Infos diverses sur les drones
Re: Infos diverses sur les drones
#177Bonne nouvelle
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Naaan, pas frapper, je déconne
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Re: Infos diverses sur les drones
#179
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Re: Infos diverses sur les drones
#180Article OPEX 360, avec le titre : Certaines bases aériennes françaises seraient « régulièrement survolées » par des drones indésirables
http://www.opex360.com/2022/07/30/certa ... esirables/
http://www.opex360.com/2022/07/30/certa ... esirables/
(...)
le général Frédéric Parisot, le major général de l’AAE, lors d’une audition parlementaire, le 20 juillet dernier. (:)
« La LPM en cours prévoit d’augmenter nos effectifs de 900 personnes entre 2023 et 2025 pour pouvoir honorer nos missions actuelles avec l’efficacité que nos concitoyens attendent. Ces 900 effectifs représentent trois quarts des augmentations des effectifs air prévus sur l’ensemble de la LPM. Une révision à la baisse de ces objectifs ne serait pas soutenable », a continué le MGAAE.
Interrogé sur la répartition de ces 900 postes, le général Parisot a répondu qu’ils seraient orientés vers l’espace et le cyber, mais aussi « vers le commandement et le contrôle » [C2], notamment au Centre air de planification et de conduite des opérations [CAPCO] de Lyon, ainsi que vers « des spécialités un peu trop élaguées au moment de la révision générale des politiques publiques », dont celle des fusiliers commandos de l’Air.
(...)
cet effort en faveur des fusiliers commandos de l’Air vise à accroître la protection des emprises de l’AAE et à renforcer la lutte anti-drones, qui « devient une mission à part entière, tant pour protéger les grands événements que nos bases aériennes dont certaines sont survolées très régulièrement », a-t-il expliqué.
Et d’ajouter : « Cela nous laisse à penser que les ‘agresseurs’ sont bien renseignés, ou ont une bonne idée de ce qui se passe sur la base aérienne ».
Cela d’autant plus que, pour l’AAE, la base aérienne est pensée comme un « outil de combat » à part entière.
L’audition du MGAAE s’étant déroulée à huis clos, son compte-rendu a probablement été expurgé des éléments n’ayant pas vocation a être mis sur la place publique. Aussi, on n’en saura guère plus sur ces drones qui s’intéressent d’un peu trop près à certaines bases [qui ne sont pas nécessairement celles à vocation nucléaire, ces survols pouvant concerner celles abritant des radars – comme par exemple, le détachement air 928 de Brest-Loperhet – ou celles implantées en outre-Mer et à l’étranger].
Cela étant, un rapport publié par le Sénat en novembre 2019 avait évoqué des « actions de reconnaissance des emprises militaires par des individus aux motivations présentant un risque » qui étaient alors « très fréquentes ». Mais là encore, ses auteurs se gardèrent d’entrer dans les détails.
Peut-être que ces survols dont le général Parisot a fait état ont un lien avec un phénomène observé au Royaume-Uni, impliquant probablement le renseignement chinois… Ainsi, selon un rapport obtenu par le quotidien « The Daily Record » en vertu de la loi britannique sur la liberté d’information, 18 vols de drones ont été constatés entre 2019 et 2021, aux abords de sites sensibles d’outre-Manche, en particulier dans les environs de la base navale de Faslane, qui abrite les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins [SNLE] de la Royal Navy.
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Re: Infos diverses sur les drones
#181cet effort en faveur des fusiliers commandos de l’Air vise à accroître la protection des emprises de l’AAE et à renforcer la lutte anti-drones, qui « devient une mission à part entière
A l'époque, dans le début des années 80, les effectifs cocoïs étaient jugés trop importants (il était même question de les remplacer par des vigiles civils, comme le Carrouf du coin). Quand on a créé la spé SDSA (Section Défense Sol-Air, regroupant bitubes et Crotales) en 87/88 (de mémoire), on a pris en priorité des cocoïs qui, je le rappelle, s'occupaient des bitubes, ce qui a permis 1/ de dégraisser leurs rangs, et 2/ de recycler les accidentés qui n'avaient plus leur habilitation TAP.
