le percuter. Il a très probablement son compte de toute façon.
Tout ceci a du durer une dizaine de secondes au total, un regard dans mes 7 heures et je vois au loin les contacts que nous avons vu auparavant, avec Caesar 2 en poursuite. J’abandonne mon Blenheim et vire pour revenir vers mon ailier.
Avant que je le rejoigne il m’annonce que les contacts sont en fait d’autres Bf-110.
Caesar 2 prend momentanément le lead, il a repéré deux contacts plus bas volant vers l’intérieur des terres. Nouvelle poursuite, et de nouveau nous finissons par abandonner, ça a l’air d’êtres des monomoteurs.
Nous virons à nouveau vers la côte, je reprends le lead et Caesar 2 se remet en formation.
Rapidement les 109 signalent de nouveaux contacts au-dessus de Marquise.
Nous y arrivons rapidement, il y a apparemment des chasseurs Anglais à basse altitude, certains mitraillent le terrain.
Nous tournons un bon moment au-dessus de la zone sans pouvoir clairement engager, puis finalement nous plongeons sur des contacts bas.
J’ai les yeux rivés au viseur afin de ne pas perdre les ennemis, j’arrive en trombe sur des monomoteurs virevoltant à basse altitude, je vois des 109 et des Hurricane….mais d’un coup tout s’emballe !
Caesar 2 annonce des ennemis derrière et il est rapidement engagé. Je vois des traçantes défiler à côté de lui et un Hurricane. Désespérément j’effectue des ciseaux pour ralentir et essayer de plonger derrière, mais ils sont sous moi et je n’ose risquer un split-s à si basse alti avec mon 110.
Un coup d’œil devant et un Hurricane se présente de face, je me prépare à lui balancer une bonne rafale, mais il passe sur le dos et plonge. Je baisse le nez, coup de palo à droite et je l’arrose.
Quelques balles de MG17 le touchent et une fine trainée blanche apparaît derrière son radiateur ventral.
Je le perds mais voit de nouveau Caesar 2 dans mes 11h bas, je pique vers lui et un Hurricane finit sa passe sur lui et vire serré à droite. Je l’engage à 90°, la cible semble parfaite mais je le rate, verdammt !
Caesar 2 m’annonce être mal en point, mitrailleur tué.
Au même moment c’est à mon tour d’être touché, un regard dans mes 7h et un Hurricane m’arrose, une de ses mitrailleuses de droite crache un flot de traçantes qui serpentent au gré de ses manœuvres. Je plonge et suis touché à nouveau, mon 110 est mal en point, les moteurs ne donnent plus pleine puissance et mon azinc par méchamment en roulis à gauche.
Caesar 2 m’annonce qu’il va se vacher, j’opte pour la même solution…je dois agir vite, mon zinc répond très mal, j’essaye de revenir sur Marquise mais peine perdue, je finis par me vautrer dans un champ de blé dans un petit vallon.
Mon mitrailleur est sain et sauf, d’ailleurs il est tellement enragé qu’il tire sur les nombreux Hurricanes qui nous survolent.
Je suis si fasciné par le spectacle, les chasseurs qui vrombissent au-dessus de nous, la flak qui explose, que j’en oublie notre propre sécurité.
Je finis quand-même par dire à mon mitrailleur d’arrêter son cirque avant qu’un anglais revanchard vienne nous mitrailler en retour. Nous quittons l’appareil et nous réfugions dans un bosquet…peu à peu le ciel se vide, la flak cesse de tirer et nous nous dirigeons à pied vers l’aérodrome de Marquise…
Revendications Caesar 1:
1 Blenheim probable
1 Hurricane endommagé
Statut: Les deux Bf-110 de la rotte Caesar endommagés et posés en catastrophe en pleine nature. Appareils récupérables et réparables. Un homme tué en combat, le malheureux mitrailleur de Caesar 2.
Nous avons pour mission d’effectuer une patrouille de combat sur le secteur côtier délimité au Sud par Boulogne s. Mer et par Wissant au Nord avec notamment couverture de nos nombreux aérodromes.
Les Anglais ont monté quelques raids à basse altitude très audacieux ces derniers temps, nous sommes chargés d’attaquer tout bombardier se présentant dans le secteur.
Des patrouilles de Bf-109 patrouilleront dans le même secteur afin de s’occuper d’une éventuelle escorte.
Nous ne serons que deux ce matin, il y a peu d’activité sur le terrain de Boulogne au moment où nous allumons nos moteurs. Je sors du hangar et passe devant Caesar 2 pour aller m’aligner sur la piste. C’est un pilote expérimenté, peu de consignes à donner, il s’aligne derrière moi et on annonce prêt à décoller.
La tour nous donne le feu vert, mise des gaz, on lâche les freins et on prend rapidement de la vitesse.
