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INSCRIPTIONS
CPC_4: le convoi.
Lundi 12/11/12


Briefings missions 'post' originel:http://www.checksix-forums.com/showpost ... ostcount=1

RAF (11):

Hurricane Rotol ou 100oct. (Protection convoi maritime)
1 - OBT~Mikmak
2 - OBT~Psycho
3 - OBT~Miguel 21
4 - OBT~Mad
5 - [CDO]Emile

Spitfire Mk.Ia (Interdiction)
Chef de patrouille à définir.
- Nacy
- EFG_Togno
- Gib
- Fried
-
-

_______________________________
LW (15):

Bf-109-E3 (Escorte)
- LAL_FOX
- LAL_WOLF
- LAL_NARVI
- LAL_CARL
- LAL_Anatoli
- LAL_Etops
- I/JG2_Kart

Ju-87-B2 (A/M)
1 - EFG_Richy
2 - EFG_Tom
3 - Ricky
4 - Nero

5 - EFG_Mike_Sky
6 - EFG_El_Soleil
7 - Gourmand
8 - Bushido

_______________________________
EQUILIBRE / ATTENTE ATTRIBUTION:
-Nero (attente attribution)
-
-
-
_______________________________
SPARES:
En l'attente de libération d'une place...
Spitfire :
-

Hurricane:
-


Bf-109-E:
- Fried

Ju-87-B2:
-

Sans choix:

INSCRIPTIONS
CPC_4: le convoi.
Lundi 12/11/12


Briefings missions 'post' originel:http://www.checksix-forums.com/showpost ... ostcount=1

RAF (11):

Hurricane Rotol (Protection convoi maritime)
1 - Obt~Mikmak
2 - Obt~Psycho
3 - Obt~Miguel 21
4 - Obt~Mad
5 - [CDO]Emile

Spitfire Mk.Ia (Interdiction)
Chef de patrouille à définir.
- Nacy
- Togno (possibilité Stuka).
- Gib
- Fried (ou 109 si de la place se libère)
-
-

_______________________________
LW (15):

Bf-109-E3 (Escorte)
- LAL_FOX
- LAL_WOLF
- LAL_NARVI
- LAL_CARL
- LAL_Anatoli
- LAL_Etops
- I/JG2_Kart

Ju-87-B2 (A/M)
1 - EFG_Richy
2 – SealNavy
3 – Ricky
4-

5- Mike_Sky
6-
7-
8-

_______________________________
EQUILIBRE / ATTENTE ATTRIBUTION:
-EFG_El_Soleil (attente confirmation présence)
-Nero (attente attribution)
-
-
-
_______________________________
SPARES:
En l'attente de libération d'une place...
Spitfire :
-

Hurricane:
-


Bf-109-E:
-

Ju-87-B2:
-

Sans choix:

pour moi spit ou ju-87 comme tu veux mike dsl du retard grosse semaine ...

Salut Nero.
Pour l'équilibre de la mission, c'est sûr qu'un Ju.87 serait bien.
Mais je ne veux pas te forcer, loin de là!!!!!!!!!!!:sweatdrop

Je connais ta préférence, mais peut-être commences-tu à apprécier le Junkers?:wacko:

Je ne pourrais malheureusement pas participer à la mission du Lundi 12/05/12. Priorité aux activités de mon Squadron oblige.
Je vous Souhaite un très bon vol.

Merci aux organisateurs en espérant être la pour la semaine prochaine.

Noté Bouma, décidément les lundis sont difficiles...

Alors Nero: Spit ou Stuka?:sweatdrop

coucou,
je m'inscrit en Ju-87-B2 (A/M) stuka

Bonjour,

Je prends la dernière place en Ju-87-B2 (A/M) s'il vous plait.

Je serais légèrement en retard, 21h10-20...

