Warlordimi a écrit :
Tiens, ça se calcule ça?
une histoire d'altitude, de finesse et de contraintes MTO non ?
Warlordimi a écrit :
Tiens, ça se calcule ça?
Il me semble bien que le Super 530F a été optimisé pour ce genre de cas, la tâche du F1 se limitant du coup à une montée rapide vers un niveau de vol raisonnable et le missile se chargeant du reste.Warlordimi a écrit :Même pas sur qu'un F1 puisse le faire.
Je confirme.....jojo a écrit :Certe, mais le F1 a les pattes un peu courtes, et les Super 530F devaient rajouter pas mal de trainée. Faut un controleur d'interception au top, avec un pilote au top, un avion au top, et suffisemment de bol pour arriver à placer l'avion sur la trajectoire.
A priori déjà contre les Mirage IV c'était pas facile!
Ca, c'est ce que j'appelle la classe.cat plombe a écrit :Je confirme.....
Warlordimi a écrit :...avec un Mig25, il y avait peu de choses en face capables de l'intercepter.
My 2 cents.
Source : Mirage vs U2J 'ai eu la chance de ramener la 1ère photo (avec un vulguaire appareil du commerce dont on était dotés) d'un U-2 ... que j'ai bien failli "encadrer" en arrivant par l'arrière à M 1,7.alors qu'il volait à M 0,9 environ et que je tenais l'appareil photo de la main gauche tout en essayant de mettre l'U-2 dans un tout petit viseur optique !
Je crois que le pilote de l'U-2 a dû avoir un grand choc, dans tous les sens du terme, par l'onde sonique d'abord et ensuite la vision de ce Mirage au ras de ses moustaches, surgi de ses arrières, même si ses détecteurs l'avaient sans doute prévenu de l'hostile se rapprochant.
J'ai su beaucoup plus tard que cet épisode de l'interception avec photo avait beaucoup impressionné et inquiété les Américains, qui ont d'ailleurs suspendu leurs vols U-2 pirates au dessus de la France....pour les reprendre plus tard en SR-71 à M 3, à 75.000 ft et plus...mais c'est une autre histoire !
C'était la belle époque de "LA CHASSE B...! "
Oui, mais ça, c'est le souci du 25. A chaque vol tu changes les moulins.ergo a écrit :Le seul Mig25 qui a fait du M3/FL300 ils l'ont récupéré complètement vrillé avec deux moteurs complètement mort.
La mission consistait, sous guidage très pointu des contrôleurs DA, à monter à la tropo (entre 35 et 45.000 ft) ensuite à accélerer à M 1,8, allumer la fusée SEPR (2 allumages possibles de 80 sec au total) et monter à fort angle à iso-mach 1,6/1,7 jusqu'à extinction du moteur fusée vers 62/65.000 ft. habituellement, et altitude où volaient les U-2, en essayant d'accrocher au radar le U-2, invisible à cette altitude.
Même si les moteurs devaient être vite bouffés à M2.83, je pense que ses altitudes naturelles étaient plus entre le FL500 et le FL700 où c'est moins abrasifWarlordimi a écrit :
Oui, mais ça, c'est le souci du 25. A chaque vol tu changes les moulins.
[...]
Mais sans fusée, pas d'inter. Et encore, 160 secondes, ça passe vite...
Pas de quoi faire une généralité d'un évènement exceptionnel.
En 1986/87, à Djam, les F1 n'avaient qu'un seul 530 de mémoire ...JulietBravo a écrit :Est-ce que ça ne fait pas 4 S530F plutôt ?
C'était pas 1 sous chaque aile (contrairement au prédécesseur emporté en ventral) ?
Un américain adepte de la "guerre propre" et du "0 mort (chez eux)" surement pas en effet.ceramix a écrit : Certes 'Frère Topolo' mais le Mig ne tentera pas le Diable une deuxième fois !
(vu ce qui était arrivé à un certain U2 ... perseverare diabolicum)