Vers 190km/h le tire légèrement sur le manche, petit coup de trim nez haut et je suis en l’air. Rentrée du train, les lumières vertes s’allument, je passe les 210 km/h et lève les volets.
Un coup d’œil dans mes 4h et Caesar 2 est là en parfaite formation serrée, impeccable.
Je donne le nouveau régime moteur pour la croisière, virage à gauche pour revenir vers Boulogne puis prise d’un cap 30° direction Marquise.
Nous devons patrouiller vers 500m d’altitude, nous y sommes déjà et arrivons pratiquement de suites sur notre zone de patrouille.
A la radio nous entendons les patrouilles de 109 se former et arriver sur zone, pendant ce temps je commence une série d’orbites main gauche au-dessus des nombreux aérodromes que nous devons protéger.
Nous n’attendrons pas longtemps, des contacts sont rapidement signalés plus au Sud direction Boulogne, nous prenons un cap en conséquence.
Les 109 signalent aussi des contacts et engagent le combat contre des chasseurs anglais.
Nous voyons rapidement des contacts en combat tournoyant au-dessus de la côte et plus haut.
Caesar 2 me signale ne voir que des monomoteurs. Sagement nous reprenons un cap au Nord pour revenir vers Marquise.
De nouveaux contacts sont ensuite signalés vers Boulogne, nous changeons à nouveau de cap et en effet nous repérons vite des bimoteurs arrivant depuis la mer. Nous les prenons en poursuite sans pouvoir encore les identifier clairement.
Soudain du coin de l’œil je vois une forme passer sous mon nez de gauche à droite. Instinctivement je bascule sur la tranche et me place derrière lui. Je signale ce contact à Caesar 2 mais je ne sais pas si il m’a entendu, la fréquence est assez saturée avec les 190 qui semblent être toujours engagés dans une furieux combat.
Je me rapproche rapidement de mon contact, je devine un camouflage brun-vert, une seule dérive, des gros moteurs radiaux….ce n’est pas un JU-88, le dièdre des ailes ne correspond pas…une tourelle se dessine sur le dos de l’appareil. Plus de doutes, c’est un Blenheim !
Je l’aligne, une salve de mes quatre MG17, l’aile s’embrase de suite, une deuxième rafale avec cette fois les canons en plus, le Blenheim vomit de suite une épaisse fumée noire.
Je dégage pour ne pas risquer de le percuter. Il a très probablement son compte de toute façon.
Tout ceci a du durer une dizaine de secondes au total, un regard dans mes 7 heures et je vois au loin les contacts que nous avons vu auparavant, avec Caesar 2 en poursuite. J’abandonne mon Blenheim et vire pour revenir vers mon ailier.
Avant que je le rejoigne il m’annonce que les contacts sont en fait d’autres Bf-110.
Caesar 2 prend momentanément le lead, il a repéré deux contacts plus bas volant vers l’intérieur des terres. Nouvelle poursuite, et de nouveau nous finissons par abandonner, ça a l’air d’êtres des monomoteurs.
Nous virons à nouveau vers la côte, je reprends le lead et Caesar 2 se remet en formation.
Rapidement les 109 signalent de nouveaux contacts au-dessus de Marquise.
Nous y arrivons rapidement, il y a apparemment des chasseurs Anglais à basse altitude, certains mitraillent le terrain.
Nous tournons un bon moment au-dessus de la zone sans pouvoir clairement engager, puis finalement nous plongeons sur des contacts bas.
J’ai les yeux rivés au viseur afin de ne pas perdre les ennemis, j’arrive en trombe sur des monomoteurs virevoltant à basse altitude, je vois des 109 et des Hurricane….mais d’un coup tout s’emballe !
Caesar 2 annonce des ennemis derrière et il est rapidement engagé. Je vois des traçantes défiler à côté de lui et un Hurricane. Désespérément j’effectue des ciseaux pour ralentir et essayer de plonger derrière, mais ils sont sous moi et je n’ose risquer un split-s à si basse alti avec mon 110.
Un coup d’œil devant et un Hurricane se présente de face, je me prépare à lui balancer une bonne rafale, mais il passe sur le dos et plonge. Je baisse le nez, coup de palo à droite et je l’arrose.
Quelques balles de MG17 le touchent et une fine trainée blanche apparaît derrière son radiateur ventral.
Je le perds mais voit de nouveau Caesar 2 dans mes 11h bas, je pique vers lui et un Hurricane finit sa passe sur lui et vire serré à droite. Je l’engage à 90°, la cible semble parfaite mais je le rate, verdammt !
Caesar 2 m’annonce être mal en point, mitrailleur tué.
Au même moment c’est à mon tour d’être touché, un regard dans mes 7h et un Hurricane m’arrose, une de ses mitrailleuses de droite crache un flot de traçantes qui serpentent au gré de ses manœuvres. Je plonge et suis touché à nouveau, mon 110 est mal en point, les moteurs ne donnent plus pleine puissance et mon azinc par méchamment en roulis à gauche.
