Le commandant de l'escadron revient à la base, aux prises avec jet très récalcitrant et surveillé de près par un tout jeune pilote.
Alors qu'ils rentrent dans le circuit d'approche, fréquenté par de très nombreux avions, le jeune lieutenant s'écrie "Mon colonel, feu à bord, éjection éjection !!".
Résultat : quatre parachutes et quatre cratères dans le désert libyen...
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Fin des années 80. Deux officiers supérieurs de la RAF quittent le Ministère de la Défense et longent la rue en râlant après les méthodes peu cavalières des gouvernants, notamment au sujet des aides et autres subventions, jugées trop faibles, attribuées aux vétérans. Ils croisent alors un SDF, assis misérablement sur le trottoir, une boîte en métal devant lui, où sont éparpillées quelques pièces de monnaie. Un carton, sur ses genoux, porte l'inscription manuscrite "vétéran des Malouines". L'un des officiers se tourne alors vers son collègue, lui lance un regard entendu étant donnée leur discussion et il sort un billet de 20 livres qu'il tend au pauvre homme. Ce dernier lève les yeux vers son bienfaiteur et dit "muchas gracias, señor".
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Histoire apocryphe d'une rencontre aux toilettes entre officiers d'infanterie (école de Sandhurst) et de la RAF (école de Cranwell).
Deux pilotes, après avoir fait leur petite affaire, se dirigent vers la sortie en discutant aimablement. Un des officiers d'infanterie ne peut alors s'empêcher de leur lancer :
- A Sandhurst, on vous apprend à se laver les mains après !
L'un des pilotes se retourne en réplique :
- A Cranwell, on nous apprend à ne pas se pisser sur les mains...
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Atmoshpère turbulente du côté de la Côte d'Azur.
- Marseille de Speedbird 123 au niveau 350. Nous traversons une grosse zone de turbulence en ce moment, le capitaine s'est même enfoncé la fourchette dans le nez tellement ça tabasse. On aimerait changer d'altitude.
Le contrôle s'informe alors si les autres niveaux connaissent le même problème.
- Speedbird standby... Ascott 456, rencontrez-vous des turbulences à votre niveau ?
- de Ascott, désolé, mais on peut pas dire, mon capitaine n'a pas encore mangé.
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Deux Harriers décollent pour un exercice de navigation du côté des Highlands. Belle journée, nav sympa, les deux gars décident de conclure la mission par un retour TBA le long de la côte. Alors qu'ils déboulent à 100 ft le long d'une plage, ils aperçoivent un couple qui, tranquillement, se promène le long du ressac. L'idée géniale germe dans la tête du chef de patrouille. Demi-tour et radada d'enfer au dessus de la tête des deux promeneurs. Retour à la base après un gros éclat de rire. Et là, ils apprennent qu'ils sont convoqués par le commandant de la base qui, ce jour-là, avait décidé d'aller se promener avec sa femme sur la côte. Et alors qu'ils se baladaient...
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Une escouade de Marines découvre le corps d'un soldat irakien sévèrement mutilé sur le bord d'une route. Un peu plus loin, ils tombent sur un militaire américain, sérieusement blessé mais conscient. Ils lui demande ce qui s'est passé.
- Bon, répond le soldat, j'étais là à patrouiller, armé jusqu'au dent, quand j'ai croisé cet irakien, armé pareil. Alors, je l'ai regardé dans les yeux et je lui ai gueulé "Saddam est un enfoiré et un sale menteur !"... (quinte de toux)... "alors le type, y m'a regardé et il a crié : - Clinton est un enfoiré et un sale menteur !!... (quinte de toux)... Bon, alors là, t'imagines bien... (quinte de toux)... on était là à se serrer la main quand le camion nous a percuté.
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Une base, le week-end. Un jeune officier (JO) de garde. Le téléphone sonne :
JO : "ici le commandant de la base".
#1 : "Moi aussi. Mon bureau, uniforme de rigueur".
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Un C-130 de la RAF plein à ras-bor de soldats partant en OPEX. Le chef de soute de soute se pointe auprès d'un jeune officier d'infanterie et lui dit qu'il doit intervenir sur le toit de l'avion. "Tu fais gaffe, hein". Il ouvre la trappe au plafond, sort, longe le fuselage et rentre dans l'avion par une trappe au niveau du cockpit. Pendant ce temps, le nav descend, engueule copieusement tout le monde pour avoir laisser la trappe de soute ouverte, envoie promener le jeune officier qui essaie tant bien que mal de s'expliquer et retourne à l'avant. Les pauvres soldats, impuissants et horrifiés, assistent au décollage. Le vol se passe sans qu'aucun membre d'équipage ne vienne en soute. A l'atterrissage, le chef de soute refait le chemin en sens inverse et frappe comme un sourd à la trappe. Les soldats ouvrent pour voir surgir un gars tout décoiffé, vert de rage et qui engueule tout le monde pour l'avoir laissé faire tout le vol sur le toit du C-130.
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Un P-3 Orion autralien en mission pas loin de Hobbart. Alors qu'ils sont en plein milieu d'une ennuyeuse mission routinière, ils croisent la route d'un magnifique yacht à bord duquel un couple se prélasse au soleil. L'équipage est vite attiré par la plastique toute révélée de la jeune femme et prend quelques photos, histoire de. L'officier de relations publiques, informé des clichés, décide de faire une petite opération de com' et grâce à l'identité du navire, aisément traçable, il envoie les dites images au propriétaire, avec un charmant courrier insistant sur l'élégant physique de sa femme. En retour, il reçoit une lettre de ladite femme du propriétaire, qui accepte les compliments, bien qu'elle ne figure pas sur les photos en compagnie de son mari...
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Bar d'escadrille de la RAF, un vendredi après 18 heures. Un groupe de pilotes autraliens en visite lève allègrement le coude depuis plusieurs heures.
Entre alors le commandant de la base, un peu psychorigide et règlement-règlement, qui observe les Aussies de haut et constate qu'ils portent la tenue tropicale (manches courtes et short) alors qu'ils devraient porter un pantalon et une chemise à manches longues.
Il leur lance :
- Messieurs, pas de shorts après 18 heures !
Les Australiens retirent leur short et continuent à boire.
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F-4 dans le circuit d'approche : "putain, je me fais chier..."
Contrôle : "Quel est votre indicatif !!"
F-4 : "je me fais pas chier à ce point..."
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Un cadet pose son Marchetti avec le train rentré. A la Commission d'Enquête, le président lui demande pourquoi il n'a pas répondu aux appels successifs et pressants du contrôle.
Le jeune gars réfléchit puis :
- en fait, je l'entendais pas à cause de l'alarme de train qui gueulait trop fort...
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J'en ai d'autres