EFG_Togno – Leader patrouille Spitfire

Scramble ! Scramble ! Une formation est annoncée cap sur le convoi au sud de Wilmington !
Seuls 4 appareils sont prêt, les paires se forment à la hâte : Togno (1), Gix (2), Fried (3), Nacy (4).
Alignement sur la piste et collage, cap 140 – montée 10’000fts . Arrivée sur la côte, cap 90 pour 20km.

Une fois sur zone, nous prévenons les hurricanes déjà présents sur zone de notre présence au-dessus de leur tête. Et la flotte par la même occasion, les gars ont le sang chaud depuis l’annonce d’une attaque imminente..

A peine le temps de se placer en plastron à l’est des bâtiments que le radar nous annonce des contacts au sud des navires. Ils sont tous proche.
Nous nous dirigeons sur zone quand deux Messerchmit plongent sur 3 et 4. Heureusement sans dommage. 4 réussis à accrocher l’un d’entre eux qui overshoot et le marque !
Le formation est rapidement éclatée et la chasse au 109 commence. Ils sont 4, nous sommes 4.
J’arrive à me placer dans les six de l’un d’entre eux qui ne fait pas gare a ses fesses, et loge une rafale courte mais mortelle dans son moteur. Il perd rapidement de l’altitude et s’abime en mer. Un 3eme appareil sera marqué dans le combat, et le dernier prendra la tangente en s’éloignant du combat.

Rapidement les hurri nous annoncent être au prise avec des 109 ; une seconde formation sans doute. Nous nous dirigeons sur zone et je donne un saggot sur un navire à 5000fts.
A peine ai-je rejoins la zone le premier qu’un dogfight a lieu 2km à l’ouest, en dessous… Je ne peux pas laisser mes camarades sans rien faire. Je plonge en léger piqué sur la mêlé… Et file rejoindre les Maquereaux en étant incapable de redresser…. (panne de joy ou mécanique ? Le jeu n’accordera ma destruction à personne)

Hurri n°2

Décollage de Lympne, cap sur le convoi maritime. On vole en formation de front à 3000ft pendant 15 mn, puis tout s'enchaine.
On croise un Stuka qui vient certainement de larguer, Leader et 3 lui font la chasse, il se defend bien le bougre en tournant en rond, il tien si longtemps que, ça ne loupe pas, 2 109 arrivent sur nous, j'en prend un en chasse, le tire, le touche et un troisième 109 fait son apparition.
J'annonce un break au lead et à partir de là, on se perd de vue.
Je suis tenu en respect par un 109 qui tourne autour, je tente de rejoindre le point de rassemblement annoncé (le boat isolé) mais ce Me me touche et perce mes radiateurs.
Bon, je tente donc de m'échouer rapidement sur la terre, mais, bizarrement, en 3 secondes ma vue rougis, s'assombris puis le noir !!!!! I'm dead.
Le 109 m'a t'il retiré dessus?

J'imagine que mon 109 touché n'est pas rentré, mais moi non plus!!!!

Bonne mission, trop courte pour moi, à refaire

N°3 de la patrouille de Spit's je reprends le récit là où Togno nous a quittés.

Après avoir réglé son compte à un 109' qui était déjà marqué, j'essaie de retrouver mes billes dans ce gros b..... au ras du bouillon.

pendant quelques minutes, j'ai même poursuivi un gros zoziau qui s'avérait être....un hydravion British!! pas tiré heureusement.

En retrouvant Nacy, on se cogne une paire une 109' qui partent en ballistique après avoir essayé de me faire un mauvais sort (merci Nacy) on les poursuit jusqu'à que 4 en abatte un.

Retour sur la côte, et là, c'est le drame, je me fais plomber par le deuxième resté en maraude, le moteur à pris un méchant coup dans les carreaux et je suis blessé.

Je romps et file vite vers le terrain de Wilington avant que ce fichu moteur ne me lâche.
Visuel sur le terrain, je suis en local pourvu que ça tienne encore un peu, je vais me poser sur le ventre.

compte tour dans le coma, pare-brise repeint à la 15w40, j'ai encore un peu de badin, le plan se casse la gueule mais j'arrive à restituer assez d'énergie en courte pour passe les bosquets en levant un peu les pattes.

patatras!! avait pas vu cette fiche DCA, je m'encastre dedans, mort!!! joli coup Kart.