Caesar 2 m’annonce qu’il va se vacher, j’opte pour la même solution…je dois agir vite, mon zinc répond très mal, j’essaye de revenir sur Marquise mais peine perdue, je finis par me vautrer dans un champ de blé dans un petit vallon.
Mon mitrailleur est sain et sauf, d’ailleurs il est tellement enragé qu’il tire sur les nombreux Hurricanes qui nous survolent.
Je suis si fasciné par le spectacle, les chasseurs qui vrombissent au-dessus de nous, la flak qui explose, que j’en oublie notre propre sécurité.
Je finis quand-même par dire à mon mitrailleur d’arrêter son cirque avant qu’un anglais revanchard vienne nous mitrailler en retour. Nous quittons l’appareil et nous réfugions dans un bosquet…peu à peu le ciel se vide, la flak cesse de tirer et nous nous dirigeons à pied vers l’aérodrome de Marquise…
Revendications Caesar 1:
1 Blenheim probable
1 Hurricane endommagé
Statut: Les deux Bf-110 de la rotte Caesar endommagés et posés en catastrophe en pleine nature. Appareils récupérables et réparables. Un homme tué en combat, le malheureux mitrailleur de Caesar 2.
Brebis syndiquée
#155
Il règne une grosse effervescence sur la base depuis hier soir...
En effet, le commandement semble soudain se souvenir que notre escadrille existe, et a décidé suite aux attaques incessantes de montrer aux allemands que nous ne sommes pas prêt à nous laisser faire sans riposter.
Nos pauvres Blenheim se voient donc confier une mission qui n'aurait pas à rougir avec l'attaque des ponts de la Marne, et durant une bonne partie de la nuit nos chefs essaient de mettre au point une tactique permettant de limiter la casse.
Plusieurs vagues sont prévues, je serai dans la seconde.
Les dégâts infligés au terrain et à nos matériels font que si la première vague est plus conséquente, nous ne serons que 3 pour la seconde, je serai Big 3.
Au petit matin la première vague s'en va, et après un léger contretemps c'est au tour de notre section de s'élancer, le rassemblement est rapide, et après un tour de terrain nous prenons cap sur la France.
C'est ma première mission offensive depuis que nous avons été rappatrié en Angleterre, et la pression monte rapidement, alors que les côtes natales disparaissent derrière nous....
Nous montons à 9000ft, et nous plaçons en échelon gauche pour éviter de fixer le soleil éclatant qui se lève. Des Hurricane nous accompagnent en protection rapprochée, tandis qu'un groupe de Spitfire et de Hurricane est en attente pour un sweep au-dessus de l'objectif.
Arrivés sur Boulogne, alors que la campagne française émerge doucement de la pénombre, le leader bat des ailes et plonge rapidement vers la mer. Nos appareils ne sont pas habitués à ces manoeuvres violentes, et la carlingue se met à grincer et vibrer alors que l'aiguille de l'anémomètre vient se plaquer contre la butée.
Je n'ose plus toucher au manche, manettes des gaz dans la poche et radiateurs fermés j'observe les 2 appareils devant moi me distancer légèrement. Il semblerait que le Blenheim accepte finalement ces manoeuvres assez bien.
Nous passons les côtes au moment de redresser au niveau du sol, et alors que je remets les gaz je sens les moteurs protester un peu et hoqueter. Un coup d'oeil sur les températures me confirme qu'ils ont pris un petit coup de froid pendant la descente, mais ils reprennent vite le rythme imposé.
Commence alors une partie de saute moutons entre les arbres et les collines. Quand lors du briefing le chef nous avait indiqué son intention de profiter du relief pour se dissimuler, il ne plaisantait pas!
Nous avons passé Boulogne et je jette un coup d'oeil au compas, contrairement au plan de vol défini nous partons au 160°. Etrange, mon compas serait il déffectueux?
Pendant de longues minutes les changements de cap sont multiples, et je me dis que le centre de contrôle allemand doit s'arracher les cheveux avec les informations des guetteurs contradictoires. Si les opérateurs cherchent à obtenir notre cap moyen pour guider leur chasse ils vont être déçu!
Mais la zone commence à s'animer.
Alors que notre section remonte légèrement, sans doute pour un recalage de position, j'aperçois 2 Bf110 dans nos midi et légèrement plus haut. J'annonce les contacts et nous redescendons rapidement pour récupérer notre protection!
Ils ne semblent pas nous avoir repéré, mais j'ai quand même la désagréable sensation que toute la chasse allemande est en train de prendre les airs pour nous encercler....
Encore quelques virages, d'autres contacts repérés, identifiés comme des Spitfire heureusement, puis c'est l'attaque.
