Aéro-Journal n° 15 (avril-mai 2010)
Aéro-Journal n° 15 (avril-mai 2010)
#1Aéro-Journal n° 15
En kiosque le 1er avril
Dossier : 10 mai 1940 – Le jour où le ciel nous a foudroyés
C-J. Ehrengardt
1) Pays-Bas : le massacre des Ju 52
2) Belgique : désastre à Schaffen
3) France : le « Big Dyle »
Les comptes des mille et une victoires
Le mythe explosé
Arnaud Gillet
Combien l’armée de l’Air a-t-elle remporté de victoires en mai-juin 1940 ?
La question est simple, la réponse beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît.
Les disciples de la religion cathodique
C-J. Ehrengardt
I – Midnight King, la chasse de nuit US
Première partie : bricolages et bidouillages
L’USAAF s’est fort peu préoccupée de la chasse de nuit avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Paradoxalement, elle mettra en œuvre l’un des rares avions conçus dès le départ pour ce rôle.
Sur la piste de l’Himalaya
Jérémie Tarpon
Lancés sur la piste du forceur de blocus Himalaya, deux Beaufighter et un Ju 88 croisent leurs destins. La rencontre sera fatale pour deux d’entre eux.
Sois Bell et tais-toi
Raymond J. Teliczan Sr
Une fois n’est pas coutume, la parole est donnée à un chef mécanicien qui raconte, non sans un certain humour, ses mésaventures et ses déboires avec le Bell P-39 Airacobra.
Les avions de combat français 1939-40 (9)
C-J. Ehrengardt
Arsenal VG.33
La saga des marques
C-J. Ehrengardt
II - Luftwaffe
La Luftwaffe a été la première aviation de la Seconde Guerre mondiale à adopter des bandes et des marques de couleur pour l’identification de ses avions, mais aussi pour distinguer les théâtres d’opérations.
Il y a 70 ans, la guerre aérienne
C-J. Ehrengardt
Avril-mai 1940
En kiosque le 1er avril
Dossier : 10 mai 1940 – Le jour où le ciel nous a foudroyés
C-J. Ehrengardt
1) Pays-Bas : le massacre des Ju 52
2) Belgique : désastre à Schaffen
3) France : le « Big Dyle »
Les comptes des mille et une victoires
Le mythe explosé
Arnaud Gillet
Combien l’armée de l’Air a-t-elle remporté de victoires en mai-juin 1940 ?
La question est simple, la réponse beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît.
Les disciples de la religion cathodique
C-J. Ehrengardt
I – Midnight King, la chasse de nuit US
Première partie : bricolages et bidouillages
L’USAAF s’est fort peu préoccupée de la chasse de nuit avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Paradoxalement, elle mettra en œuvre l’un des rares avions conçus dès le départ pour ce rôle.
Sur la piste de l’Himalaya
Jérémie Tarpon
Lancés sur la piste du forceur de blocus Himalaya, deux Beaufighter et un Ju 88 croisent leurs destins. La rencontre sera fatale pour deux d’entre eux.
Sois Bell et tais-toi
Raymond J. Teliczan Sr
Une fois n’est pas coutume, la parole est donnée à un chef mécanicien qui raconte, non sans un certain humour, ses mésaventures et ses déboires avec le Bell P-39 Airacobra.
Les avions de combat français 1939-40 (9)
C-J. Ehrengardt
Arsenal VG.33
La saga des marques
C-J. Ehrengardt
II - Luftwaffe
La Luftwaffe a été la première aviation de la Seconde Guerre mondiale à adopter des bandes et des marques de couleur pour l’identification de ses avions, mais aussi pour distinguer les théâtres d’opérations.
Il y a 70 ans, la guerre aérienne
C-J. Ehrengardt
Avril-mai 1940
#2
Les disciples de la religion cathodique
C-J. Ehrengardt
I – Midnight King, la chasse de nuit US
Première partie : bricolages et bidouillages
L’USAAF s’est fort peu préoccupée de la chasse de nuit avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Paradoxalement, elle mettra en œuvre l’un des rares avions conçus dès le départ pour ce rôle.
Sur la piste de l’Himalaya
Jérémie Tarpon
Lancés sur la piste du forceur de blocus Himalaya, deux Beaufighter et un Ju 88 croisent leurs destins. La rencontre sera fatale pour deux d’entre eux.