Aujourd'hui, alors qu'ils sont en manque d'effectifs (certains ont même du faire leurs sauts pendant leurs PLD) on parle de d'ajouter une corde à leur arc, "une mission", en les formant à l'anti-drone. Le résultat est prévisible : formés par ces cocoïs "purs", cette mission ne sera pas considérée comme prioritaire (il faut du temps pour faire de l'instruction) et laissée plus ou moins de côté. Seule une toute petite minorité aura un socle de connaissances allant de moyennes à bonnes. Un jour il y aura une grosse m... et on se rendra compte qu'il y a un gros trou dans la raquette. Ca va gueuler, il y aura des mesures à la va-vite mais le mal sera fait.
La meilleure solution est de créer une spé toute neuve et lui accorder personnels et fonds en surfant sur la crainte de cette nouvelle menace. En attendant, il faut refiler le bébé aux sections SDSA qui, à mon avis, sont plus qualifiées que les unités de protection "sol".
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Re: Infos diverses sur les drones
#182En plus il ne sauront jamais se servir du matériel !Milos a écrit : ↑dim. juil. 31, 2022 2:30 pmA l'époque, dans le début des années 80, les effectifs cocoïs étaient jugés trop importants (il était même question de les remplacer par des vigiles civils, comme le Carrouf du coin). Quand on a créé la spé SDSA (Section Défense Sol-Air, regroupant bitubes et Crotales) en 87/88 (de mémoire), on a pris en priorité des cocoïs qui, je le rappelle, s'occupaient des bitubes, ce qui a permis 1/ de dégraisser leurs rangs, et 2/ de recycler les accidentés qui n'avaient plus leur habilitation TAP.
Aujourd'hui, alors qu'ils sont en manque d'effectifs (certains ont même du faire leurs sauts pendant leurs PLD) on parle de d'ajouter une corde à leur arc, "une mission", en les formant à l'anti-drone. Le résultat est prévisible : formés par ces cocoïs "purs", cette mission ne sera pas considérée comme prioritaire (il faut du temps pour faire de l'instruction) et laissée plus ou moins de côté. Seule une toute petite minorité aura un socle de connaissances allant de moyennes à bonnes. Un jour il y aura une grosse m... et on se rendra compte qu'il y a un gros trou dans la raquette. Ca va gueuler, il y aura des mesures à la va-vite mais le mal sera fait.
La meilleure solution est de créer une spé toute neuve et lui accorder personnels et fonds en surfant sur la crainte de cette nouvelle menace. En attendant, il faut refiler le bébé aux sections SDSA qui, à mon avis, sont plus qualifiées que les unités de protection "sol".
Re: Infos diverses sur les drones
#183Article Futura Sciences du 21 juin, avec le titre : L'armée américaine veut ravitailler ses drones par rayon laser
https://www.futura-sciences.com/tech/ac ... ser-99151/
Article RFI du 21 juillet, avec le titre : Israël: l’armée reconnaît avoir utilisé des drones armés pour des attaques ciblées
https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/2022 ... bl%C3%A9es
https://www.futura-sciences.com/tech/ac ... ser-99151/
(...)
Maintenir les drones en l'air en rechargeant durant leur vol leurs batteries, voici le projet de la Darpa américaine, la branche des technologies émergentes du Pentagone. Le nouveau programme appelé Airborne Energy Wells consiste à transformer les avions ravitailleurs en chargeurs géants et volants pour les drones électriques.
Contrairement aux avions et hélicoptères qui nécessitent de se raccorder au ravitailleur pour faire le plein en carburant, les drones pourraient être rechargés via un faisceau laser. La Darpa consulte les entreprises qui pourraient être susceptibles d'équiper les ravitailleurs KC-135 et KC-46 Pegasus de l'Air Force avec une nacelle équipée de cette alimentation au laser sous les ailes. La puissance de ce laser pourrait culminer à 100 kilowatts. En plus de cette nacelle, un système de contrôle thermique qui enfermerait le dispositif laser se logerait dans la carlingue du ravitailleur. En offrant la possibilité de recharger les drones, en plus d'augmenter leur autonomie en vol, la Darpa compte également les délester en batteries pour qu'ils puissent être un peu plus polyvalents et embarquer plus de capteurs ou d'armes.
