Le plus drôle c'est quand les gens applaudissements un atterrissage automatiqueJulietBravo a écrit : ↑mer. févr. 09, 2022 9:09 pmIl ne fait que son boulot après tout...Teddy de Montreal a écrit : ↑mer. févr. 09, 2022 6:00 pmToi t’es pas du genre à applaudir quand le pilote de ligne pose l’avion
Parfaitement. Je n'applaudis pas non plus quand un routier livre sa marchandise intacte, et pourtant c'est plus compliqué à faire
Dans le cadre de Nato Response Force 22, au moins 8 Rafale sont prêts à partir en mission dans un délai rapide. Ces 8 biréacteurs se ventileraient à priori entre deux appareils en version reconnaissance (avec pod Reco-NG), trois en supériorité aérienne (avec missiles Mica et Meteor) et trois dans la mission air-sol, avec une variété très large de munitions possibles.
C'est une des capacités majeures réservées dans le cadre de la Nato Response Force 22 (dont possiblement d'opération en Europe de l'est : selon nos sources, 8 Rafale sont prêts à partir en mission dans un délai de moins bien inférieur à cinq jours). En fait, ce sera évidemment beaucoup moins si la France respecte ses engagements et que les critères d'engagements sont aussi cochés.
L'Armée de l'Air et de l'Espace mobiliserait 900 aviateurs, sur les 7700 Français, pour un total de 20 000 militaires. Les 8 appareils (3 Mirage 2000D et 3 Rafale étaient prévus à l'origine, et 6 Rafale dans le groupe initial de forces de 2e échelon, avec un avion de transport et d'assaut) se ventileraient à priori entre deux appareils en version reconnaissance (avec pod Reco-NG), trois en supériorité aérienne (avec missiles Mica et Meteor) et trois dans la mission air-sol, avec une variété très large de munitions possibles.
L'armée de l'air et de l'espace pourra aussi fournir quatre avions de transport et d'assaut, un avion SIGINT Gabriel et un hélicoptère Caracal de récupération de personnel isolé. Enfin, l'AAE met son nouveau CAPCO, son centre air de planification et de conduite des opérations dans cette Nato Response Force, avec une capacité de réaliser 350 sorties par jour. Mais il est vraisemblable que les principaux JFAC (Joint Forces Air Command) permanents de l'OTAN prendront la relève en cas d'opération à l'est.
Oui, enfin, le démonstrateur Rafale a été lancé fin 1982, dans la configuration qu'on lui connaît.
Oui, tout ça, en effet. Avec sans doute aujourd'hui une priorité pour la réduction de la SER, à condition de les implanter avec un angle... pas comme sur le F-15Clang a écrit : ↑dim. févr. 20, 2022 3:44 pmD’après ce que j’ai pu lire :
-Encombrement inférieur : deux dérives seront moins hautes/épaisses qu’une seule, réduisant également le stress induit au fuselage, discrétion radar améliorée etc…
-Redondance en cas de dommages subit au combat
-Meilleure aptitude à contrer la poussée dissymétrique en cas de panne moteur (sur biréacteur donc)
-Plus de place pour mettre des équipements ECM, RWR etc…
Après je n’ai pas les compétences pour juger de la pertinence de ces arguments.
En avantage de la config mono dérive on pourrait citer la possibilité d’y loger un réservoir de carburant, toujours en raison de l’épaisseur. (Mirage 4000 notamment)
Merci, je ne connaissais pas cette image là.
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Aujourd’hui, la multiplication des contrats à l’export change complètement la donne. Pour répondre à la demande, Thales envisage de produire jusqu’à une cadence de 4,5 équipements par mois, contre 2,5 actuellement. Si le groupe reconnaît qu’il s’agit d’un bond dans l’inconnu en termes d’industrialisation, il ne laisse rien au hasard.
La montée en puissance se fera progressivement pour adapter l’outil industriel et réaliser les embauches nécessaires. Il faut ainsi un an par exemple pour passer d’une cadence de 2,5 éléments produits par mois à 3,5 par mois et autant pour franchir le palier suivant. Thales prévoit donc d’atteindre la cadence 4,5 à l’horizon 2025.
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Ca va demander des efforts partout, mais c'est une "bonne maladie" !Deltafan a écrit : ↑mar. mars 01, 2022 1:34 pmArticle L'usine Nouvelle, avec le titre : Embauches, investissements industriels... Comment Thales s’organise pour répondre aux ventes record du Rafale à l’export
https://www.usinenouvelle.com/article/e ... t.N1786252
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Aujourd’hui, la multiplication des contrats à l’export change complètement la donne. Pour répondre à la demande, Thales envisage de produire jusqu’à une cadence de 4,5 équipements par mois, contre 2,5 actuellement. Si le groupe reconnaît qu’il s’agit d’un bond dans l’inconnu en termes d’industrialisation, il ne laisse rien au hasard.
La montée en puissance se fera progressivement pour adapter l’outil industriel et réaliser les embauches nécessaires. Il faut ainsi un an par exemple pour passer d’une cadence de 2,5 éléments produits par mois à 3,5 par mois et autant pour franchir le palier suivant. Thales prévoit donc d’atteindre la cadence 4,5 à l’horizon 2025.
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Command and Reporting Center. C'est l'équivalent OTAN de nos CDC Français (Centre de Détection et de Contrôle), c'est à dire les entités chargées de l'identification des aéronefs et du contrôle moyenne et haute altitude des aéronefs militaires (dont ceux de la PO/QRA).
Quel est le sens de ton intervention ? Le F-16 fait aussi bien, le Typhoon fait mieux, ainsi que le Flanker, F-15, F-18...