Sois Bell et tais-toi
Raymond J. Teliczan Sr
Une fois n’est pas coutume, la parole est donnée à un chef mécanicien qui raconte, non sans un certain humour, ses mésaventures et ses déboires avec le Bell P-39 Airacobra.
Excellent!
Merci pour l'info!:yes:
C-J. Ehrengardt
I – Midnight King, la chasse de nuit US
Première partie : bricolages et bidouillages
L’USAAF s’est fort peu préoccupée de la chasse de nuit avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Paradoxalement, elle mettra en œuvre l’un des rares avions conçus dès le départ pour ce rôle.
Sur la piste de l’Himalaya
Jérémie Tarpon
Lancés sur la piste du forceur de blocus Himalaya, deux Beaufighter et un Ju 88 croisent leurs destins. La rencontre sera fatale pour deux d’entre eux.
Sois Bell et tais-toi
Raymond J. Teliczan Sr
Une fois n’est pas coutume, la parole est donnée à un chef mécanicien qui raconte, non sans un certain humour, ses mésaventures et ses déboires avec le Bell P-39 Airacobra.
Excellent!
Merci pour l'info!:yes:
#3
Je note une certaine amélioration des calembours
Attrayant sommaire
Attrayant sommaire
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).
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- Jeune Pilote
- Messages : 1094
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#5
Dossier : 10 mai 1940 – Le jour où le ciel nous a foudroyés
C-J. Ehrengardt
1) Pays-Bas : le massacre des Ju 52
2) Belgique : désastre à Schaffen
3) France : le « Big Dyle »
Comme cette série d'articles ont déjà été publiés dans l'ancienne formule, sont-ce les mêmes, ou des versions actualisés (photos, textes etc....)?
C-J. Ehrengardt
1) Pays-Bas : le massacre des Ju 52
2) Belgique : désastre à Schaffen
3) France : le « Big Dyle »
Comme cette série d'articles ont déjà été publiés dans l'ancienne formule, sont-ce les mêmes, ou des versions actualisés (photos, textes etc....)?
#6
Cool, on va enfin peut-être en savoir un peu plus sur le Black Widow (avion très secret, sur lequel rien n'est jamais publié) !
-
- Jeune Pilote
- Messages : 1092
- Inscription : 20 novembre 2002
#7
Ça c'est vendeur non ?Les comptes des mille et une victoires
Très intéressé par les trois articles cités par Obélix
#8
Au fait, j'ai une question : à quoi sert de distinguer les théâtres d'opération dans les marquages d'un avion ?
Ce sera expliqué ?
Ce sera expliqué ?
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).
#9
Blanc méditerrannée, jaune front de l'Est.jeanba a écrit :Au fait, j'ai une question : à quoi sert de distinguer les théâtres d'opération dans les marquages d'un avion ?
Ce sera expliqué ?
Avec même obligation pour ses alliées (y compris des marques en forme de croix, notamment pour les Roumains avec les 4 "M" autour de la cocarde).
#10
Ma question est surtout quelle est l'utilité d'une distinction entre les théâtres d'opération ?Obelix a écrit :Blanc méditerrannée, jaune front de l'Est.
Avec même obligation pour ses alliées (y compris des marques en forme de croix, notamment pour les Roumains avec les 4 "M" autour de la cocarde).
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).
#11
Savoir si l'avion doit être équipé d'une pelle à sable ou d'une pelle à neige?lol:exit:jeanba a écrit :Ma question est surtout quelle est l'utilité d'une distinction entre les théâtres d'opération ?
#12
Et dans la Forêt Noire, une pelle à tarte ?Obelix a écrit :Savoir si l'avion doit être équipé d'une pelle à sable ou d'une pelle à neige?lol:exit:
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).
#13
...
IITYWYBAD ???
NACA ames Aeronautical Laboratory operated F-15A
Très bon ouvrage de 200 pages consacrées uniquement sur les P-61 et F-15 pour seulement 21 €
Development et description technique.
Utilisation sur les ETO, PTO (+ Combat Reccon) et CBI durant la WWII.
Gorgon et Project Thunderstorm
P-51 towing
Individual aircraft histories per c/n
NORTHROP'S NIGHT HUNTER: P-61 Black Widow
by Jeff Kolln
World War II changed the face of warfare forever. Now enemies were fighting and flying all night, which mandated that a fighter be developed that could carry a new technological invention aloft – radar. Guided by ground stations toward the target, the P-61 would acquire an enemy aircraft with its on-board radar and close for the kill.