Recharger un aéronef en vol n'est pas une mince affaire et la Darpa le sait. Les interférences atmosphériques des nuages et des précipitations influent sur la puissance des faisceaux laser. Les problèmes de régulation thermique du système laser sont également importants, ainsi que la masse de l'émetteur et du récepteur. Les travaux sur la recharge laser ne sont pas nouveaux pour l'armée de l'air américaine.
Dès 2011, des projets menés par la Nasa sur ces systèmes ont été entrepris. Ces dernières années, des tests de recharge à distance ont déjà eu lieu avec des lasers de 2 kilowatts, qui transmettaient de l'énergie sur une distance d'environ 300 mètres. Aujourd'hui, la Darpa monte d'un cran cette ambition avec des recherches sur un système capable de délivrer 50 fois plus de puissance sur des distances de transmission beaucoup plus grandes.
Article RFI du 21 juillet, avec le titre : Israël: l’armée reconnaît avoir utilisé des drones armés pour des attaques ciblées
https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/2022 ... bl%C3%A9es
(...)
C’était un peu un secret de Polichinelle, mais l’armée israélienne reconnaît désormais faire usage de drones armés pour des attaques ciblées. Une information qui, pendant trente ans, était classée « confidentiel défense » par les autorités militaires israéliennes.
C’est le Premier ministre Yitzhak Rabin qui, dans les années 1990, avait opté pour cette option d’armement destinée au départ à détruire les tanks ennemis en subissant le moins de pertes possibles. Une leçon tirée du traumatisme occasionné par la guerre du Kippour en 1973. Mais les drones offensifs israéliens ont également servi à l’élimination de responsables du Hezbollah et du Hamas, notamment Ahmed Jabari à Gaza en 2012.
Le drone de prédilection de l’armée israélienne est le Hermes 450, capable de survoler des cibles pendant des heures et de frapper le moment venu de manière précise. Israël possède des drones armés de toutes tailles et de toutes portées. Pionnier dans ce domaine, l’État hébreu a vendu récemment 140 drones armés de type Héron à l’Allemagne et vient de conclure une transaction avec le Maroc portant sur les drones suicides Harop d’une portée de 1 000 km. Ce véhicule aérien de combat sans pilote est surnommé « munition rôdeuse ».
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Re: Infos diverses sur les drones
#184Article A&C (du 11 juillet), avec le titre : L'Inde fait voler son drone SWiFT pour la première fois
https://air-cosmos.com/article/l-inde-f ... fois-42175
Article Defense News (du 22 juillet), avec le titre : Airbus’ Zephyr drone breaks flight record high above Arizona
https://www.defensenews.com/unmanned/20 ... e-arizona/
https://air-cosmos.com/article/l-inde-f ... fois-42175
(...)
Le projet de drone armé Ghatak continue de progresser, alors que le gouvernement indien faisait voler pour la première fois une version réduite de l'appareil. Nommé SWiFT, (Stealth Wing Flying Testbed, "banc d'essai de vol furtif"), le prototype a décollé le 1er juillet depuis la base aérienne de Chitradurga, située dans le sud de l'Inde.
(...)
Le vol a été opéré par l'Aeronautical Development Establishment, filiale de l'Organisation pour la recherche et le développement militaire (DRDO). Durant plusieurs dizaines de minutes, l'aéronef a donc décollé, navigué en altitude avant d'atterrir sur la même piste. Le SWiFT possède une architecture furtive ressemblant au bombardier B-2 Spirit de Northrop Grumman, The Defense Post rapportant une longueur de 3,96 mètres pour une largeur de 4,8 mètres. La version testée le 1er juillet était propulsée par un turboréacteur à double-flux 36MT manufacturé par la firme russe NPO Saturn.
