Bonjour,
le papier qui est à mon goût un peu trop fragile
Eh bien, cher Kamov, on tourne les pages avec des gants de manutention ?
Blague à part, je n'avais jamais remarqué que le papier était un peu fin, ce qui est exact. Il faut dire que je consulte les livres tranquillement assis sur une chaise, les ouvrages étant posés sur un bureau. Ceci étant, ce qui m'étonne un peu, c'est que je n'ai pas remarqué de transparences (auxquelles je fais la chasse), lesquelles sont la conséquence funeste première de papiers trop légers. Rien ne m'agace autant de "lire" deux pages à la fois, le recto et le verso.
Vu le nombre de pages (424), si le livre avait été imprimé sur du papier plus épais, cela cela l'aurait mis à un prix bien plus élevé (sans compter le changement de tranche pour les frais de port).
Dans un premier temps, j'avais envisagé de présenter sommairement ce livre ici, puis j'ai reculé, me disant que le sujet n'y avait peut-être pas sa place : je ne tiens pas à passer pour un "spammeur fou" ou pour le Séguéla de l'Aérobibliothèque.
En toute franchise, c'est un peu à reculons que j'ai abordé
L’Aéronautique navale au Centre d’Expérimentations du Pacifique, mais comme je n'avais pas de chroniqueur spécialisé sous la main (c'est l'été), je m'y suis collé et je me suis trouvé bien plus intéressé que ce que je pensais
a priori. Il faut dire que le sujet et la période couverte sont parfaitement synchrones avec ma propre existence, et qu'il y est question d'événements qui me parlent, depuis
Gerboise bleue en 1960 à la fin des essais nucléaires en 1996, ainsi que toutes les tribulations nombreuses et variées qui émaillent cette période.
Précisons que bien entendu, compte tenu du caractère encore "sensible" du sujet, les 424 pages ne sont pas remplies uniquement par du texte et que près des deux tiers proposent au lecteur des photos, quasiment toutes inédites.
Rappelons que l'ARDHAN n'est pas un éditeur comme les autres : il s'agit d'une association à but non lucratif (loi de 1901) dont le but n'est pas de gagner des brouzoufs. C'est cela qui lui permet d'éditer à prix abordable des livres que l'on peut aisément qualifier "d'ouvrages de référence". À l'ARDHAN, tous les écrits sont "croisés", vérifiés, relus, etc. , ce qui est gage de qualité.
Kamov pourra vous expliquer en détail un intérêt supplémentaire prodigué par une adhésion à l'ARDHAN : des livres gratuits... pour un montant supérieur à la cotisation annuelle (si je ne me trompe pas).
Cordialement
PéBé
Édith (sans Marcel) : Un détail qui a son importance : la reliure est une vraie reliure cousue, pas du cousu-collé !
)