Northrop's Night Hunter covers the development history of the P-61 Black Widow and the radar built specifically for its use. The P-61 was the most successful Allied night fighter of the war, and flew combat in the China-Burma-India, European, and Pacific theaters of the war. This book details the aircraft's offensive and defensive systems, its operations, and covers its unique uses from missile testing to flights by the U.S. Navy.
Oops ! Photo à main levée. Le 10 x 10" ne cole pas très bien avec le format 30.2 x 21.8 du scanner. Tacky !
...
YSony a écrit :Cool, on va enfin peut-être en savoir un peu plus sur le Black Widow (avion très secret, sur lequel rien n'est jamais publié) !
IITYWYBAD ???
NACA ames Aeronautical Laboratory operated F-15A
Très bon ouvrage de 200 pages consacrées uniquement sur les P-61 et F-15 pour seulement 21 €
Development et description technique.
Utilisation sur les ETO, PTO (+ Combat Reccon) et CBI durant la WWII.
Gorgon et Project Thunderstorm
P-51 towing
Individual aircraft histories per c/n
NORTHROP'S NIGHT HUNTER: P-61 Black Widow
by Jeff Kolln
World War II changed the face of warfare forever. Now enemies were fighting and flying all night, which mandated that a fighter be developed that could carry a new technological invention aloft – radar. Guided by ground stations toward the target, the P-61 would acquire an enemy aircraft with its on-board radar and close for the kill.
Northrop's Night Hunter covers the development history of the P-61 Black Widow and the radar built specifically for its use. The P-61 was the most successful Allied night fighter of the war, and flew combat in the China-Burma-India, European, and Pacific theaters of the war. This book details the aircraft's offensive and defensive systems, its operations, and covers its unique uses from missile testing to flights by the U.S. Navy.
Oops ! Photo à main levée. Le 10 x 10" ne cole pas très bien avec le format 30.2 x 21.8 du scanner. Tacky !
...
#15
En vrac :
Oui, c'est une reprise du n° 12 sur le 10 mai 1940, mais avec une documentation actualisée et d'autres photos (pas toutes).
Le P-61, ce sera pour la fois suivante.
Là, on traite du P-70, du P-38, du Beaufighter et même du Mosquito.
Les marques de théâtre d'opérations entrent dans le cadre plus large des marques d'identification tout court. La bande blanche (Méditerranée) s'explique très bien, parce que les Allemands l'ont copiée sur les Italiens. Quant au jaune du front de l'Est, je pense que cela vient du fait que le jaune a toujours été la couleur des marques spéciales depuis la Bataille d'Angleterre jusqu'à la Russie, en passant par les Balkans et la Crète. Mais quel intérêt d'avoir deux couleurs, j'avoue que je n'en sais rien.
Oui, c'est une reprise du n° 12 sur le 10 mai 1940, mais avec une documentation actualisée et d'autres photos (pas toutes).
Le P-61, ce sera pour la fois suivante.
Là, on traite du P-70, du P-38, du Beaufighter et même du Mosquito.
Les marques de théâtre d'opérations entrent dans le cadre plus large des marques d'identification tout court. La bande blanche (Méditerranée) s'explique très bien, parce que les Allemands l'ont copiée sur les Italiens. Quant au jaune du front de l'Est, je pense que cela vient du fait que le jaune a toujours été la couleur des marques spéciales depuis la Bataille d'Angleterre jusqu'à la Russie, en passant par les Balkans et la Crète. Mais quel intérêt d'avoir deux couleurs, j'avoue que je n'en sais rien.
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- Jeune Pilote
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- Inscription : 20 novembre 2002
#16
L'article sur les mille et une victoires c'est une reprise de celui paru dans le N°2 ou ils ont juste le titre en commun ?
#17
Seul le titre est commun.
Ce n'est pas le même auteur et ce ne sont pas les mêmes conclusions.
Ça risque même de faire grincer des dents...
Ce n'est pas le même auteur et ce ne sont pas les mêmes conclusions.
Ça risque même de faire grincer des dents...
#18
c'est pas lui qui dit que l'AdA n'a remporté que 250 victoires ?CJE a écrit :Seul le titre est commun.
Ce n'est pas le même auteur et ce ne sont pas les mêmes conclusions.
Ça risque même de faire grincer des dents...
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).