Ce premier vol réussi du SWiFT devrait permettre au Ministère de la Défense d'assurer la continuité du projet Ghatak. Ce dernier a débuté en 2013, suivant une consultation de l'Armée de l'air indienne sur le sujet des drones de combat. En 2016, le gouvernement accordait une enveloppe de 35 millions d'euros à la DRDO pour concevoir le futur drone furtif. Une fois complété, ce dernier sera principalement attribué aux forces aériennes indiennes. Plus massif que son variant SWiFT, le Ghatak pourrait voler grâce à un turboréacteur à double-flux GTS-35Vs Kaveri de la société indienne GTRE. Une différence majeure le distingue de son pendant russe : le GTS fonctionne à postcombustion, permettant ainsi d'augmenter la poussée durant une période déterminée. Le Ghatak sera armé de missiles de croisière ou encore de bombes à guidage laser. Peu de spécifications permettent de déterminer la potentielle portée maximale du futur appareil, qui atteindrait une altitude de presque 10 000 mètres.
La réussite du vol-test de SWiFT n'est que le début d'une série d'essais destinés à analyser le comportement et les données du drone une fois en altitude. Un scientifique anonyme du DRDO aurait rapporté au média anglo-saxon Defense News que l'organisme nécessiterait une dizaine de vols supplémentaires pour déterminer de la fiabilité et de la durabilité du drone. Le premier prototype standardisé du Ghatak ne sera pas testé avant 2025.
Article Defense News (du 22 juillet), avec le titre : Airbus’ Zephyr drone breaks flight record high above Arizona
https://www.defensenews.com/unmanned/20 ... e-arizona/
The solar-powered Zephyr drone beat its own record for time spent aloft as an uncrewed aircraft system, with 36 days completed so far, and counting, according to Army Futures Command.
AFC’s Assured Positioning, Navigation and Timing/Space Cross-Functional Team launched the aircraft on June 15 and it remains deployed some 70,000 feet over Arizona. The pilotless aircraft previously set the longevity record at about 26 days in 2018.
The first stratospheric UAS of its kind, Zephyr can fly continuously for months at a time, far above weather and conventional air traffic. It has a wingspan of just over 82 feet — longer than 2 school buses placed end-to-end, but weighs less than 166 pounds.
The test aims to assess the aircraft’s durability and energy storage capacity. Powered by solar energy, the Zephyr is considered a performance heavyweight in ultra-light aircraft. It can be used for surveillance and intelligence gathering, with a wide visual payload coverage of 20 by 30 kilometers (12.4-18.6 miles). The drone can also be equipped with radar, lidar and infrared technologies to expand its capabilities.
(...)
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Re: Infos diverses sur les drones
#185Première images du Mojave armé. Ici avec 16 Hellfire
Plus d'infos ici
https://www.ga-asi.com/remotely-piloted-aircraft/mojave
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Re: Infos diverses sur les drones
#187Article Meta Défense, avec le titre : La Corée du Sud lance le développement d’une famille de drones de combat furtifs
https://meta-defense.fr/dossiers/forces/fairforce/
https://meta-defense.fr/dossiers/forces/fairforce/
(...)
Le 12 aout, l’Agence coréenne de développement de La Défense a annoncé le lancement d’un nouveau programme, attribué à la société Korean Air, en vue du développement d'une famille de drones de combat furtifs capables d’assister les avions de combat mais également d’évoluer de manière autonome en zone contestée, dans le cadre d’un super-programme visant à développer des technologies de défense innovante. Selon le site du constructeur, les travaux concernant la conception initiale du programme débutèrent en novembre dernier, et furent menés à leur terme avant l’annonce officielle de l’ADD. L’objectif visé par le programme est de permettre à 3 ou 4 drones furtifs d’évoluer sous le contrôle d’un unique appareil piloté, et comprend notamment les interfaces de connexion et de contrôle entre appareils pilotés et autonomes, mais également de doter les drones de capacités avancées en matière d’intelligence artificielle pour mener des actions autonomes. Pour l’heure, aucune information n’a été publiée concernant le calendrier du programme, son budget ou encore les capacités opérationnelles visées. Les images d’illustration publiée par Korean Air montre un drone furtif proche dans sa forme et ses dimensions du Valkyrie américain, sans que l’on puisse déterminer les performances visées ou les capacités d’emport de ces drones.
