Crash d'un Mirage 2000-5
#76
C'est pas du respect que tu demandes, c'est de la tolérance uni-latérale à ton orthographe plus qu'approximative sur des points inexcusables (pas de "s" à un mot au pluriel ou le contraire un "s" à un mot au singulier, fautes de conjugaison élémentaires au présent de l'indicatif et le pire du pire certains mots ou groupes de mots en style SMS) :(
"Et c'est à cet instant qu'il vit la Mort arriver, chevauchant une plaine de feu pour s'emparer de son âme..." Tom Clancy - Les dents du tigre
#77
Je confirme. Il y a une association en france qui ne s'occupe que de ça.III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit :Retrouver l'avion 30 ans après, j'ai un doute....
Elle receuille des informations auprès du voisinage sur le lieu du crash.
Les crashs (WWII) évidement. Ils ont retrouvés sous plusieurs mètres des
bombardiers, des fighters, allemands etc... Sur le site de cette assiosiation
tu as des articles sur l'enquête qui a menée à la redécouverte des appareils.
-
- Chef de patrouille
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#78
Sans vouloir être désagréable, un minimum de relecture serait aussi une bonne preuve de respect vis à vis des lecteurs susceptibles de lire tes posts.spad 13 a écrit :oui mais prendre une personne comme elle est fais parti du respect , quand je suis arrivé sur ce forum je n'ai pas regardé votre orthographe.
Justement, je trouve que Snake fait preuve de tact en te demandant ça très poliment...en plus le tact c'est pas tons fort
Et pas besoin de s'outrer pour si peu, il n'y a pas de censure, ni de mise au pilori
#79
Des leçon que des leçon c’est très facile croyais vous que vous faite preuve de respect la, il n’y a pas des problème plus grave que sa j’ai juste fais quelque faut d’orthographe
A VOUS TOUS, A QUI NOUS DEVONS TANT, ET SUR QUI L'OUBLI TOMBE SI VITE, JE DEDIE AFFECTUEUSEMENT CES PAGES QUE VOUS AVEZ VECUES...
PIERRE CLOSTERMAN
LE GRAND CIRQUE.
asus K8N Delux/AMD Athlon 64 3400+/Sapphire Radeon X1950pro 512mo/1Go DDR400 corsaire/boîtier Antec SLK 1650/Ecran LCD sonic 17"/Saitek Aviator.
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#80
bon on va revenir au sujet initial et ouvrir un besherel pour ceux qui en ont besoin, sinon ca sera fermeture et devoirs a la maison
#avionmoche : Mais le F35 reste moche ...
#81
Oui je suis plus que d’accord, Mais bon pour changé de sujet pour le mirage III cette accident a eu lieu a papelissier prés de romans sur isere vous savait ! les usine jourdan
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#82
Mhm...mhm a écrit :Je confirme. Il y a une association en france qui ne s'occupe que de ça.
Elle receuille des informations auprès du voisinage sur le lieu du crash.
Les crashs (WWII) évidement. Ils ont retrouvés sous plusieurs mètres des
bombardiers, des fighters, allemands etc... Sur le site de cette assiosiation
tu as des articles sur l'enquête qui a menée à la redécouverte des appareils.
Il y a quand même une sacrée différence entre ce Mirage III et les centaines d'avions disparus de la 2ème GM. Pour le premier, il est nettement plus facile de lancer des recherches s'il est porté disparu.
Pour ma part, tant que l'on aura pas de précision sur l'appareil et l'accident, date de la disparition etc, ce fait reste douteux, avec peut être un fond de vérité. Les faits sont parfois très rapidement déformés, même si racontés de bonne foi.
#83
Bécherelle, peut être?El_Knell a écrit :bon on va revenir au sujet initial et ouvrir un besherel pour ceux qui en ont besoin, sinon ca sera fermeture et devoirs a la maison
Oui, je sais, pas de fautes aux noms propres.
Bon, aller, je me sauve vérifier que je n'ai pas trop fait de fautes dans mes posts récent.
Je confirme. Il y a une association en france qui ne s'occupe que de ça.
Elle receuille des informations auprès du voisinage sur le lieu du crash.
Les crashs (WWII) évidement. Ils ont retrouvés sous plusieurs mètres des
bombardiers, des fighters, allemands etc... Sur le site de cette assiosiation
tu as des articles sur l'enquête qui a menée à la redécouverte des appareils.
mmmmmmm, il y a une différence entre les avions perdu en période de guerre (Un crash en temps de guerre, quelle qu'en soit la raison, ça ne fait guère qu'un de plus) et un avion d'arme en temps de paix.
D'autant qu'en temps de paix, tout accident est suivi d'une enquête...