Adler 3 (Stuka):

Décollage sans histoire sauf pour Adler 2 qui connaît quelques soucis, je deviens donc Adler 2 dans notre formation de 3.
Navigation au poil par Adler 1, l'escorte de 109 est en vue, ça fait chaud au coeur.

Nous attaquons le convoi qui est passablement désorganisé, je suis de trop près Adler 1 et me retrouve mal engagé. Je finis par bombarder mon navire en semi-piqué et mes bombes explosent juste devant le navire qui sera quitte pour une belle frayeur et une bonne douche.

Je vois les bombes de Adler 1 taper pile dans un cargo, un autre explose derrière moi.

On dégage raz des flots au 120 mais nous sommes vite engagés. Je suis touché a plusieurs reprises par des Hurricane, je maintiens mon Stuka en virage gauche, il tient le coup mais je finis par être blessé et mon réservoir droit fuit abondamment...

Une paire de Stuka et des 109 interviennent et je peux dégager, l'adrénaline retombe et la douleur de ma blessure à la cuisse commence à se faire sentir. Mon mitrailleur se penche par dessus mon siège pour m'aider à faire un pansement de fortune alors que je maintiens mon pauvre JU-87 en l'air.

Nous finissons par regrouper et mettons cap sur Boulogne, j'atterris après Adler leader et Adler 4.

Finalement notre groupe n'a subi aucune perte, seul un des Brutus a du rentrer sur panne moteur. L'Adler 2 d'origine a même fini par décoller et aller seul sur zone, puis n'ayant plus vu de navire il est rentré.

Finalement bon bilan, plusieurs navires ont été coulés et nous rentrons tous. Je suis bon pour quelques jours d'hôpital et de repos.

Boulogne, 10 aout 1940.
Dans la salle de briefing ce matin, l'ambiance est morose.
Nous avons tous été réveillé par une alerte à l'aube, mais la formation de Blenheim qui a survolé la ville ne nous était pas destinée.
Quelques coups de téléphone plus tard et on apprend que le terrain de Marquise a fortement souffert, les 110 vont être indispo au moins pour la journée le temps de se réorganiser.

Mais la guerre continue de notre côté.
Malgré la fatigue qui se fait ressentir après les multiples missions qui nous sont confiées, et le repos perturbé de cette nuit qui n'arrange rien, nous écoutons le premier briefing de la journée.
Nous devons attaquer à nouveau un convoi anglais qui tente de rejoindre Douvres.
Ces anglais sont vraiment têtus, il faut leur reconnaître ça, mais malheureusement nos chefs le sont aussi de leur côté.
Procédure standard, rien d'inhabituel, nos 8 appareils vont se former avec les autres Stuka voisins, et l'ensemble sera escorté par des 109.
Cette fois par contre nous devons aller frapper assez loin vers l'ouest, à plus de 120km de Boulogne, et les anglais auront tout le temps de se former s'ils ont les moyens disponibles.

J'emmène les 8 appareils pour cette mission, mais dès le début l'un d'eux à des ennuis moteur et doit rebrousser chemin.
Nos avions montent tranquillement vers 2500m, et un 2e appareil rebrousse chemin suite à problème moteur, la mécanique commence à accuser le coup des vols inscessants.
C'est donc à 6 appareils seulement, à 3000m, et légèrement en arrière de l'ensemble du dispositif que nous arrivons vers la zone de recherche.
Nous laissons la pointe de Wilmington sur notre droite et continuons plus à l'ouest, à une vingtaine de kilomètres des côtes.

Tout est calme depuis de longues minutes, chacun scrute le ciel, et commence à se préparer à subir les effets de l'accélération vertigineuse que nos corps vont subir.