(...)
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Re: Infos diverses sur les drones
#188Article Avions Légendaires, avec le titre : L’US Army sélectionne le Jump 20 d'aerovironment comme futur dronne de reconnaissance standard
https://www.avionslegendaires.net/2022/ ... -standard/
https://www.avionslegendaires.net/2022/ ... -standard/
C’est un marché estimé à entre 300 et 500 machines pour les quinze années à venir. La semaine dernière l’US Department of Defense a confirmé que l’avion sans pilote à décollage vertical AeroVironment JUMP 20 allait entrer en service prochainement dans l’US Army. Destiné à la reconnaissance tactique autant qu’à l’observation de zones urbaines ce drone remplacera donc l’AAI RQ-7B Shadow actuellement en service. Il est annoncé comme bien plus silencieux et discret que son prédécesseur (...) (qui) avait atteint ses limites, principalement en matière de captation d’images infrarouges. C’est pourquoi le programme FTUAS, pour Future Tactical Unmanned Aircraft System, avait été lancé par le Pentagone.
C’est là qu’AeroVironment et son JUMP 20 entrent en jeu. Cet étonnant drone de nouvelle génération, dérivé de l’Arcturus T-20, permet des missions similaires mais avec un bien plus grand confort d’emploi grâce à ses décollages et atterrissages à la verticale. Pour cela il dispose de quatre petits rotors installés dans deux nacelles sous voilure tandis qu’un classique moteur tractif assure les déplacements horizontaux de l’engin. Destiné uniquement aux missions de reconnaissance et d’observation le JUMP 20 n’(emporte pas) d’armement, (...).
(Il est) capable de voler entre 14 et 15 heures dans un rayon de 185 kilomètres (...) (et ses) treize kilogrammes et demi d’équipements électro-optiques permettent des prises de vues d’images sous différents spectres dont l’infrarouge. On ignore actuellement quelle sera sa désignation
(...)
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Re: Infos diverses sur les drones
#189Le Drone Zephyr d'Airbus s’écrase dans le désert d'Arizona après 64 jours en vol.
https://simpleflying.com/airbus-zephyr-flight-ends/
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Re: Infos diverses sur les drones
#190Article Futura Sciences, avec le titre : La Turquie dévoile son nouveau drone supersonique, le Bayraktar Kizilelma
https://www.futura-sciences.com/tech/ac ... ma-100468/
Supersonique ; masse maximale de 3,5 tonnes (pour cette taille ?) ; 1700 kgp (si j'en crois les caractéristiques du réacteur équipant le L-39) ; utilisable sur porte-avions, par une société n'ayant aucune expérience en ce domaine.
Voilà un développement qu'il sera intéressant à suivre...
https://www.futura-sciences.com/tech/ac ... ma-100468/
(...)
la firme Bayraktar revient avec un modèle furtif, propulsé par un turboréacteur. Le drone est même motorisé par les Ukrainiens. Le prototype de l'aéronef vient d'être présenté sur un salon de l'aéronautique en Turquie.
(...)
Le second prototype de ce drone vient d'être présenté pour la première fois au Teknofest Black Sea, un salon de l'aéronautique qui se tient actuellement en Turquie.
Avec ce drone, c'est un changement radical de catégorie qu'opère la firme. L'aéronef, qui devrait faire son vol inaugural début 2023, sera furtif et doté d'un turboréacteur pouvant le pousser à près de 980 km/h en croisière à plus de 12.000 mètres d'altitude avec une pointe à Mach 1. (...) Son autonomie sera moindre que le TB2, puisque au lieu de 24 heures d'endurance, il sera limité à 5 heures.