Je repère l'objectif qui m'a été assigné pendant le briefing, la tour de contrôle.
J'ai le temps de repérer aussi de multiples contacts plus à l'Ouest du terrain, mais je n'ai pas le temps de m'attarder dessus, j'espère simplement qu'il s'agit du sweep en cours...
Dans l'axe d'attaque j'ai un petit hangar avant mon objectif, je largue une bombe dessus tout en ayant straffé un camion garé à proximité à l'aide de ma mitrailleuse fixe, et je lâche ma seconde et dernière bombe de 500lbs sur la cible.
Sitôt fait, break à gauche et rassemblement avec la formation, quand quelques secondes plus tard mon mitrailleur crie quelque chose d'incompréhensible sur le téléphone de bord et se met à tirer une longue rafale. Je n'ai strictement rien compris, mais le message est passé!
Je préviens mon leader qui ordonne aussitôt un cercle défensif.
A ce moment je vois Big Mac, euh Mikmak en Big 2 pardon, qui perd des morceaux de son appareil. Je crois qu'il a été touché puis je comprends qu'il lâche ses 2 bombes???
Pendant le virage je vois soudain une ombre qui surgit devant mon pare-brise, un monoplace.
Pendant un instant je crois identifier le Hurricane qui vole avec nous depuis Boulogne, mais je m'aperçois vite qu'il s'agit d'un 109, qui en plus se met à tirer sur l'appareil devant moi.
Je ne me pose pas de question, je presse le bouton de tir et ma mitrailleuse fixe libère ses projectiles en plein dans le fuselage!
Le moteur de l'allemand se met à vomir des volutes de fumée blanche, mais le pilote semble tellement concentré dans son attaque qu'il ne fait pas attention aux impacts de mon petit calibre.
Je lâche encore 2 rafales avant qu'il ne rompe le combat, puis encore une autre avant de le lâcher à contrecoeur pour rejoindre ma formation qui s'éclipse au Nord Ouest.
Je file donc lorsque je le vois revenir à la charge.
Le Hurricane qui nous accompagne n'a pas visuel et je break pour me défendre lorsque je m'aperçois que le 109 a perdu beaucoup de vitesse, et descend lentement vers les champs, répandant un long panache de glycol derrière lui.
Il me semble hors de combat, cette fois je quitte définitivement la zone.
Dès que je passe le trait de côte j'aperçois les deux autres Blenheim devant moi que je rejoins au milieu de la Manche.
Le retour et le circuit d'approche et d'atterrisage sans histoire me permettent de faire retomber la pression avant de rejoindre les autres.
Notre section est rentrée, j'exulte!
Malheureusement il ne semble pas que cela se soit aussi bien passé pour la première vague, j'aperçois Un Blenheim retardataire et fumant passer au-dessus du terrain, les moteurs ayant des ratés.
Ils ont sûrement dû rencontrer plus d'opposition que nous...
Les photos de reconnaissance qui permettront de valider notre attaque ne nous parviendront que dans la soirée, mais j'annonce sans attendre une victoire probable à des équipiers tout aussi surpris que moi!
Les allemands ne s'attendaient certainement pas à ce petit coup d'éclat, qui va pour sûr rebooster notre moral, même si nous n'allons pas être capable de reproduire une telle opération avant longtemps.
Je me suis aussi entraîné à l'attaque TBA du terrain dans le week end, et je me suis aussi lamentablement paumé dans la campagne, je sais bien que l'exercice est loin d'être évident sur ce maudit Blenheim!
Donc j'espère que tu m'en voudras pas si je mets ce petit schéma pour illustrer notre mission?
En rouge, trajet prévu dans le briefing.
En noir, trajet estimé de la mission!
(En plus je suis même pas vraiment sûr du trajet réel, je n'étais qu'un pov' ailier concentré sur sa formation! Mais je dois pas en être loin!)
Marrant de constater qu'à la déviation du compas près tu as respecté ton plan de vol, distances et virages, avant de t'apercevoir qu'il y avait un blème en arrivant vers Boulogne à nouveau!
J'étais pas inquiet, je savais bien que tu allais nous ramener sur l'objectif!
J'ai juste été surpris quand entre la rencontre avec les 110 et les Spit j'ai annoncé la cible en visuel à 10h et que tu as viré à droite pour récupéré le chemin que tu avais retrouvé.
Continue à leader sans soucis, ce petit détour nous a peut être sauvé la vie à tous!!!
En effet, le commandement semble soudain se souvenir que notre escadrille existe, et a décidé suite aux attaques incessantes de montrer aux allemands que nous ne sommes pas prêt à nous laisser faire sans riposter.
Nos pauvres Blenheim se voient donc confier une mission qui n'aurait pas à rougir avec l'attaque des ponts de la Marne, et durant une bonne partie de la nuit nos chefs essaient de mettre au point une tactique permettant de limiter la casse.
