Mon premier vol du mercredi
Publié : jeu. janv. 29, 2015 8:25 am
Un petit retour sur mon premier vol du mercredi.
II a eu lieu hier soir (28 janvier 2015).
Tout d'abord, le fait de choisir le Me-109 F4 est quand même un plus. On ne s'occupe pas de la gestion moteur (si ce n'est l'admission) ni des la gestion des radiateurs.
Il y a déjà fort à faire avec la nav et la protection des Stuka qu'il ne faut pas perdre de vue et qui volent beaucoup plus bas que nous (3000 m pour les 109 et 800 m envion pour les Stuka).
En plus, avec cette couverture nuageuse, on a vite fait de les perdre.
Donc, en ce qui me concerne, je suis content d'avoir pu me repérer déjà sur le plan de vol et de ne pas avoir perdu mes ailiers et les Stuka.
J'ai réussi mon premier atterrissage (2 missions faites le même soir), ce qui, en 109 relève de l'exploit en ce qui me concerne.
En revanche, une patrouille un peu trop serrée au dessus du terrain lors du second retour a tordu mon hélice. Du coup, atterrissage sur le ventre (sans les roues, hein Corse ), mais pas plus de bobo que ça. Je devais être à 1 ou 2 km de la base, donc je pouvais tout à fait attendre la voiture qui me ramènerait vers mon terrain... Enfin, si ils le veulent bien
Pour ce qui est de l'action. A part un ou deux avions Russe qui, à mon avis ce sont perdus, on n'a pas vu grand chose.
En plus, ils volaient très bas, donc le temps de plonger et d'arriver sur eux, il n'y avait plus personne.
A mon avis, ceci vient du fait que nous ne nous sommes pas mis d'accord au départ sur qui faisait quoi. Nous aurions dû définir des rôles entre Allemands et Russes. Des missions de bombardement et d'escorte pour les uns et des missions d'interception pour les autres.
Là, on a choisi chacun de notre côté des missions de bombardement avec, en ce qui concerne les Allemands, une escorte (peut être aussi chez les Russes).
Ce qui fait que chacun de notre côté, nous avons choisi de protéger nos bombardiers sans vraiment chercher à empêcher les bombardements adverses. Du coup, on a pas chercher l'engagement.
Enfin, moi c'est comme ça que je vois les choses.
Ce n'est pas une critique, ou alors si ça l'est, j'espère qu'elle est constructive.
Car, au delà de ça, il règnait quand même une certaine tension entre la surveillance des bombardiers, les atterrissages, les décollages (eh oui, car mine de rien, décoller avec ces zincs sous BOS, c'est une autre histroire que lorsqu'on prenait le même avion sous Il2 1946) et la nav (même si les plans de vol étaient assez courts). D'ailleurs, il faudra que je trouve une solution pour imprimer ces petits plans de vol car ils sont très pratiques. Et switcher entre Internet et BOS, c'est pas ce qu'il y a de plus simple.
Voilà, mes quelques réflexions du matin au sujet de ce premier vol du mercredi en ce qui me concerne.
Donc merci pour cette soirée qui sera le début d'une longue liste de missions faites en votre compagnie.
II a eu lieu hier soir (28 janvier 2015).
Tout d'abord, le fait de choisir le Me-109 F4 est quand même un plus. On ne s'occupe pas de la gestion moteur (si ce n'est l'admission) ni des la gestion des radiateurs.
Il y a déjà fort à faire avec la nav et la protection des Stuka qu'il ne faut pas perdre de vue et qui volent beaucoup plus bas que nous (3000 m pour les 109 et 800 m envion pour les Stuka).
En plus, avec cette couverture nuageuse, on a vite fait de les perdre.
Donc, en ce qui me concerne, je suis content d'avoir pu me repérer déjà sur le plan de vol et de ne pas avoir perdu mes ailiers et les Stuka.
J'ai réussi mon premier atterrissage (2 missions faites le même soir), ce qui, en 109 relève de l'exploit en ce qui me concerne.
En revanche, une patrouille un peu trop serrée au dessus du terrain lors du second retour a tordu mon hélice. Du coup, atterrissage sur le ventre (sans les roues, hein Corse ), mais pas plus de bobo que ça. Je devais être à 1 ou 2 km de la base, donc je pouvais tout à fait attendre la voiture qui me ramènerait vers mon terrain... Enfin, si ils le veulent bien
Pour ce qui est de l'action. A part un ou deux avions Russe qui, à mon avis ce sont perdus, on n'a pas vu grand chose.
En plus, ils volaient très bas, donc le temps de plonger et d'arriver sur eux, il n'y avait plus personne.
A mon avis, ceci vient du fait que nous ne nous sommes pas mis d'accord au départ sur qui faisait quoi. Nous aurions dû définir des rôles entre Allemands et Russes. Des missions de bombardement et d'escorte pour les uns et des missions d'interception pour les autres.
Là, on a choisi chacun de notre côté des missions de bombardement avec, en ce qui concerne les Allemands, une escorte (peut être aussi chez les Russes).
Ce qui fait que chacun de notre côté, nous avons choisi de protéger nos bombardiers sans vraiment chercher à empêcher les bombardements adverses. Du coup, on a pas chercher l'engagement.
Enfin, moi c'est comme ça que je vois les choses.
Ce n'est pas une critique, ou alors si ça l'est, j'espère qu'elle est constructive.
Car, au delà de ça, il règnait quand même une certaine tension entre la surveillance des bombardiers, les atterrissages, les décollages (eh oui, car mine de rien, décoller avec ces zincs sous BOS, c'est une autre histroire que lorsqu'on prenait le même avion sous Il2 1946) et la nav (même si les plans de vol étaient assez courts). D'ailleurs, il faudra que je trouve une solution pour imprimer ces petits plans de vol car ils sont très pratiques. Et switcher entre Internet et BOS, c'est pas ce qu'il y a de plus simple.
Voilà, mes quelques réflexions du matin au sujet de ce premier vol du mercredi en ce qui me concerne.
Donc merci pour cette soirée qui sera le début d'une longue liste de missions faites en votre compagnie.