Vos derniers bouquins achetés
#601
Livre acheté pour trois euros, je suis dans ma période 1e GM en ce moment, je vais m'y coller juste après le Baron Rouge et Cigogne Blanche de Patrick De Gmeline que je suis en train de lire
#603
Petite sélection des achats de ces derniers mois:
A propos des premiers mois du conflit dans le Pacifique, côté Américain.
Et dans la petite série de monographie de Phil Listemann, 2 petits volume sur des squadrons Aussie.
A propos des premiers mois du conflit dans le Pacifique, côté Américain.
Et dans la petite série de monographie de Phil Listemann, 2 petits volume sur des squadrons Aussie.
#604
Je ne maîtrise pas tant que ça.Kamov a écrit :VG-35 tu as l'air de bien maîtriser le sujet, je te pose donc une question un peu technique, si quelqu'un d'autre veut répondre...
J'ai remarqué sur le livre en question page 54, une photo montrant un ANT-6 bien sûr quadrimoteur, par contre les deux moteurs intérieurs, le 2 et le 3 sont munis d'hélices quadripales, et les deux autres de bipales J'imagine pourtant qu'il s'agit des quatre mêmes moteurs
Quelle peut être la raison de ce montage?
Merci d'avance
Mais c'est une très bonne question. On sait (cf. Maximilien Rigmant) que fin 1935-début 1936 le BE Toupolev mène des expériences avec l'avion de série n° 22 452 avec des hélices quadripales, d'abord montées sur les moteurs internes uniquement, ensuite sur les autres. Un accroissement de vitesse ascensionnelle fut observé, ce qui entraîna ultérieurement le montage de ces hélices sur les appareils de série.
Par contre, les appareils sur la photo sont antérieurs à l'expérience. Ce sont des appareils (22 241, 22 242 ?) destinés aux voyages protocolaires, celui vers Bucarest ayant eu lieu en octobre 1935.
Peut-être l'équipe en charge de ces avions spéciaux et détachée du reste du BE Toupolev, l'a t'elle précédé dans les expériences?
Ce ne serait pas la première fois dans l'histoire de l'aviation ( dans celle de l'aviation soviétique en tout cas!) que deux équipes d'ingénieurs travaillent séparément les uns des autres, ou les uns après les autres deux fois sur le même sujet, dans l'ignorance de ce que font, ou avaient fait leurs collègues.
D'autre part, l'histoire (y compris celle de l'aviation) ne raconte pas vraiment ce qu'avaient fait les gens, seulement ce dont on sait (conservation des documents, témoignages...) sur ce qu'ils avaient fait.
En un mot, je n'ai rien sur les hélices quadripales montées en octobre 1935.
Amic
-
- Jeune Pilote
- Messages : 1383
- Inscription : 21 mai 2004
#605
Reçu aujourd'hui :
Springbok Fighter Victory
SAAF Fighter Operations 1939-1945
Vol.4 * Fighters over Sicily, Italy and the Med
Michael Schoeman
L'avant dernier volume de la chronique sur le chasse sud-africaine. Au menu les actions au-dessus de la Sicile, Italie, Yougoslavie et Méditerranée Orientale jusqu'à l'été 1944.
Toujours très détaillés dans la descriptions des différentes missions (170 pages et des annexes toujours aussi riches). Une iconographie très importante (la qualité d'impression a été amélioré par rapport au volume précédent).
L'auteur corrige, comme dans les volumes précédents, beaucoup d'erreurs régulièrement reprises dans les différentes publications notamment des précisions concernant les faits du 27 janvier 1944.
A noter que selon l'auteur, outre la fin des campagnes supra, le dernier volume traitera des pilotes sud-africains servant dans la RAF, des unités déployé en Afrique du Sud et des pilotes de chasse de la South African Navy (intéressant, un sujet sur lequel je n'ai jamais rien lu) : "South African Naval Fighter Pilots of the SANF(V)
Springbok Fighter Victory
SAAF Fighter Operations 1939-1945
Vol.4 * Fighters over Sicily, Italy and the Med
Michael Schoeman
L'avant dernier volume de la chronique sur le chasse sud-africaine. Au menu les actions au-dessus de la Sicile, Italie, Yougoslavie et Méditerranée Orientale jusqu'à l'été 1944.
Toujours très détaillés dans la descriptions des différentes missions (170 pages et des annexes toujours aussi riches). Une iconographie très importante (la qualité d'impression a été amélioré par rapport au volume précédent).
L'auteur corrige, comme dans les volumes précédents, beaucoup d'erreurs régulièrement reprises dans les différentes publications notamment des précisions concernant les faits du 27 janvier 1944.
A noter que selon l'auteur, outre la fin des campagnes supra, le dernier volume traitera des pilotes sud-africains servant dans la RAF, des unités déployé en Afrique du Sud et des pilotes de chasse de la South African Navy (intéressant, un sujet sur lequel je n'ai jamais rien lu) : "South African Naval Fighter Pilots of the SANF(V)
#606
Merci VG-35 pour ta réponse! mais pourquoi ne pas avoir mis les quatre moteurs avec des quadripales?