Avec sa vélocité, son usage reste néanmoins différent et l'aéronef sera capable d'évoluer avec les capacités d'un avion de chasse, tout en restant furtif. La firme explique que l'aéronef sera doté d'une maniabilité « agressive » pour pouvoir mener de façon autonome des manœuvres d'évitement ou de combat rapproché grâce à son IA embarquée. Autrement dit, sur le papier, il serait capable d'affronter un avion de chasse. Il pourra également être employé en tant qu'ailier d'un avion de combat piloté. Même si le choix de la motorisation avait été pris avant l'invasion russe de l'Ukraine, c'est un turboréacteur ukrainien qui propulsera le drone. Il s'agira du Ivtchenko-Progress AI-25, un réacteur de conception soviétique qui équipe toujours l'avion d'entraînement tchécoslovaque Aero L-39 Albatros.
Le Bayraktar Kizilelma pourra embarquer jusqu'à 1,5 tonne de munitions et de charge utile. Sa masse maximale sera de 3,5 tonnes, ainsi ce drone promet d'être plus massif qu'un MQ-9 Reaper. Il pourra emporter des missiles air-air, air-sol et des missiles de croisière, avec la possibilité de les placer en soute pour conserver sa furtivité.
Autre particularité, le drone sera capable de décoller et de se poser sur un porte-avions, sans nécessiter de catapulte. Le premier vol du prototype baptisé MİUS volera à une vitesse proche de celle du son, mais les prochains modèles seront supersoniques.
Supersonique ; masse maximale de 3,5 tonnes (pour cette taille ?) ; 1700 kgp (si j'en crois les caractéristiques du réacteur équipant le L-39) ; utilisable sur porte-avions, par une société n'ayant aucune expérience en ce domaine.
Voilà un développement qu'il sera intéressant à suivre...
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Re: Infos diverses sur les drones
#191Je me pose une question qui pourra paraîtra bête : ce drone turque serait équipé du même moteur que le L-39. Le L-39 n'est pas (à ma connaissance) supersonique. Or, le drone le serait... cela ne pourrait-il pas être un problème ? l'enveloppe du moteur, qui a été conçu il y a pas mal d'années, le permet-elle ? Ou c'est juste une question de rapport poids/puissance ???
Re: Infos diverses sur les drones
#192Ca fait partie des questions que je me suis posées en lisant l'article. Ca n'est écrit nulle part, mais je me demande si les appareils opérationnels ne seront pas équipés d'un autre moteur, plus puissant et permettant à l'appareil d'être supersonique.Gaston a écrit : ↑jeu. sept. 01, 2022 1:27 pmJe me pose une question qui pourra paraîtra bête : ce drone turque serait équipé du même moteur que le L-39. Le L-39 n'est pas (à ma connaissance) supersonique. Or, le drone le serait... cela ne pourrait-il pas être un problème ? l'enveloppe du moteur, qui a été conçu il y a pas mal d'années, le permet-elle ? Ou c'est juste une question de rapport poids/puissance ???
Edit : un autre lien nous apprend qu'il y aurait une version A, avec le moteur du L-39 et une version B, avec un moteur plus puissant (environ 4400 kgp avec PC).
https://www.overtdefense.com/2021/11/12 ... -for-mius/
Dernière modification par Deltafan le jeu. sept. 01, 2022 2:23 pm, modifié 1 fois.
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Re: Infos diverses sur les drones
#193D'une manière générale, supersonique implique post-combustion. Sans cette augmentation de la vitesse d'éjection des gaz on arrive au mieux, avec un moteur conventionnel, à la "super-croisière" à Mach 1 et des poussières.
Re: Infos diverses sur les drones
#194Un appareil à hélice(s) pourrait-il être supersonique ?
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Re: Infos diverses sur les drones
#195https://turdef.com/Files/Attachment/The ... Engine.pdfDeltafan a écrit : ↑jeu. sept. 01, 2022 2:11 pmCa fait partie des questions que je me suis posées en lisant l'article. Ca n'est écrit nulle part, mais je me demande si les appareils opérationnels ne seront pas équipés d'un autre moteur, plus puissant et permettant à l'appareil d'être supersonique.Gaston a écrit : ↑jeu. sept. 01, 2022 1:27 pmJe me pose une question qui pourra paraîtra bête : ce drone turque serait équipé du même moteur que le L-39. Le L-39 n'est pas (à ma connaissance) supersonique. Or, le drone le serait... cela ne pourrait-il pas être un problème ? l'enveloppe du moteur, qui a été conçu il y a pas mal d'années, le permet-elle ? Ou c'est juste une question de rapport poids/puissance ???