Plusieurs vagues sont prévues, je serai dans la seconde.
Les dégâts infligés au terrain et à nos matériels font que si la première vague est plus conséquente, nous ne serons que 3 pour la seconde, je serai Big 3.
Au petit matin la première vague s'en va, et après un léger contretemps c'est au tour de notre section de s'élancer, le rassemblement est rapide, et après un tour de terrain nous prenons cap sur la France.
C'est ma première mission offensive depuis que nous avons été rappatrié en Angleterre, et la pression monte rapidement, alors que les côtes natales disparaissent derrière nous....
Nous montons à 9000ft, et nous plaçons en échelon gauche pour éviter de fixer le soleil éclatant qui se lève. Des Hurricane nous accompagnent en protection rapprochée, tandis qu'un groupe de Spitfire et de Hurricane est en attente pour un sweep au-dessus de l'objectif.
Arrivés sur Boulogne, alors que la campagne française émerge doucement de la pénombre, le leader bat des ailes et plonge rapidement vers la mer. Nos appareils ne sont pas habitués à ces manoeuvres violentes, et la carlingue se met à grincer et vibrer alors que l'aiguille de l'anémomètre vient se plaquer contre la butée.
Je n'ose plus toucher au manche, manettes des gaz dans la poche et radiateurs fermés j'observe les 2 appareils devant moi me distancer légèrement. Il semblerait que le Blenheim accepte finalement ces manoeuvres assez bien.
Nous passons les côtes au moment de redresser au niveau du sol, et alors que je remets les gaz je sens les moteurs protester un peu et hoqueter. Un coup d'oeil sur les températures me confirme qu'ils ont pris un petit coup de froid pendant la descente, mais ils reprennent vite le rythme imposé.
Commence alors une partie de saute moutons entre les arbres et les collines. Quand lors du briefing le chef nous avait indiqué son intention de profiter du relief pour se dissimuler, il ne plaisantait pas!
Nous avons passé Boulogne et je jette un coup d'oeil au compas, contrairement au plan de vol défini nous partons au 160°. Etrange, mon compas serait il déffectueux?
Pendant de longues minutes les changements de cap sont multiples, et je me dis que le centre de contrôle allemand doit s'arracher les cheveux avec les informations des guetteurs contradictoires. Si les opérateurs cherchent à obtenir notre cap moyen pour guider leur chasse ils vont être déçu!
Mais la zone commence à s'animer.
Alors que notre section remonte légèrement, sans doute pour un recalage de position, j'aperçois 2 Bf110 dans nos midi et légèrement plus haut. J'annonce les contacts et nous redescendons rapidement pour récupérer notre protection!
Ils ne semblent pas nous avoir repéré, mais j'ai quand même la désagréable sensation que toute la chasse allemande est en train de prendre les airs pour nous encercler....
Encore quelques virages, d'autres contacts repérés, identifiés comme des Spitfire heureusement, puis c'est l'attaque.
Je repère l'objectif qui m'a été assigné pendant le briefing, la tour de contrôle.
J'ai le temps de repérer aussi de multiples contacts plus à l'Ouest du terrain, mais je n'ai pas le temps de m'attarder dessus, j'espère simplement qu'il s'agit du sweep en cours...
Dans l'axe d'attaque j'ai un petit hangar avant mon objectif, je largue une bombe dessus tout en ayant straffé un camion garé à proximité à l'aide de ma mitrailleuse fixe, et je lâche ma seconde et dernière bombe de 500lbs sur la cible.
Sitôt fait, break à gauche et rassemblement avec la formation, quand quelques secondes plus tard mon mitrailleur crie quelque chose d'incompréhensible sur le téléphone de bord et se met à tirer une longue rafale. Je n'ai strictement rien compris, mais le message est passé!
Je préviens mon leader qui ordonne aussitôt un cercle défensif.
A ce moment je vois Big Mac, euh Mikmak en Big 2 pardon, qui perd des morceaux de son appareil. Je crois qu'il a été touché puis je comprends qu'il lâche ses 2 bombes???
Pendant le virage je vois soudain une ombre qui surgit devant mon pare-brise, un monoplace.
Pendant un instant je crois identifier le Hurricane qui vole avec nous depuis Boulogne, mais je m'aperçois vite qu'il s'agit d'un 109, qui en plus se met à tirer sur l'appareil devant moi.
Je ne me pose pas de question, je presse le bouton de tir et ma mitrailleuse fixe libère ses projectiles en plein dans le fuselage!
Le moteur de l'allemand se met à vomir des volutes de fumée blanche, mais le pilote semble tellement concentré dans son attaque qu'il ne fait pas attention aux impacts de mon petit calibre.
Je lâche encore 2 rafales avant qu'il ne rompe le combat, puis encore une autre avant de le lâcher à contrecoeur pour rejoindre ma formation qui s'éclipse au Nord Ouest.
