Ravitaillement avec le M2000
Re: Ravitaillement avec le M2000
#26Les repères c'est à toi de les définir visuellement, comme pour le vol en patrouille on met tel repère de l'arceau de verrière (par exemple) sur tel élément de l'avion qui lead et on essaye de s'y tenir
Re: Ravitaillement avec le M2000
#27Oui tout à fait ca c'est personnel c'est à toi de trouve les tiens !
Là je viens de réussir 2 contacts et à prendre 200kg à chaque coup ! Comme a dit Aquila j'arrive dessus avec 4T de pétrole pour être tranquille donc ca va vite mais c'est une bataille de tous les instants et je trouve que c'est encore plus dur de tenir la bête une fois dans le panier !
Là je viens de réussir 2 contacts et à prendre 200kg à chaque coup ! Comme a dit Aquila j'arrive dessus avec 4T de pétrole pour être tranquille donc ca va vite mais c'est une bataille de tous les instants et je trouve que c'est encore plus dur de tenir la bête une fois dans le panier !
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Re: Ravitaillement avec le M2000
#28Perso moi quand je commençais j'hésitais pas à prendre du recul sur le panier pour bien me stabiliser et ensuite revenir dessus en restant le plus stable possible plutôt que de rester juste devant et voir ton avion monter et descendre sans jamais réussir à stabiliser.
Le plus dur n'étant pas de se connecter mais bien de le rester et pour ça il faut jouer avec les gaz constamment (tu accélère et tu ralenti tu accélère tu ralenti ect ect) tu arriveras jamais à avoir exactement la même vitesse que le ravitailleur (ou pas longtemps) sachant que pour des raisons inconnu le ravitailleur accélère quand il sort le panier.
Tu verras qu' avec le temps quand tu accélère tu pousse légèrement le manche car l'accélération te fait monter et à l'inverse tu le tire quand tu ralenti alors bien sur ce sont des mouvements infimes mais ça vient naturellement.
Dans tous les cas tout viendras avec le temps le ravitaillement y a pas de secret pour y arriver il faut en bouffer encore et encore et à la fin tu te demanderas pourquoi tu n'y arrivais pas avant tellement ça te semblera devenu facile
Pour ce qui est des repères une fois connecté au panier on me conseillais de regarder le pod d'ou il sort. J'ai jamais vraiment réussi. Pour ma part je me fie au câble j'essais de rester le plus aligné possible au câble en faisant en sorte de ne pas tirer dessus donc hésite pas à pousser le panier de façon à te laisser une marge de manœuvre. Après chacun trouve ses propres repères à toi de trouver les tiens.
Bon courage ^^
Le plus dur n'étant pas de se connecter mais bien de le rester et pour ça il faut jouer avec les gaz constamment (tu accélère et tu ralenti tu accélère tu ralenti ect ect) tu arriveras jamais à avoir exactement la même vitesse que le ravitailleur (ou pas longtemps) sachant que pour des raisons inconnu le ravitailleur accélère quand il sort le panier.
Tu verras qu' avec le temps quand tu accélère tu pousse légèrement le manche car l'accélération te fait monter et à l'inverse tu le tire quand tu ralenti alors bien sur ce sont des mouvements infimes mais ça vient naturellement.
Dans tous les cas tout viendras avec le temps le ravitaillement y a pas de secret pour y arriver il faut en bouffer encore et encore et à la fin tu te demanderas pourquoi tu n'y arrivais pas avant tellement ça te semblera devenu facile
Pour ce qui est des repères une fois connecté au panier on me conseillais de regarder le pod d'ou il sort. J'ai jamais vraiment réussi. Pour ma part je me fie au câble j'essais de rester le plus aligné possible au câble en faisant en sorte de ne pas tirer dessus donc hésite pas à pousser le panier de façon à te laisser une marge de manœuvre. Après chacun trouve ses propres repères à toi de trouver les tiens.
Bon courage ^^
Je n'arrête pas quand j'ai mal, J'arrête quand j'ai tout donné.
Re: Ravitaillement avec le M2000
#29Personnellement, je trouve qu'en baissant bien le siège, on a une meilleure vue sur le ravitailleur une fois connecté au panier.
C'est plus facile pour garder le contact.
Allez, la pause tisane est finie, j'y retourne.
C'est plus facile pour garder le contact.
Allez, la pause tisane est finie, j'y retourne.
Re: Ravitaillement avec le M2000
#30Bon ok le sujet n'est pas très récent, mais je suis nouveau d'aujourd'hui. Donc bonjour à toutes et tous.
