Cher confrère ...
Publié : mar. oct. 04, 2005 10:20 pm
Cher confrère,
Mes activités à la faculté ne m’ont pas permis, ces derniers temps, de suffisamment me consacrer à notre étude de cas. Toutefois, je te fais ici parvenir le dossier d’un patient qui, j’en suis persuadé, retiendra tout ton intérêt. Appelons le dés maintenant le sujet Bill B. par commodité.
Il est je crois à l’aube d’une découverte majeure. Il est, tu en conviendras rapidement, notre premier patient avéré, atteint de
monomanie skinoïde ! Ce syndrome que nous avons toujours soupçonné exister.
Il suffira d’un petit papier dans le prochain ‘carnet de psychiatrie’ et c’est le Nobel qui s’annonce !
Je te demande donc de prendre connaissance de son dossier sans délais, afin de t’envoyer le sujet Bill B. pour consultation en ton cabinet au plus tôt.
Ps : préviens Nicole ta secrétaire d’éviter toute contrariété au patient. En effet celui-ci dés qu’il sent l’angoisse l’envahir, à la fâcheuse manie de vouloir peindre en rouge et bleu tout ce qui porte un tablier, en criant à tue-tête ‘TWO MORE WEEKS’.
Mes activités à la faculté ne m’ont pas permis, ces derniers temps, de suffisamment me consacrer à notre étude de cas. Toutefois, je te fais ici parvenir le dossier d’un patient qui, j’en suis persuadé, retiendra tout ton intérêt. Appelons le dés maintenant le sujet Bill B. par commodité.
Il est je crois à l’aube d’une découverte majeure. Il est, tu en conviendras rapidement, notre premier patient avéré, atteint de
monomanie skinoïde ! Ce syndrome que nous avons toujours soupçonné exister.
Il suffira d’un petit papier dans le prochain ‘carnet de psychiatrie’ et c’est le Nobel qui s’annonce !
Je te demande donc de prendre connaissance de son dossier sans délais, afin de t’envoyer le sujet Bill B. pour consultation en ton cabinet au plus tôt.
Ps : préviens Nicole ta secrétaire d’éviter toute contrariété au patient. En effet celui-ci dés qu’il sent l’angoisse l’envahir, à la fâcheuse manie de vouloir peindre en rouge et bleu tout ce qui porte un tablier, en criant à tue-tête ‘TWO MORE WEEKS’.