Un navire isolé est repéré, puis d'autres plusieurs kilomètres à l'ouest, mais ils ne forment pas le convoi bien ordonné que les anglais ont l'habitude de nous présenter, vu d'en haut ils ont l'air désemparé, chacun quittant l'axe principal du convoi.

Je donne les dernières consignes, les bombes sont armées, le harnais resserré, et après avoir enclenché les aérofreins je plonge pour le piqué.
Je me surprends à observer ce qui reste du convoi.
Si les navires me semblaient désemparés c'est parce que le groupe qui nous a précédé vient juste de terminer sont attaque.
Les différents navires encore à flot virent tant qu'ils le peuvent pour éviter les bombes, dessinant des arcs de cercle dans l'écume, mais cela n'a guère d'effet, à l'instant le troisième navire de la file explose projetant une multitude de débris autour de lui. Une bombe vient de faire but.
1500m. Encore 1000m avant le largage des bombes. Je me concentre sur ma cible, le cargo en tête du convoi. Je vise la proue.
800m. Le navire grossit rapidement dans le viseur que je relève légèrement.
500m. Je vois l'altimètre passer sous l'aiguille rouge du contacteur, et j'ai l'impression d'attendre encore une longue seconde avant le déclenchement du système automatique.
Les bombes partent alors que je laisse le bateau glisser juste en dessous de mon viseur.

Même si je m'y attends, je suis toujours légèrement désorienté lorsque l'appareil redresse automatiquement. Un léger voile me traverse les yeux, puis je retrouve vite mes esprits.
Je suis en palier cap vers l'est, mes mains ont mécaniquement rentré les aérofreins et remis des gaz. Je termine de régler le pas d'hélice puis incline légèrement l'avion pour regarder en arrière; la proue enfoncée dans l'eau stoppant net sa course, je regarde le navire cracher une épaisse fumée noire. Le stock de charbon qu'il transporte a pris feu, son destin est scellé.

Soudain une douleur aigue me transperce le mollet gauche, mon pied saute en dehors du palonnier, et j'ai l'impression que l'on vient d'allumer une fournaise dans ma jambe.
En reportant le regard vers l'avant je vois le navire isolé en tête du convoi m'entourer de traçantes, je me dirige droit sur un destroyer!
J'alerte ma patrouille d'éviter l'avant du convoi, puis part isolé au raz des flots.

Je suis complètement désorienté pendant quelques minutes, j'entends au loin dans les écouteurs qui crépitent que mes ailiers sont engagés, mais je ne pense qu'à survivre et à sortir de cet enfer.

Enfin je me ressaisi. Je regarde pour la première fois ma jambe. Il y a deux énormes trous dans le plancher déchiqueté, et mon pantalon est imbibé de sang, mais je ne peux pas voir la plaie avec ma combinaison.
Je fais le point de l'appareil, j'ai une fuite d'un des réservoirs, et mon moteur ne donne plus le maximum, je ne peux plus monter au dessus de 1700tr/min même si la pression d'admission répond bien.
Je suis rejoins par mon numéro 3 qui me suit même si je me traîne encore plus que si j'avais encore mes bombes, et nous prenons la direction du terrain, en observant la lente descente de la jauge du réservoir percé.
J'ai perdu toute sensation dans ma jambe gauche, mais mon regard se voile, il ne faut pas que je tarde à me poser sinon je vais perdre conscience.
En arrivant en vue de Boulogne, mon réservoir gauche est définitivement essoré, et je bascule mon alimentation sur le seul réservoir valide qui me reste.

Un dernier effort et je m'aligne pour l'atterrissage.

Mon brave Stuka me ramène une fois de plus au terrain, mais je n'ai pas la force de sortir seul.
Mon mitrailleur se précipite vers moi dès le moteur coupé. Il m'annonce que tous les autres Stuka sont là en approche, mais déjà je ne l'entends plus...

Merci de ces CR, j'ai eu l'impression d'avoir été avec vous pendant ce vol

Brutus 4 En Stuka.

Je suis nouveau dans l'escadrille et c'est ma première affectation opérationelle, mon expérience sur Stuka est limité, une cinquantaine d'heure et pas d'expérience de combat.