A la limite, je comprendrai si l'avion s'était crashé en plein coeur de la Guyane, mais en métropole, j'ai un très gros doute.
#84
tout à fai thierry :laugh: J'ai un peu décallé mon commentaire du thread.III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit : mmmmmmm, il y a une différence entre les avions perdu en période de guerre (Un crash en temps de guerre, quelle qu'en soit la raison, ça ne fait guère qu'un de plus) et un avion d'arme en temps de paix.
D'autant qu'en temps de paix, tout accident est suivi d'une enquête...
A la limite, je comprendrai si l'avion s'était crashé en plein coeur de la Guyane, mais en métropole, j'ai un très gros doute.
Mais je vous rejoins : ça me parait improbable que cet avion soit resté là.
Sans doute que notre spad confond avec un warbird... , non ?
#86
Salut à tous !!
je poste pas souvent mais je suivais cette histoire d'un coin de l'oeil... et grâce aux précisions de notre spad j'ai pu trouver quelque chose sur google ( et oui google est notre ami !!)
Alors que les modos jettent un oeil si il y a un probleme de droits mais cela proviens d'un article du Dauphiné
Je cite : "Le Dauphiné
Edition du 14/05/2005
FOUILLES INSOLITES
Ils creusent la terre pour retrouver l'avion
Gensi HOXHA
DROME Derniers coups de pelle pour récupérer les débris d'un Mirage III qui s'était crashé en 1967 dans un champ de Chatuzange-le-Goubet
Fouilles insolites sur la commune de Chatuzange-le-Goubet, dans la Drôme. Depuis mardi, les hommes de la 3e compagnie du 25e régiment de l'armée de l'air basé à Istres retournent un champ situé au hameau de Papelissier, là où, le 23 juin 1967, s'était écrasé un Mirage III de la base aérienne d'Orange.
Deux sous-officiers du groupe régional d'intervention, de neutralisation et d'enlèvement des explosifs (Nedex) ont tout d'abord mis 48 heures pour localiser les morceaux de l'épave. Des fouilles plus localisées ont ensuite permis aux militaires de récupérer en l'espace de deux jours tous les débris de l'avion dans le champ de Mme Monique Vey, une Crestoise qui a remué ciel et terre pendant près de deux ans pour faire enlever cette épave.
Précisons qu'en 1967, seuls 500 kilos sur les 6,5 tonnes de l'appareil avaient été récupérés. «Mon père ne savait pas à l'époque ce que son terrain allait devenir; d'autant qu'il le cultivait un peu», confie Monique Vey. «Je savais pertinemment que nous retrouverions les restes de cet avion. J'y croyais dur comme fer. Alors même que mon mari n'en était pas persuadé».
Il s'est avéré que les débris du Mirage, cachés à environ trois mètres sous terre, étaient enterrés en périphérie du champ.
«Au départ, l'écho que nous recevions était faible, confie l'adjudant-chef Despret. Nous étions en passe d'y perdre notre latin, lorsque nous avons détecté un bout de tôle de l'appareil».
Dès lors, tout est allé très vite. «En deux coups de godet, nous avons trouvé les premiers débris, explique le lieutenant Laforce, directeur des opérations. Quand nous avons creusé, nous avons même senti une odeur de kérosène 38 ans après».
Tandis que la pelleteuse continuait à creuser hier en début de matinée, les militaires ont retrouvé, grâce à un détecteur, la manette des gaz enfouie dans le monticule de terre extrait du champ. Les soldats déterrant enfin les derniers éléments de l'appareil, un bout d'aile, les canons, une partie du cockpit, quelques obus d'exercice, ainsi que le radar. La propriétaire du champ récupérant même, à titre de souvenir, deux débris de l'appareil.
L'opiniâtreté a fini par payer. Les militaires ayant récupéré l'épave, il ne leur reste plus qu'à refermer les tranchées et le trou de 7 mètres de large sur 10 de long, stabiliser le terrain. Ce qui devrait être terminé dans le courant de la semaine prochaine. Pour que l'Immobilière de la vallée du Rhône, en passe d'acquérir ce champ, puisse enfin l'aménager... "
Voila, si cela peux faire avancer un peu les choses.
je poste pas souvent mais je suivais cette histoire d'un coin de l'oeil... et grâce aux précisions de notre spad j'ai pu trouver quelque chose sur google ( et oui google est notre ami !!)