Je file donc lorsque je le vois revenir à la charge.
Le Hurricane qui nous accompagne n'a pas visuel et je break pour me défendre lorsque je m'aperçois que le 109 a perdu beaucoup de vitesse, et descend lentement vers les champs, répandant un long panache de glycol derrière lui.
Il me semble hors de combat, cette fois je quitte définitivement la zone.
Dès que je passe le trait de côte j'aperçois les deux autres Blenheim devant moi que je rejoins au milieu de la Manche.
Le retour et le circuit d'approche et d'atterrisage sans histoire me permettent de faire retomber la pression avant de rejoindre les autres.
Notre section est rentrée, j'exulte!
Malheureusement il ne semble pas que cela se soit aussi bien passé pour la première vague, j'aperçois Un Blenheim retardataire et fumant passer au-dessus du terrain, les moteurs ayant des ratés.
Ils ont sûrement dû rencontrer plus d'opposition que nous...
Les photos de reconnaissance qui permettront de valider notre attaque ne nous parviendront que dans la soirée, mais j'annonce sans attendre une victoire probable à des équipiers tout aussi surpris que moi!
Les allemands ne s'attendaient certainement pas à ce petit coup d'éclat, qui va pour sûr rebooster notre moral, même si nous n'allons pas être capable de reproduire une telle opération avant longtemps.
OBT~Miguel21 a écrit :Bon, personne ne se moque, Miguel y sait pas faire une nav et pis c'est tout
Je me suis aussi entraîné à l'attaque TBA du terrain dans le week end, et je me suis aussi lamentablement paumé dans la campagne, je sais bien que l'exercice est loin d'être évident sur ce maudit Blenheim!
Donc j'espère que tu m'en voudras pas si je mets ce petit schéma pour illustrer notre mission?
En rouge, trajet prévu dans le briefing.
En noir, trajet estimé de la mission!
(En plus je suis même pas vraiment sûr du trajet réel, je n'étais qu'un pov' ailier concentré sur sa formation! Mais je dois pas en être loin!)
Marrant de constater qu'à la déviation du compas près tu as respecté ton plan de vol, distances et virages, avant de t'apercevoir qu'il y avait un blème en arrivant vers Boulogne à nouveau!
J'étais pas inquiet, je savais bien que tu allais nous ramener sur l'objectif!
J'ai juste été surpris quand entre la rencontre avec les 110 et les Spit j'ai annoncé la cible en visuel à 10h et que tu as viré à droite pour récupéré le chemin que tu avais retrouvé.
Continue à leader sans soucis, ce petit détour nous a peut être sauvé la vie à tous!!!
Les chasseurs font les films, les bombardiers écrivent l'Histoire.
#156
Un petite question sur ces nav TBA : vous utilisez un cap absolu ou relatif. J'entends par là qu'utiliser un cap relatif doit permettre d'éviter les erreurs dues au déreglage du gyro et me semble donc préférable non ?
#157
ça dépend.
Tu peux utiliser le gyrocompas en effet, mais s'il n'est pas recalé assez souvent ou s'il y a eu une erreur de recalage, ce qui est loin d'être impossible vu la galère pour le faire en vol, et encore plus en TBA, l'erreur est vite importante.
Sinon tu te sers uniquement du compas magnétique, là tu tournes la couronne vers le cap souhaité, et l'aiguille de la boussole t'indique le cap à corriger tant qu'elle n'est pas alignée entre les 2 barres parallèles, ton cap relatif donc en gros.
C'est plus simple peut-être, cela nécessite moins de manips, mais le compas magnétique a le gros défaut de perdre en précision pendant les manoeuvres, plusieurs dizaines de degrés pendant les virages, et il faut ensuite attendre plusieurs secondes qu'il se stabilise, donc quand tu n'arrêtes pas de bouger en BA il devient vite inutilisable aussi.
Le mieux c'est donc de confirmer avec le vol à vue, c'est pour ça qu'il avait préparé des repères visuels pour confirmer sa nav (il avait bien fait son boulot le chef!), mais dans un simu c'est quand même galère, on a vite le doute...
Bon il a vite repris sa route ensuite, il s'est vite ressaisi quand il s'est aperçu de l'erreur.
En tout cas les teutons on vraiment le grand luxe avec leurs instruments high-tech!
Tu peux utiliser le gyrocompas en effet, mais s'il n'est pas recalé assez souvent ou s'il y a eu une erreur de recalage, ce qui est loin d'être impossible vu la galère pour le faire en vol, et encore plus en TBA, l'erreur est vite importante.
Sinon tu te sers uniquement du compas magnétique, là tu tournes la couronne vers le cap souhaité, et l'aiguille de la boussole t'indique le cap à corriger tant qu'elle n'est pas alignée entre les 2 barres parallèles, ton cap relatif donc en gros.