#19
Oui, mais quel est l'intérêt pratique de repeindre une bande quand on change de théâtre d'opération ?CJE a écrit : Les marques de théâtre d'opérations entrent dans le cadre plus large des marques d'identification tout court.
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).
#20
...
Les essais en vol du P-51B étaient destinés à valider les résultats obtenus en soufflerie sur un modèle à l'échelle 1/3.
NACA exprimait des réserves sur la fiabilité des données de la traînée de l'avion au nombre de Mach élevé obtenu durant ces essais en soufflerie.
Le P-51 était remorqué aussi haut que possible (25000 à 30000 pieds) et largué afin que le Mustang puisse plonger et atteindre une vitesse subsonique (500 mph/Mach.760) et ainsi déterminer le coefficient de traînée.
Le Mustang dépourvu de son hélice et de son Bomb rack était bourré d'instruments de mesure. La celule et les ailes étaient laquées et cirées.
Après trois vols, l'attelage fut impliqué dans un accident (Sep 5th 1944).
Au cours de ce vol d'essai, le Lt. William McElvoy était au commandes du P-61 et le Lt James M. Nissen pilotait le P-51 .
Le mécanisme de remorquage céda, obligant le P-51 à faire un atterrissage forcé. L'appareil fut concidéré comme "damaged beyond ecomomical repair".
Lt Nissen ne souffrit que de blessures légères, il n'y eu aucun dégât à l'instrumentation de mesure.
Le mécanisme de remorquage fut le seul élément endommagé sur le P-61.
...
Obelix a écrit :Pourquoi tracter un P-51?
Les essais en vol du P-51B étaient destinés à valider les résultats obtenus en soufflerie sur un modèle à l'échelle 1/3.
NACA exprimait des réserves sur la fiabilité des données de la traînée de l'avion au nombre de Mach élevé obtenu durant ces essais en soufflerie.
Le P-51 était remorqué aussi haut que possible (25000 à 30000 pieds) et largué afin que le Mustang puisse plonger et atteindre une vitesse subsonique (500 mph/Mach.760) et ainsi déterminer le coefficient de traînée.
Le Mustang dépourvu de son hélice et de son Bomb rack était bourré d'instruments de mesure. La celule et les ailes étaient laquées et cirées.
Après trois vols, l'attelage fut impliqué dans un accident (Sep 5th 1944).
Au cours de ce vol d'essai, le Lt. William McElvoy était au commandes du P-61 et le Lt James M. Nissen pilotait le P-51 .
Le mécanisme de remorquage céda, obligant le P-51 à faire un atterrissage forcé. L'appareil fut concidéré comme "damaged beyond ecomomical repair".
Lt Nissen ne souffrit que de blessures légères, il n'y eu aucun dégât à l'instrumentation de mesure.
Le mécanisme de remorquage fut le seul élément endommagé sur le P-61.
...
#21
Merci Rodolphe (seulement 21€ en plus !)
Oui, en cherchant bien on doit trouver quelques bouquins, mais dans la presse, je n'ai jamais rien vu (sauf dans les revues de modélisme).
Aaaaaah le F-15, quel avion magnifique !!
Oui, en cherchant bien on doit trouver quelques bouquins, mais dans la presse, je n'ai jamais rien vu (sauf dans les revues de modélisme).
Aaaaaah le F-15, quel avion magnifique !!
#22
ExcellentCJE a écrit :En vrac :
Oui, c'est une reprise du n° 12 sur le 10 mai 1940, mais avec une documentation actualisée et d'autres photos (pas toutes).
Le P-61, ce sera pour la fois suivante.
Là, on traite du P-70, du P-38, du Beaufighter et même du Mosquito.
Merci Rodolphe pour ces précisions.
#24
super
Il semblerait qu'entre les Hors Série, et les numéros "normaux", qu'Aérojournal soit devenu de facto mensuel
Il semblerait qu'entre les Hors Série, et les numéros "normaux", qu'Aérojournal soit devenu de facto mensuel
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).
#25
jeanba a écrit :super
Il semblerait qu'entre les Hors Série, et les numéros "normaux", qu'Aérojournal soit devenu de facto mensuel
Pas tout à fait mais presque.
Selon le réglement des NMPP (principal diffuseur de la presse en France), les éditeurs n'ont droit qu'à trois hors-séries par an.
Donc, cela fait 6+3 = 9 numéros par an, donc à mi-chemin entre un mensuel et un bimestriel. Va falloir inventer un mot pour ça.