Alors que les modos jettent un oeil si il y a un probleme de droits mais cela proviens d'un article du Dauphiné
Je cite : "Le Dauphiné
Edition du 14/05/2005
FOUILLES INSOLITES
Ils creusent la terre pour retrouver l'avion
Gensi HOXHA
DROME Derniers coups de pelle pour récupérer les débris d'un Mirage III qui s'était crashé en 1967 dans un champ de Chatuzange-le-Goubet
Fouilles insolites sur la commune de Chatuzange-le-Goubet, dans la Drôme. Depuis mardi, les hommes de la 3e compagnie du 25e régiment de l'armée de l'air basé à Istres retournent un champ situé au hameau de Papelissier, là où, le 23 juin 1967, s'était écrasé un Mirage III de la base aérienne d'Orange.
Deux sous-officiers du groupe régional d'intervention, de neutralisation et d'enlèvement des explosifs (Nedex) ont tout d'abord mis 48 heures pour localiser les morceaux de l'épave. Des fouilles plus localisées ont ensuite permis aux militaires de récupérer en l'espace de deux jours tous les débris de l'avion dans le champ de Mme Monique Vey, une Crestoise qui a remué ciel et terre pendant près de deux ans pour faire enlever cette épave.
Précisons qu'en 1967, seuls 500 kilos sur les 6,5 tonnes de l'appareil avaient été récupérés. «Mon père ne savait pas à l'époque ce que son terrain allait devenir; d'autant qu'il le cultivait un peu», confie Monique Vey. «Je savais pertinemment que nous retrouverions les restes de cet avion. J'y croyais dur comme fer. Alors même que mon mari n'en était pas persuadé».
Il s'est avéré que les débris du Mirage, cachés à environ trois mètres sous terre, étaient enterrés en périphérie du champ.
«Au départ, l'écho que nous recevions était faible, confie l'adjudant-chef Despret. Nous étions en passe d'y perdre notre latin, lorsque nous avons détecté un bout de tôle de l'appareil».
Dès lors, tout est allé très vite. «En deux coups de godet, nous avons trouvé les premiers débris, explique le lieutenant Laforce, directeur des opérations. Quand nous avons creusé, nous avons même senti une odeur de kérosène 38 ans après».
Tandis que la pelleteuse continuait à creuser hier en début de matinée, les militaires ont retrouvé, grâce à un détecteur, la manette des gaz enfouie dans le monticule de terre extrait du champ. Les soldats déterrant enfin les derniers éléments de l'appareil, un bout d'aile, les canons, une partie du cockpit, quelques obus d'exercice, ainsi que le radar. La propriétaire du champ récupérant même, à titre de souvenir, deux débris de l'appareil.
L'opiniâtreté a fini par payer. Les militaires ayant récupéré l'épave, il ne leur reste plus qu'à refermer les tranchées et le trou de 7 mètres de large sur 10 de long, stabiliser le terrain. Ce qui devrait être terminé dans le courant de la semaine prochaine. Pour que l'Immobilière de la vallée du Rhône, en passe d'acquérir ce champ, puisse enfin l'aménager... "
Voila, si cela peux faire avancer un peu les choses.
#87
et bien desolé Spad,
c'est quand meme treeeeeeeeeeeees etrange de laisser le reste de l'avion la et apparement des pieces du pit alors qu'en un ou deux coups de grue ils auraient sûrement pu retirer une tres grosse partie de l'avion.
Quelle histoire !
c'est quand meme treeeeeeeeeeeees etrange de laisser le reste de l'avion la et apparement des pieces du pit alors qu'en un ou deux coups de grue ils auraient sûrement pu retirer une tres grosse partie de l'avion.
Quelle histoire !
AthlonXP 2600+barton, K7 Triton (Gygabite), 1024MO ddr3200 (Kingston), Nvidia FX6600GT 126MO (Asus) 81.87, XP prof., LOMAC 1.12a, X45 (Saitek), Pedal Pro-USB (CH)
#88
OUi tres etrange, par contre ils ne parlent pas du pilote... donc je ne pense pas qu'il soit resté dedans comme on a pu le lire ici. ( heureusement )
#89
Il suffit de chercher les circonstances du crash et de ce qu'il advenu du pilote. Mais en aucun cas on aurait laissé le corps du pilote 30 ans là.
#91
Pourquoi? Pas de pilote, et appareil en petits morceaux, et c'est çà dont tout le monde doutait.
#93
Moi je trouve que tu as mal lu cette discussion.
Franck
Sasai
No Stress
Et moi même, on a tous mis en doute, la présence du pilote ou l'état de l'appareil
Franck
Spad tu imagines l'energie qu'il faut pour enterrer un mirage.....
je doute de plus que l'Armée de l'Air laisse un Mirage III est son pilote dans la nature.
Sasai
au meilleur des cas tu peux retrouver des debris mais de la à retrouver l'avion entier et meme le pilote
No Stress
Bizarre ça, que l'Armée de l'Air mette 30 ans pour récuperer les restes d'un pilote.