Edit : un autre lien nous apprend qu'il y aurait une version A, avec le moteur du L-39 et une version B, avec un moteur plus puissant (environ 4400 kgp avec PC).
https://www.overtdefense.com/2021/11/12 ... -for-mius/
Re: Infos diverses sur les drones
#196Dronnista en Russie, conférence sur les Retex de l'opération spéciale en Ukraine
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Re: Infos diverses sur les drones
#197Je crois qu'il y a eu un ou deux engins d'essais qui ont réussi, mais c'était trop compliqué et pas pratique (le simple bruit des hélices rendait tous les gens à la ronde malades).
Edit : en fait il n'y en a eu qu'un sur les deux, mais uniquement en piqué :
https://en.wikipedia.org/wiki/Fastest_p ... Turboprops
(...)
Probably the fastest aircraft ever fitted with an operating propeller was the experimental McDonnell XF-88B, which was made by installing an Allison T38 turboshaft engine in the nose of a pure jet-powered XF-88 Voodoo. This unusual aircraft was intended to explore the use of high-speed propellers and achieved supersonic speeds.[6] This aircraft exceeded the speed of sound (Mach 1.2) on the propeller alone, but only in a dive, and it wasn't in two directions, which is necessary for the FAI's record book.
XF-84H "Thunderscreech"
An oft-cited contender for the fastest propeller-driven aircraft is the XF-84H Thunderscreech. This aircraft is named in Guinness World Records, 1997, as the fastest in this category with a speed of 623 mph (1,003 km/h) (Mach 0.83).[7] While it may have been designed as the fastest propeller-driven aircraft, this goal was not realized due to severe stability problems.[8] This record speed is also inconsistent with data from the National Museum of the United States Air Force, which gives a top speed of 520 mph (840 km/h) (Mach 0.70),[9] slower than the current record.
(...)
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Re: Infos diverses sur les drones
#198Article OPEX 360, avec le titre : La DGA a prononcé la qualification du Système de mini-drones aériens de la Marine nationale
http://www.opex360.com/2022/09/02/la-dg ... nationale/
http://www.opex360.com/2022/09/02/la-dg ... nationale/
Dans le cadre du plan gouvernement de soutien à la filière aéronautique, dévoilé en juin 2020, la Direction générale de l’armement [DGA] avait notifié une commande de onze systèmes de mini-drones aériens embarqués [SMD-M] destinés à la Marine nationale à Survey Copter, une filiale d’Airbus. Le montant du contrat s’élevait alors à 19,7 millions d’euros, formation et soutien logistique compris.
Dans le détail, un SMD-M se compose d’une station de contrôle et de deux mini-drones DVF 2000 Aliaca, lancés par une catapulte et récupérés au moyen d’un filet.
D’une masse de 16 kg et propulsé par un moteur électrique ayant 3 heures d’autonomie, l’Aliaca transmet les données qu’il collecte à sa station de contrôle en temps réel, que ce soit de jour comme de nuit. Son rayon d’action est de 27 nautiques.
(...)
La Marine nationale étant satisfaite des performances offertes par le SMD-M, il ne restait plus qu’à attendre sa qualification par la DGA… Or, cette étape vient d’être franchie.
(...)
Les SMD-M seront destinés aux patrouilleurs et aux frégate de surveillance. C’est à dire aux navires qui ne mettront pas en oeuvre le Système de drone aérien de la Marine [SDAM], beaucoup plus imposant. Il est possible que d’autres exemplaires soient commandés à l’avenir puisque la Marine nationale envisage d’en équiper aussi ses sémaphores à moyen terme.
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Re: Infos diverses sur les drones
#199Article Forces Opérations Blog, avec le titre : Drones armés : des recommandations pour faire émerger une solution française
https://www.forcesoperations.com/drones ... francaise/
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A suivre...(...)