C'est plus simple peut-être, cela nécessite moins de manips, mais le compas magnétique a le gros défaut de perdre en précision pendant les manoeuvres, plusieurs dizaines de degrés pendant les virages, et il faut ensuite attendre plusieurs secondes qu'il se stabilise, donc quand tu n'arrêtes pas de bouger en BA il devient vite inutilisable aussi.
Le mieux c'est donc de confirmer avec le vol à vue, c'est pour ça qu'il avait préparé des repères visuels pour confirmer sa nav (il avait bien fait son boulot le chef!), mais dans un simu c'est quand même galère, on a vite le doute...
Bon il a vite repris sa route ensuite, il s'est vite ressaisi quand il s'est aperçu de l'erreur.
En tout cas les teutons on vraiment le grand luxe avec leurs instruments high-tech!
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#158
Désolé, je n'avais pas entendu, je croyais qu'on parlait des contacts, sorryj'ai annoncé la cible en visuel à 10h et que tu as viré à droite pour récupéré le chemin que tu avais retrouvé.
Disons que j'ai merdé des le début, sûrement à cause de la position du soleil qui ne correspondait pas à celui de mes prises de cap (entraînement ) . Mais, je savais que j'étais pommé des le premier virage....., ça ne correspondait pas....
Effectivement, naviguer en alti est une chose, garder un cap, une autre mais une nav TBA sans possibilité de monter à cause des 110 en maraude, c'est carrément autre chose....
Dédicace spécial à Mikmak qui, en tout temps, savait exactement ou l'on se trouvait... quel Homme celui-là
"Les chiens aboient, la caravane passe..."
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- Elève Pilote
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#159
nomdidiou ne l'encourage pas trop il va revenir avec sa mission qu'il nous avait fait faire sous IL-2
en gros, on se dispatche sur des terrains différents, décollage simultané, le terrain dispose d'une marque au sol donnant une position sur la carte. Tu y vas, et là tu trouves une autre marque au sol avec une autre position... ainsi de suite jusqu'à ce que tu arrives sur ton terrain final.
bon, ça parait simple, mais sur une carte où les points de repères sont plus que nombreux, on a vite fait de s'égarer et de tourner en rond à la recherche du marquage que l'on croit proche avant de se rendre compte qu'on n'est pas ua bon endroit.
bien entendu, le dernier posé se fait chambrer, sachant qu'en plus il fallait gérer le carbu, car en quantité tout juste suffisante pour le trajet.
ceci dit, si quelqu'un a prévu une mission dans le genre, j'en serai avec le plus grand plaisir car je n'ai pas encore trouvé mes marques pour la nav sous Clodo
en gros, on se dispatche sur des terrains différents, décollage simultané, le terrain dispose d'une marque au sol donnant une position sur la carte. Tu y vas, et là tu trouves une autre marque au sol avec une autre position... ainsi de suite jusqu'à ce que tu arrives sur ton terrain final.
bon, ça parait simple, mais sur une carte où les points de repères sont plus que nombreux, on a vite fait de s'égarer et de tourner en rond à la recherche du marquage que l'on croit proche avant de se rendre compte qu'on n'est pas ua bon endroit.
bien entendu, le dernier posé se fait chambrer, sachant qu'en plus il fallait gérer le carbu, car en quantité tout juste suffisante pour le trajet.
ceci dit, si quelqu'un a prévu une mission dans le genre, j'en serai avec le plus grand plaisir car je n'ai pas encore trouvé mes marques pour la nav sous Clodo
#161
ATTENTION!
Bonjour à tous!
J'ai ouvert un message d'inscription à CPC04 dans le sous-forum 'Missions, campagnes et éditeur':
http://www.checksix-forums.com/showthre ... ost1309472
Dans l'avenir j'ouvrirai un 'topic' dans ce sous forum chaque semaine (jeudi ou vendredi), en espérant que cela soit plus clair pour tous...
Bonjour à tous!
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Ok de 611Sqn_Bouma
#162OK pour la mission du Lundi 12/11/2012. En attente d'affectation. Merci.
Config: I5 2500k / 8 Go DDR3 2400mhz / GTX 970 / Trackir 5 / Joystick : FFB2 Microsoft / Palonier : Saiteck Rudder Pro / Ecran: IIyama G2773HS
Site web et forum de la I/JG2 Richthofen : www.1jg2.net
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#163
@ Bouma, le Mike s'est "fendu" d'un nouveau post pour les inscriptions:
http://www.checksix-forums.com/showthre ... ost1309496
@ Pips, si quelqu'un le voit, ce Pips, dite lui bien que son Stuka est prêt, et je ne suis pas sur qu'il y en aura d'autre ensuite
@ Gourmand : toi qui aime le Stuka qui sent bon le sable chaud, Mike et ses missions CpC te propose à toi aussi un Stuka pour péter la gueule à je ne sais quoi au sol (ou dans l'eau, ou ailleurs )
@ Mike : pourrais-tu me dire, mon bon Mike, ce que notre escadrille, les OBT (Open Bar Team) t'a fait comme malheur(s) pour qu'à chaque fois tu nous colle un petit Obt~Tartampion plutôt qu'un grand OBT~Tartampion????