Et moi même, on a tous mis en doute, la présence du pilote ou l'état de l'appareil
#96
bhen désolé spad d'avoir mis ta parole en doute. Tu reconnaîtras la légitimitéspiral a écrit :je crois que certaines personnes devrait tout de meme dire un ptit "sorry" a SPAD non???
de notre étonnement.
#97
spiral a écrit :exact je ne pense pas avoir mal lut la discussion...
Alors je vais t'aider
deux metre sous terre au moment du choc par malheur le pilot est mort dans sont avion
Le plus extraordinair c'est que l'avion ne c'est pas desintegré il et just rentrait sous terre
j'ai dit qu'il etait dans un etat remarquable pour le choc qu'il avait reçut
et le pilot avec qui etait resté avec la carcasse
Mets maintenant ca en relation avec les extraits que j'ai donné plus haut et l'article du Dauphiné.
Comme je l'avais précisé, des faits déformés avec un fond de vérité. Pas de pilote mort dans l'épave, un avion en débris, en morceaux. Ce seul fait correct, les restes d'un avion que l'Armée de l'Air n'avait pris la peine de déterrer en ne récupérant que les débris en surfaces.
Tu comprendras donc que l'ensemble de l'histoire est assez loin de la réalité...
#98
Merci mais en se qui consterne le pilot est le faite qu’il soit resté mort dans l'avion n’était qu’une légende le pilot avait pu s’éjecter. Mais voila pour le plaisir de tous des précisions sur les condition , a l’époque , l’armé n’avait récupéré que 500 kg de débris laissant les 6,5 tonnes de masse métallique restantes à l’endroit du point d’impact ; plus précisément a 4 mètre sous terre . Les deux canons de cet avion de chasse avaient été chargé chacun de 125 obus de 30mm a ogive perforante et non explosive. Ces munitions ne comprenant que la de poudre suffisante a leur propulsion. Néanmoins, la dépollution des sites a nécessité l’intervention de démineurs. Aujourd’hui , après environ un mois de travail coordonné par le lieutenant Laforce , les débris du mirage III ont été retirés et la propriété de Monique Vey a été nettoyée des vestige de ce crache aérien.
PS : l’histoire que j’ai raconté n’était pas a 100% vrais cars elle provenais d’une rumeur sur un autre forum au quelle s’ajouter des extrais d’article de journal
PS : l’histoire que j’ai raconté n’était pas a 100% vrais cars elle provenais d’une rumeur sur un autre forum au quelle s’ajouter des extrais d’article de journal
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#99
La vraie question surtout, c'est de savoir pourquoi l'AA a laissé l'épave sur place à l'époque du crash.
Généralement ce sont des gens assez propres, soigneux même et tout est récupéré pour l'enquête.
Le proprio du champ n'a rien dit non plus ?
Ca fait désordre quand même d'avoir un mirage III crashé au fond du jardin, même si un bonne partie est enterrée.
Signé Werner, truffe qui aime bien faire le ménage
Généralement ce sont des gens assez propres, soigneux même et tout est récupéré pour l'enquête.
Le proprio du champ n'a rien dit non plus ?
Ca fait désordre quand même d'avoir un mirage III crashé au fond du jardin, même si un bonne partie est enterrée.
Signé Werner, truffe qui aime bien faire le ménage
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- Banni
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#100
Je confirme que suite à une panne bien identifiée, le pilote avait pu s'éjecter.
Les causes de l'accident ayant pu être clairement établies à partir du récit du pilote et des débris retrouvés en surface, l'AdlA n'avait pas jugé utile de récupérer la carcasse profondément enfouie.
Surtout qu'apparemment le terrain n'était pas des plus accessibles aux moyens lourds nécessaires à l'époque.
Infos tirées d'une brochure de l'AdlA qui trainait au CIRAT de Marseille (elle s'était perdue ?) mardi dernier.
Quant à laisser la dépouille d'un pilote moisir dans un champ pendant 30 ans, effectivement faut être un peu léger des neurones pour croire que l'AdlA laisserait cela arriver...
Les causes de l'accident ayant pu être clairement établies à partir du récit du pilote et des débris retrouvés en surface, l'AdlA n'avait pas jugé utile de récupérer la carcasse profondément enfouie.
Surtout qu'apparemment le terrain n'était pas des plus accessibles aux moyens lourds nécessaires à l'époque.
Infos tirées d'une brochure de l'AdlA qui trainait au CIRAT de Marseille (elle s'était perdue ?) mardi dernier.
Quant à laisser la dépouille d'un pilote moisir dans un champ pendant 30 ans, effectivement faut être un peu léger des neurones pour croire que l'AdlA laisserait cela arriver...