Heureusement les moustachus de l'escadrille me prennent sous leur ailes et le leader me rappel patiement les diverses procédures pour régler mes emports de bombes, et l'ensemble des paramètres moteurs.

Décollage sans problème je rejoins sur le reste des Brutus et on prend le cap vers l'oibjectif. Je ne tarde pas à me faire distancer et je reste en retrait de Brutus 1 et 2, brutus 3 devant rebrousser chemin suite à une avarie moteur.

L'angleterre se dessine sur le coté droit de l'appareil, je scrute anxieusement le ciel esseulé comme je le suis je fait une proie tentante pour les Spits en maraude.

Brutus leader annonce son attaque et je les vois piquer loin devant moi, je me rapproche à mon tour, fermeture radiateur, plein grand pas, réduction des gaz, surpresseur sur off, aérofrein déployé, les gestes s'enchaine et à la vertical de convoi je pique. Garder ce fichu cargo dans le viseur, encore, encore, les bombes se largue automatiquement et mon JU87 se cabre.

Je suis écrasé par la ressource et non encore habitué il me faut du temps pour reprendre mes esprits, mon mitrailleur m'annonce un coup au but, vite rentrer l'aérofrein, remettre des paramètre moteur correct et prendre le cap vers la base. Après un petit moment de flotement j'aperçois un autre stuka devant je regroupe et finalement nous voilà 4 à prendre le cap retour.

RTB sans soucis, j'ai survécu à ma première mission et j'ai même coulé un navire !

N°2 de la patrouille de Spit, je complète le rapport du N°3

Après la furieuse mêlée avec les 109 et la perte de notre leader (en espérant que l'hydravion de récupération ait pu le sauver des flots), une profonde dépression succéda à l'immense stress du combat lorsque nous entendîmes à la radio notre N°3, en perdition, annonçant avec sang-froid les pannes qui se succédaient et tentant un atterrissage de fortune dont nous ne devions jamais connaître l'issue.
Je me joignis quelques minutes à une paire de Hurricanes en surveillance verticale du convoi avant de retrouver le N°4 (Nacy). Malgré un niveau de carburant un peu faible, nous décidâmes de faire une dernière courte patrouille en altitude. Le ciel était vide, mais le radar nous signala un Stuka à 100 ft dans la zone. Piqué à vitesse maximum, ratissage intense de la zone TBA en formation large. Rien.
Le radar ne signalant plus personne à moins de 15 miles, nous primes un cap retour vers Farnborough, tout en jetant des regards inquiets sur le jauge de carburant. Avec moins de cinq gallons dans les réservoirs travers Gatwick il n'était pas question de rejoindre la base. Posé en douceur, il ne restait plus qu'à faire le plein et télégraphier au commandement la perte de la moitié de notre patrouille...

BRUTUS 1

Je vais reprendre le CR à ce niveau:

EFG_Richy a écrit : Je suis complètement désorienté pendant quelques minutes, j'entends au loin dans les écouteurs qui crépitent que mes ailiers sont engagés, mais je ne pense qu'à survivre et à sortir de cet enfer.

Tout juste sorti de la ressource, encore un peu perdu, je recale mes billes pour prendre un cap retour en TBA. Je cherche mes ailiers... Aucun visuel, ils doivent être derrière, mais où?

J'entends à la radio, très clairement, Adler 2 annoncer être accroché!
Je cherche: une mêlée à un peu moins de 5km, dans mes 2 heures...
Je suis seul.
Je n'ai pas entendu...
Je n'entends pas!