#607
Intéressé par pas mal de nouveautés from UK ces derniers temps.
La plupart du temps des autobios de pilotes/équipages n'ayant pas connus la seconde, mais la Guerre Froide.
ça fait un excellent changement, et c'est la plupart du temps extrêmement intéressant.
Un peu de seconde guerre mondiale aussi, tout de même.
Et des monographies.
La plupart du temps des autobios de pilotes/équipages n'ayant pas connus la seconde, mais la Guerre Froide.
ça fait un excellent changement, et c'est la plupart du temps extrêmement intéressant.
Un peu de seconde guerre mondiale aussi, tout de même.
Et des monographies.
#609
Pour faire court, je ne sais pas trop. Sans doute un manque de quadripales pour les équiper tous?Kamov a écrit :Merci VG-35 pour ta réponse! mais pourquoi ne pas avoir mis les quatre moteurs avec des quadripales?
Pour autant, je peux aussi être intarissable sur le TB-3 bien que nous soyons que 2 à s'intéresser au sujet.
D’une configuration aujourd’hui banale, ce monoplan cantilever quadrimoteur à propulseurs disposés de front fut le précurseur d’une riche lignée d’avions de ce type qui en 1930-32 était révolutionnaire et à la pointe du progrès. Pourtant a y regarder de plus près on ne peut être qu'un peu déçus par la modestie apparente des performances de ce géant moderne (au niveau d’un vulgaire SPAD XIII de 1918) ayant une, voire plusieurs générations d’avance sur ses contemporains ; même s'il importe de préciser que la mesure des performances en URSS se faisait à régime nominal, ce qui correspondrait chez nous à la vitesse de croisière maximum, soit moins de 500 cv par M-17.
En utilisant toute la puissance des M17F et supposant le rendement de l’hélice conservé, le quadrimoteur atteindrait donc 234km/h à 0m au lieu de 196 et 211 à 3000m (166), ce qui est déjà mieux. Les performances théoriques de fiches techniques constructeur optimistes des Keystones, Farmans et autres De Havillands (bombardiers des années 20) "faisaient" certes mieux mais une fois les machines occidentales soumis aux tests du LII-VVS, elles ne se vérifiaient quasiment jamais !
En fait, la production se poursuivit jusqu’en 1937, partiellement pour écouler le « zadel » (stock de pièces), partiellement pour satisfaire le solde des commandes ayant subi un retard pour causes diverses (dont la mise en service du SB-2). A cette époque (1936) le géant « dépassé » atteignait quand même 320-330 km/h (selon certaines sources), soit nettement plus que les premiers TB-3 de série, le LéO 25, ou les Farman contemporains (215-230) et qui furent même produits après lui. Cette amélioration spectaculaire se fit dans l’indifférence générale, mais en réalité les dernières versions les plus puissantes seront les plus recherchées par les utilisateurs. Il y a "dépassé" et "dépassé" !
L’apport de puissance après réduction de la vitesse de rotation (permettant l'accroissement de la taille des hélices) fut vraiment bénéfique au TB-3 : ce dernier avait une aile excessivement épaisse et large qui dissociait le tube de courant généré par l’hélice, nuisant ainsi à son rendement ( la « batteuse » moulinait un peu comme dans un mur). Un effilement de l’aile eut été profitable, ou bien une augmentation du diamètre des hélices (et de la puissance associée) avec éloignement du bord d’attaque. C’est naturellement le dernier cas qui prévalut. Cette surépaisseur des formes (et de la structure) avait ses avantages : la robustesse et la longévité du Toupolev étaient proverbiales et s’apparentaient plutôt à du matériel ferroviaire ou agricole plutôt qu'aéronautique! Quant à ses moteurs, même hors d’age c’étaient après tout d’authentiques « Béhé-meu’s » (BMW) de 500 cv seulement pour 46 bons litres de cylindrée. Pas de quoi couler une bielle avant longtemps avec à peine10 cv par litre de puissance unitaire...
Je pense donc, que la quadripale forçait l'effet de souffle de l'hélice sur la voilure là ou elle en avait le plus besoin, à cause de l'épaisseur et de la longueur à l'emplanture de cette dernière qui faisait interférence.
Amic.
#610
Je te remercie pour les explications pour les quadripales Ca se voit tout comme moi que tu aimes ce géant du ciel A la lecture du livre j'ai été impressionné par l'équipement moderne qu'il possédait Dans certains domaines les Russes avaient un temps d'avance sur les occidentaux
-
- WSO Co-pilote
- Messages : 895
- Inscription : 31 octobre 2009
#611
Mes trois dernières monographies de chez Windsock Datafile:
Le premier volume détail les différentes variantes du célèbre Jenny. Je pense que logiquement le second volume traite de la carrière opérationnelle de l'avion et de son utilisation après-guerre.
La carrière des Farman à l'italienne, obsolètes dès leurs apparition au front (début 1917) mais adorés des pilotes et utilisés jusqu'à la fin de la guerre.
Un excellent hydravion biplace allemand utilisé exclusivement par les austro-hongrois.