A mon sens les grandes clefs pour réussir à mettre le gland dans le panier et à y rester le temps qu'il faut sont concentration (hyper concentration), persévérance, et précision, mais surtout: 1/ stabilité de l'approche vers le tanker 2/pas de sur-correction de trajectoire 3/repères pris principalement sur la VTH: route, trajectoire, vitesse et oeil de temps en temps sur le tanker et jamais ni sur la perche ni sur le panier. Perso, je fais comme une approche, je m'insère dans un circuit et je me présente avec des paramètres stables derrière le tanker. Ensuite je vais au contact en ne quittant jamais des yeux ma route (cap) et mon vecteur qui doit être impérativement sur la référence et jamais ni 1 pixel au dessus ni 1 pixel en dessous. Ma vitesse jusqu'à 3 kts au dessus du tanker et les chevrons "au neutre". Quant aux corrections, c'est vraiment d'un mini poil à chaque fois, quelque soit le paramètre à ajuster (oui car le gland est un peu décalé de l'axe de l'avion donc fatalement il va falloir glisser un peu à un moment donné. Pour ce qui est de la direction, j'utilise les ailerons, le M2000 a une bonne stabilité de route, d'où la confiance absolue que l'on peut faire à l'utilisation des ailerons. Le tout c'est de doser. L'utilisation du palonnier risque de générer un roulis induit qui nuira à la précision de la manoeuvre, alors que l'utilisation des ailerons du mirage 2000 ne génère aucun lacet inverse, donc c'est plus propre que des coups de palonniers suivis de mouvement d'ailerons pour remettre les ailes horizontales... Si les paramètres sont maintenus stables et l'avion aligné avec le tanker, le contact se fera tout seul à un moment ou à un autre et ce sera gagné, il suffira de se détendre et de rester dedans, sans quasiment rien faire. Ce type de manoeuvre me rappelle ma courte expérience de stationnaire sur (vrai) hélicoptère ou encore mes premières approches ILS (en vrai) en cessna. La tendance est toujours de sur corriger ou de chercher des repères immédiats qui ne mènent à rien. On réussit ainsi mieux en regardant plutôt loin pour le stationnaire et plutôt seulement ses instruments (mais tous) pour l'ILS en ne manoeuvrant le stick que dans l'équivalent d'une pièce d'un euro, voir moins... Quant au réglage de mon manche, je n'y touche pas, je fais avec ce que j'ai. Et pour revenir à la question des palonniers ou ailerons, pour l'ILS, il ne m'est jamais venu à l'idée de tenter la correction aux palonniers. Les palonniers en vol servent soit à corriger le lacet inverse dans un virage initié aux ailerons, soit à se poser par vent de travers, mais là encore en combinant avec des actions sur les ailerons, soit à faire des jolies glissades pour se faire plaisir et épater un peu la galerie, ou encore en voltigeµ. En combat au canon aussi, mais dans DCS en ce qui me concerne, éventuellement, pour affiner le tir, mais là le repère à prendre est bien évidemment la cible.
Bref, la règle est donc jusqu'au bout tu resteras concentré et précis mais la perche et le panier jamais tu ne regarderas. Et évidemment jamais ne se lancer tant que la trajectoire n'est pas stable, comme pour l'approche: axe, plan et vitesse, sinon non.
Enfin, c'est mon avis.
A mon sens les grandes clefs pour réussir à mettre le gland dans le panier et à y rester le temps qu'il faut sont concentration (hyper concentration), persévérance, et précision, mais surtout: 1/ stabilité de l'approche vers le tanker 2/pas de sur-correction de trajectoire 3/repères pris principalement sur la VTH: route, trajectoire, vitesse et oeil de temps en temps sur le tanker et jamais ni sur la perche ni sur le panier. Perso, je fais comme une approche, je m'insère dans un circuit et je me présente avec des paramètres stables derrière le tanker. Ensuite je vais au contact en ne quittant jamais des yeux ma route (cap) et mon vecteur qui doit être impérativement sur la référence et jamais ni 1 pixel au dessus ni 1 pixel en dessous. Ma vitesse jusqu'à 3 kts au dessus du tanker et les chevrons "au neutre". Quant aux corrections, c'est vraiment d'un mini poil à chaque fois, quelque soit le paramètre à ajuster (oui car le gland est un peu décalé de l'axe de l'avion donc fatalement il va falloir glisser un peu à un moment donné. Pour ce qui est de la direction, j'utilise les ailerons, le M2000 a une bonne stabilité de route, d'où la confiance absolue que l'on peut faire à l'utilisation des ailerons. Le tout c'est de doser. L'utilisation du palonnier risque de générer un roulis induit qui nuira à la précision de la manoeuvre, alors que l'utilisation des ailerons du mirage 2000 ne génère aucun lacet inverse, donc c'est plus propre que des coups de palonniers suivis de mouvement d'ailerons pour remettre les ailes horizontales... Si les paramètres sont maintenus stables et l'avion aligné avec le tanker, le contact se fera tout seul à un moment ou à un autre et ce sera gagné, il suffira de se détendre et de rester dedans, sans quasiment rien faire. Ce type de manoeuvre me rappelle ma courte expérience de stationnaire sur (vrai) hélicoptère ou encore mes premières approches ILS (en vrai) en cessna. La tendance est toujours de sur corriger ou de chercher des repères immédiats qui ne mènent à rien. On réussit ainsi mieux en regardant plutôt loin pour le stationnaire et plutôt seulement ses instruments (mais tous) pour l'ILS en ne manoeuvrant le stick que dans l'équivalent d'une pièce d'un euro, voir moins... Quant au réglage de mon manche, je n'y touche pas, je fais avec ce que j'ai. Et pour revenir à la question des palonniers ou ailerons, pour l'ILS, il ne m'est jamais venu à l'idée de tenter la correction aux palonniers. Les palonniers en vol servent soit à corriger le lacet inverse dans un virage initié aux ailerons, soit à se poser par vent de travers, mais là encore en combinant avec des actions sur les ailerons, soit à faire des jolies glissades pour se faire plaisir et épater un peu la galerie, ou encore en voltigeµ. En combat au canon aussi, mais dans DCS en ce qui me concerne, éventuellement, pour affiner le tir, mais là le repère à prendre est bien évidemment la cible.
Bref, la règle est donc jusqu'au bout tu resteras concentré et précis mais la perche et le panier jamais tu ne regarderas. Et évidemment jamais ne se lancer tant que la trajectoire n'est pas stable, comme pour l'approche: axe, plan et vitesse, sinon non.
Enfin, c'est mon avis.