Adler 2 lance un second message, il est endommagé.
Et merde!!!!!!!!!!!!!!!!
Je sens que je vais regretter mon choix, mais le copain là bas...
Je demande à Adler1 de lancer un message d'alerte à l'escorte, position estimée et altitude sont vite lancées, tout en virant vers le cirque.
Plein gaz, PMU, petit pas, TTTBA je prends de la vitesse en espérant ne pas être repéré: A.2 est en cercle gauche, 2 Hurri à son niveau se partage le gâteau, 2 autres un peu plus haut pigeonnent (500m max?).
J'entre discrètement dans le dispositif, je m'intercale entre les Hurris, encore bien bas. Légère ressource, courte mais bonne rafale, des éclats, de la fumée, le vilain lâche le Stuka.
J'annonce immédiatement un cap de dégagement.

Bon, c'est maintenant qu'on va rigoler.
Je m'enfonce dans mon siège, prends le visuel d'A2, et attends le déluge de feu...
Je fomente plans & tactiques, certains que bientôt, au mieux, je vais devoir nager...

Rien.
Mais alors rien.
Rien ne se passe...
Le mitrailleur est silencieux.
Mais comment est-ce possible?

Hummmm....
L'escorte?
Oui, c'est sûr!
L'escorte a du nous trouver, enfin, trouver les méchants.
Nous seront tranquille désormais.

Je relève la tête, mais pas trop, je suis fier de mon coup d'éclat.
Puis je réfléchis...
Mais mon dieu que je suis con d'avoir pris de tels risques!!!!
Non, non, jamais ô grand jamais ne recommencer ce genre de connerie.
La chance, ce n'est qu'une fois!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Merci à tous pour ces bons, merveilleux moments de simulation!!!!!!!!!

Joli coup d'éclat, effectivement

Il parait incroyable qu'on est pas réussit à descendre ton copain, tu es arrivé au bon moment, c'est sur! Et ce qui t'a sauvé, c'est l'arrivé en même temps des 109, notre escorte à nous était déjà engagé tout la haut. (bon, Togno à bien tenté de nous venir en aide, mais tu l'a bien payé avant .... :D)

Incroyable donc que tous les Stuka soient rentré, contrairement aux 109, vous en avez perdu combien ?... 2 ? 3 ?

Il n'est pas facile aussi de voir ces petits Stuka avant leur plongée mortel, mais que fait le radariste et l'escorte haute

(enlève aussi ces IA, ils nous éloignent de nos vrais cibles : vous !!!! )

Pour les 109 sur 7, 2 sont rentrés, 2 sont morts, 1 DCA et 1 collision, 3 ont sauté, 1 sur la zone de combat, 2 sur le retour cause dommages.
J'espère que le seul leader vivant vous fera un petit débrief bientôt....

C'est clair que je dois une fière chandelle et quelques bouteilles de champagne à Mike sur ce coup là : ...mais aussi à la robustesse du Stuka, pourtant j'ai pris quelques bonnes rafales...

OBT~Miguel21 a écrit : Il parait incroyable qu'on est pas réussit à descendre ton copain, tu es arrivé au bon moment, c'est sur!

Ah ben ça tu m'ôtes les mots de la bouche ! Moi aussi ça m'a troué le cul - au sens propre- que personne n'ai chopé Mike et son veau quand il est venu sauver les fesses de Ricky !lol

Tu m'étonnes

Pour ma défense, j'ignore si les 109 sont arrivés avant (2 beaux nez jaunes arrivant "lentement" en basse alti et en une belle formation presque serrée ) ou si Mike est passé sans qu'on le voit mais une fois les 109 passé, je t'assure que j'avais les yeux rivé sur eux et non plus sur le dog à deux Hurri contre un Stuka

Quand un peu plus tard j'ai compris que tu t'étais fait touché, pour moi c'était CE Stuka, le seul et l'unique, qui à réussit à t'enrouler, à aucun moment je n'avais imaginé qu'un autre puisse venir ...

Faudrait voir la chronologie vue de Mikmak, histoire de recouper (je ne suis pas très sur de la mienne, de chronologie, l'âge sûrement .... )

PS: 3 jours après, ce coup fumant fait toujours parler de lui

Un coup fumant?
Un coup de bol plutôt!!!!!!:sweatdrop
Sans l'arrivée des 109 c'était 2 Stuka dans l'eau, sans autre procès...