(la peur sûrement..... ) :Jumpy::Jumpy:
:jerry:
OBT~Miguel21 pour vous servir
http://www.checksix-forums.com/showthre ... ost1309496
@ Pips, si quelqu'un le voit, ce Pips, dite lui bien que son Stuka est prêt, et je ne suis pas sur qu'il y en aura d'autre ensuite
@ Gourmand : toi qui aime le Stuka qui sent bon le sable chaud, Mike et ses missions CpC te propose à toi aussi un Stuka pour péter la gueule à je ne sais quoi au sol (ou dans l'eau, ou ailleurs )
@ Mike : pourrais-tu me dire, mon bon Mike, ce que notre escadrille, les OBT (Open Bar Team) t'a fait comme malheur(s) pour qu'à chaque fois tu nous colle un petit Obt~Tartampion plutôt qu'un grand OBT~Tartampion????
(la peur sûrement..... ) :Jumpy::Jumpy:
:jerry:
OBT~Miguel21 pour vous servir
"Les chiens aboient, la caravane passe..."
#164
Tiens, en parlant de bar, c'est p'têtre qu'il a soif le Mike!OBT~Miguel21 a écrit : @ Mike : pourrais-tu me dire, mon bon Mike, ce que notre escadrille, les OBT (Open Bar Team) t'a fait comme malheur(s) pour qu'à chaque fois tu nous colle un petit Obt~Tartampion plutôt qu'un grand OBT~Tartampion????
(la peur sûrement..... ) :Jumpy::Jumpy:
Sans rire, je croyais que c'était en minuscule...
#165
Débriefing CPC_4: le convoi.
affecté en Brutus 3 'G'
arrivé a 2500m je met le surpresseur et ajuste a 1.3 ata pour ratrapé le leader... erreur fatal, et comme d'hab je casse le moteur, mais gere suffisement pour évité une fuite d'huile. le bruit est leger, le cockpit tremble legerement, je décide de continuer la mission, heure de la casse 11h45.
je ne trouve pas les bateaux, et décide de faire un RTB... pendant mon RTB je redépasse à 1.2 ata et entend un bruit de casserolle prononcé, le cockpit tremble a fond... je suis pres de la cote et décide de ne pas sauter et de continuer avec la volonté de rammener l'appareil et le tirailleur à la base...
2 minutes avant le reste de l'escadrille, ou j'ai put vous voir atterrir
autant de stuka ramené à la base sa fait plaisir
affecté en Brutus 3 'G'
arrivé a 2500m je met le surpresseur et ajuste a 1.3 ata pour ratrapé le leader... erreur fatal, et comme d'hab je casse le moteur, mais gere suffisement pour évité une fuite d'huile. le bruit est leger, le cockpit tremble legerement, je décide de continuer la mission, heure de la casse 11h45.
je ne trouve pas les bateaux, et décide de faire un RTB... pendant mon RTB je redépasse à 1.2 ata et entend un bruit de casserolle prononcé, le cockpit tremble a fond... je suis pres de la cote et décide de ne pas sauter et de continuer avec la volonté de rammener l'appareil et le tirailleur à la base...
2 minutes avant le reste de l'escadrille, ou j'ai put vous voir atterrir
autant de stuka ramené à la base sa fait plaisir
#166
Bon ben décollé après deux essais infructueux (une rencontre malheureuse avec la tour, un cramage de moteur au décollage suivi d'un attero d'urgence moteur fumant), puis re-décollage correct avec prise de cap vers le convoi.
Arrivé sur place, rien vu, puis retour en léger piqué vers la base, où je me suis posé comme une fleur, avec tout mon chargement de bombes.
Arrivé sur place, rien vu, puis retour en léger piqué vers la base, où je me suis posé comme une fleur, avec tout mon chargement de bombes.
- Ce que Femme veut, Dieu le veut -
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i5-11400, 32Go, Warthog, IL-2, MSFS, Ableton Live, HCL Notes/Domino, LAPL ;-)
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i5-11400, 32Go, Warthog, IL-2, MSFS, Ableton Live, HCL Notes/Domino, LAPL ;-)
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#167
Pour Nero (et les autres qui n'ont pas eu leur dose hebdomadaire de débrief ) les débriefings de lundi dernier (mission CPC 4) se situent dans le post d'inscription qui est, lui, dans la partie "Missions, campagnes et éditeur"
Bonne lecture
Bonne lecture
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