Le premier volume détail les différentes variantes du célèbre Jenny. Je pense que logiquement le second volume traite de la carrière opérationnelle de l'avion et de son utilisation après-guerre.
La carrière des Farman à l'italienne, obsolètes dès leurs apparition au front (début 1917) mais adorés des pilotes et utilisés jusqu'à la fin de la guerre.
Un excellent hydravion biplace allemand utilisé exclusivement par les austro-hongrois.
#612
Le dernier Dick Lord (A ma connaissance), dédié au SAR SudAf.
Quelques bios.
Et le dernier elite unit de chez osprey, sur n°60 sqn RFC/RAF.
Quelques bios.
Et le dernier elite unit de chez osprey, sur n°60 sqn RFC/RAF.
#613
Arrivé ce matin livre de 586 pages difficile à trouver de nos jours Le must sur les avions et aviateurs de la Marine embarqués Japonais et leurs porte-avions
-
- Jeune Pilote
- Messages : 1092
- Inscription : 20 novembre 2002
#615
Sur Ebay un dimanche après-midi il y a quinze jours L'annonce venait juste d'être mise en ligne et en achat immédiat 70€ J'ai pas hésité une seule seconde
-
- Jeune Pilote
- Messages : 1092
- Inscription : 20 novembre 2002
-
- Dieu vivant
- Messages : 22961
- Inscription : 23 mai 2003
#617
Tu ne regrettera pas ton achat .Kamov a écrit :
Arrivé ce matin livre de 586 pages difficile à trouver de nos jours Le must sur les avions et aviateurs de la Marine embarqués Japonais et leurs porte-avions
#618
warbird2000 a écrit :Tu ne regrettera pas ton achat .
Tu as raison Warbird, et je me demande même comment j'ai fais pour rater ce bouquin quand il était disponible
-
- Légende volante
- Messages : 17067
- Inscription : 18 mai 2006
#619
Mémoires d’un pilote d’essai : j’ai tout essayé
De Robert Galan, aux éditions Privat
Shot at 2011-10-14
J’avoue, avant d’avoir lu ce livre, n’avoir jamais entendu parler de l’auteur… grave erreur aujourd’hui réparée.
Pilote d’essai « de la grande époque », Robert Galan a piloté un jour ou l’autre des centaines d’appareils ! Il nous le raconte dans un livre compact, à la première personne, dans un style direct, à première vue peu accrocheur, mais dont le contenu prime sur la forme.
Des antiquités volantes du CEV aux Mach 2,3 du Mirage G8, son expérience est très vaste ! En fait le seul défaut de ce livre, c’est qu’il parle de plusieurs centaines d’avions, donc avec guère plus d’une page pour chacun… Un survol de 40 années d’essais aéronautiques de toutes sortes, avions nouveaux, nouvelles versions d’avions anciens, sans oublier les vols « de servitude » et les essais d’équipement.
Les illustrations se limitent à une vignette format timbre poste, mais très bien dessinée, pour chaque avion.
Un bon bouquin, si vous êtes nouveau dans l’aviation, quelle que soit votre branche, pour révisiter l’histoire de l’aviation Francaise des années 50 à 90.
De Robert Galan, aux éditions Privat
Shot at 2011-10-14
J’avoue, avant d’avoir lu ce livre, n’avoir jamais entendu parler de l’auteur… grave erreur aujourd’hui réparée.
Pilote d’essai « de la grande époque », Robert Galan a piloté un jour ou l’autre des centaines d’appareils ! Il nous le raconte dans un livre compact, à la première personne, dans un style direct, à première vue peu accrocheur, mais dont le contenu prime sur la forme.
Des antiquités volantes du CEV aux Mach 2,3 du Mirage G8, son expérience est très vaste ! En fait le seul défaut de ce livre, c’est qu’il parle de plusieurs centaines d’avions, donc avec guère plus d’une page pour chacun… Un survol de 40 années d’essais aéronautiques de toutes sortes, avions nouveaux, nouvelles versions d’avions anciens, sans oublier les vols « de servitude » et les essais d’équipement.
Les illustrations se limitent à une vignette format timbre poste, mais très bien dessinée, pour chaque avion.
Un bon bouquin, si vous êtes nouveau dans l’aviation, quelle que soit votre branche, pour révisiter l’histoire de l’aviation Francaise des années 50 à 90.
#620
L'auteur en préambule, avertit le lecteur que le livre sera très certainement l'objet de critiques encore plus que pour les autres ouvrages de la même collection, puisque que celui-ci traite dans un long chapitre du crash du vol Rio-Paris
[url=javascript:cache('overlay');][/url]
Acheté à Manfred ici http://www.checksix-forums.com/showthread.php?t=171457
#621
Une petite recension de ce magnifique bouquin ci-dessous
http://www.checksix-forums.com/showthread.php?t=172188
#624
Reçu hier:
Un premier coup d'oeil donne déja un excellent à priori, de par les photos, le découpage des chapitres, les annexes et la bibliographie.
Avec en prime une préface de Geoff Fisken.
Un premier coup d'oeil donne déja un excellent à priori, de par les photos, le découpage des chapitres, les annexes et la bibliographie.
Avec en prime une préface de Geoff Fisken.