Rama a écrit :Je sais ce qu'est un courant électrique... mais on s'en fout. Ce qui nous intéresse dans le signal passant par un CPL, c'est qu'il est porté par une onde électromagnétique.
L'information a un comportement
ASSIMILABLE a une onde électromagnétique. Ca n'en est pas une.
Une onde électromagnétique est portée exclusivement par un photon. Ton information ne peut pas interagir avec la matière (autrement que par l'effet des électrons), une onde électromagnétique peut interagir avec la matière à travers ses photons.
Par contre, comme l'absorptivité est proche de 1, ta peau absorbe quasiment l'intégralité du rayonnement incident... donc exposée trop longtemps, ça crame..
Pourtant on meurt plus de cancer de la peau (mélanome en général) que de coup de soleil. Doit bien y avoir une raison
Ça c'est faux. Le rayonnement à 300nm (UV-B) est arrêté par la couche superficielle de l'épiderme.
Il y a par contre effectivement un phénomène de résonance avec les UV-A (entre 350nm et 400 nm) sur des parties de la molécule ADN qui peut à forte exposition et à long terme provoquer des cancers.... mais c'est loin d'être le coté le plus dangereux du soleil.
Étend-toi à midi quelques heures au soleil au zénith par un soleil sans nuages... et je te garanti qu'un éventuel cancer sera le cadet de tes soucis... les brulures au 3ième degré t'auront tué très longtemps avant....
Même remarque que plus haut.
Sinon je parlais bien d'UVA (faute de frappe entre les 330nm précisés "UVA" et le recopiage plus bas).
Juste pour le sport : quelle partie de l'ADN entre en résonnance ?
Quant a ton "appréciation" de la dangerosité du soleil, je ne prendrais même pas la peine de commenter...
Bah oui.... c'est tellement catastrophique que les habitants de la région de Ramsar en Iran qui se bouffent 130 mSv par an de radiations gamma (c'est à dire autant par an que ce que se sont pris, à quelques exception près, les "liquidateurs" de Fukushima), ont un taux de cancer très inférieur à la moyenne mondiale, et ont développé une résistance aux radiations fortement supérieure à la moyenne.... c'est fou non?
Population aux profiles génétiques différents, aux mode de vie très différent, à l'alimentation différentes, considérées d'après ce que tu me dis pour les cancers en général et non de potentiels cancers "plutôt" spécifique ; comparée sur des durées différentes d'expositions avec l'un des échantillons ne permettant pas assez de recul (l'accident de Fukushima n'a même pas deux ans) etc. ; étude statistique non pertinente.
Là encore, c'est la puissance reçue qui fait les dégâts (et c'est pas du tout le même résultat si on se mange 500 mSv, 1 Sv ou 5 Sv), et contrairement à ce qui est raconté partout, il y a, comme pour tous les effets toxiques, aussi un effet de seuil.
En fait t'es plus balèze que la communauté scientifique internationale entières. Tu détiens des réponses à des questions encore en suspend.
Ou alors peut-être as-tu publié des études à ce sujet, mais j'ai du passer à côté. Celles qui sont venues a mes yeux avaient toutes la même conclusion : "impossible de donner une réponse claire à ce sujet"
Rama a écrit :
Ta propre source dit: Les effets sur l'œil de la lumière bleue sont particulièrement à craindre. La rétine de l'œil est sensible aux rayons bleus, dont la longueur d'onde se situe au voisinage de 440 nm. Ces rayons peuvent causer des lésions temporaires ou permanentes de la rétine, et même la cécité.
Ce qui n'est pas autre chose que ce que j'ai dis (le bleu, c'est bien de la lumière visible).
Ta source confirme que c'est bien le rayonnement visible qui peut cramer la rétine, et tout de suite, pas dans 10 ans. Les autres rayonnements, dont les infrarouges, n'ont que des effets potentiels à long terme.
Pourquoi dont met-tu des lunettes sur un poste de soudure, pour te protéger d'un danger de cécité immédiat ou d'une chance accrue d'avoir une cataracte dans 20 ans (qui entre parenthèses, n'a rien à voir avec la rétine)... d'après toi?
J'oubliais que le visible était définit par des limites physiques, absolues, et non par des considérations empirique et variable selon les sources ou les individus.
On est tout juste dans le visible, proche des UVA, et le reste du document centre sa mise en lumière des risques principalement sur les UV. Il serait raisonnable de considéré que cela déborde légèrement sur le visible, et non que "ce sont bien les rayons visibles" qui sont dangereux. Ce qui, dans ce cas, résonne quelque peu en "c'est moi qu'a raison et pas toi".
Tu nourris une vision péremptoire des phénomènes en question. Tu ne les considères que selon une approche cantonnée à une seule discipline : l'optique, en intégrant des absolus non physiques, mais faisaint des approximations là où ça t'arrange. Tu fais preuve de satyrisme et d'ironie. Tu juges une appréciation des risques pertinente que dans le court terme, dans l'immédiat. Tu utilises des arguments d'autorités, etc.
Bravo.
Ce n'est pas une attitude scientifique respectable.
Je remarque que je commence moi aussi à faire preuve de satyrisme, je vais donc m'arrêter là. Il est de toute façon inutile de continuer cette 'conversation'.