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Les informations révélées il y a près de 15 jours par les médias publique chinois comme quoi les chasseurs embarqués Shenyang J-15 Flanker-D+ sont désormais équipés de réacteurs Shenyang WS-10B ont été confirmés par des spécialistes américains et australiens.
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En effet si jusque-là les prototypes du chasseur embarqué J-15 étaient bien dotés des WS-10A les exemplaires en service volaient eux avec de vieux Saturn AL-31 hérités de l’ère soviétique et conçus dans les années 1970 pour le Sukhoi T-10. Les moteurs russes étaient alors jugés plus sûrs et plus efficaces que leurs équivalents asiatiques. Les progrès technologiques autour du programme WS-10 sont désormais tels, en grande partie grâce aux évolutions des Shenyang J-16 Flanker-G+ et Chengdu J-20 Firefang, qu'ils ont donc permis à la Chine d’en équiper de premiers J-15 de série. On ignore cependant encore s’il s’agit là d’avions neufs ou d’avions dont les AL-31 ont été déposés au profit de WS-10B.

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l’option du Shenyang WS-10B au détriment du Saturn AL-31 permet un gain de puissance non négligeable. Là encore les spécialistes «occidentaux» parlent d’environ 6% à sec et de près de 10% avec postcombustion. Le moteur chinois représente donc une véritable modernisation par rapport à son prédécesseur russe.

Annoncé par Pékin comme supérieur aux Boeing F/A-18E/F Super Hornet et Dassault Aviation Rafale M actuellement en service dans les aéronavales américaines et françaises le Shenyang J-15 Flanker-D+ est en réalité sans doute relativement au même niveau. L’US Naval Institut le considère d’ailleurs comme moins polyvalent que l’avion français et moins manœuvrable que son homologue américain. La vérité est que l’on est souvent dans l’expectative dès lors que l’on parle d’aviation militaire chinoise tant les aéronefs nous sont encore trop fréquemment méconnus. Il faut rappeler qu’à l’instar de la marine américaine la marine chinoise a développé une version de guerre électronique active de son chasseur, connu actuellement comme J-15D Flanker-X2. On ignore ses capacités vis-à-vis du Boeing EA-18G Growler. La nouvelle motorisation, de facture locale, pourrait bien avoir été développée entre autre pour cette sous-version.
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China appears to be fitting indigenous engines on its Shenyang J-15 Flying Shark, a carrier-borne fighter jet.

Footage shown Nov. 17 on state-owned broadcaster CCTV showed a People’s Liberation Army Navy J-15 with the afterburner nozzles of the WS-10 Taihang turbofans undergoing calibration in preparation for a test flight at the facilities of manufacturer Shenyang Aircraft Corp.

This is the first time a production J-15 was seen fitted with the locally developed engines; there was an occasion in which the WS-10 was seen on a J-15 prototype built during the aircraft’s development phase.

Production examples of the J-15 were previously fitted with the Russian AL-31F engines. The fighter jet is the last modern, indigenous combat aircraft in China’s inventory to be fitted with the Russian engine, and it follows the single-engine Chengdu J-10 being fitted with the WS-10.

The use of WS-10s on the J-15s in China — and on the J-10s after more than a decade in service — suggests China is confident with the performance and reliability of the engine type for use in riskier single-engine and carrier-borne operations.

The WS-10 is already powering production examples of the Shenyang J-11B interceptor, the J-16 strike aircraft and the Chengdu J-20 stealth fighter.

Previous reports suggested China was struggling to overcome reliability and performance issues of the WS-10, as the country contended with wider problems in the development of domestic aircraft engines. As a result, China relied on imported Russian engines to power several of its homegrown aircraft, including the J-20 to the Xi’an Y-20 strategic airlifter.

In addition to the indigenous engine, China is continuing to develop the J-15 airframe, which is based on the Russian carrier-borne fighter Sukhoi Su-33 Flanker. This includes a new variant equipped with a catapult-launch attachment on its nose landing gear as China continues construction on its third aircraft carrier and its first to be fitted with catapults for launching aircraft.

China is also reportedly developing a two-seat J-15 for carrier-borne electronic-attack missions, similar to the land-based J-16D first seen in 2021.