La surprise fut de taille lorsque, en 2008 au cours d’une mission sur les drones, une délégation française découvrit qu’Israël maîtrisait la totalité du spectre disponible depuis près d’une décennie. Quatorze ans plus tard, les États-Unis, la Turquie, la Chine ou encore la Pologne sont venus gonfler le peloton de tête. La France, elle, est toujours à la traîne malgré quelques alertes, notamment en provenance des rangs parlementaires.
L’industrie française n’est aujourd’hui pas en mesure de répondre aux besoins opérationnels des armées qui, pourtant, disposent de capacités « bien en deçà de ce qu’elles devraient être ». Et ce retard a désormais pour conséquence d’obliger le ministère des Armées à envisager une solution américaine pour équiper les forces spéciales françaises.
Face à ce constat, le GICAT a initié une réflexion globale avec l’appui du Centre de recherche des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (CreC Saint-Cyr), « matrice de transfert entre les besoins capacitaires et l’aspect industriel ». De décembre 2021 à juillet 2022, des industriels de toutes tailles, membres ou non du GICAT, ont été invités à échanger deux fois par mois avec les représentants du ministère des Armées et du ministère de l’Intérieur.
Les objectifs de ce groupe de réflexion sur les « DRones Aériens à charges OpératioNnelles actives », (GR DRAGON) ? Contribuer à l’émergence de solutions souveraines, mettre à niveau l’ensemble des acteurs quelle que soit leur carrure et dialoguer avec les utilisateurs potentiels. Le tout, en se focalisant sur les drones de moins de 150 kg dont la charge utile génère des effets sur les personnels, véhicules et infrastructures.
Plusieurs recommandations ont émergé au terme de six mois de réflexions et ont été présentées début juillet lors d’une séance de restitution. Qu’importe l’objet, les acteurs s’accordent tous pour dire qu’il faut désormais « aller vite, très vite », le retard étant aggravé par l’évolution rapide des technologies, l’intérêt croissant engendré par les conflits au Haut-Karabagh et en Ukraine et la densification de l’offre étrangère.
Une première tentative de rattrapage émergeait dernièrement à l’initiative de l’Agence de l’innovation de défense (AID). Ce sont les appels à projets Colibri et Larinae, émis avec l’objectif de déboucher sur des démonstrateurs en 9 à 12 mois pour le premier, en 12 à 18 mois pour le second. Là aussi, il est question aboutir rapidement. Au point d’avoir dû décliner quelques demandes de report de délai. L’effort à consentir dépasse le seul périmètre de Larinae et Colibri. Pour être plus agile, plus rapide et créer de nouveaux matériels « non pas en cinq ou six ans mais en quelques mois », il faut donner de la liberté, de l’espace et de l’oxygène aux entreprises, estime le GR DRAGON.
Les règles de certification et de qualification, par exemple, sont « trop contraignantes et pas assez agiles au regards des bonds technologiques prévisibles ». « Le drame de ce début de siècle, c’est le principe de précaution », pointait un intervenant. Ces règles doivent devenir incrémentales et agiles. Le GR DRAGON recommande à ce titre d’établir au plus vite des groupes de travail entre l’État et l’industrie pour plancher sur les règles d’emploi et sur la problématique des zones d’essais et d’entraînement.
La démarche s’accompagne aussi d’un effort de sensibilisation. Systèmes d’armes « de rupture », ces drones « kamikazes », « tueurs » et autres munitions rôdeuses jouissent, premièrement, d’une image peu reluisante aux yeux du grand public. Le déploiement de ces matériels ne pourra se faire que s’ils sont « socialement acceptés » grâce à l’usage du bon vocabulaire et à une intransigeance vis-à-vis des questions éthiques.
Bien qu’elle dispose des talents nécessaires, l’industrie doit encore se structurer autour de quelques grands champions. Sans visibilité ni stratégie nationale, il reste par ailleurs difficile pour les industriels de se positionner à long terme sur un sujet exigeant des investissements majeurs en R&D. « Il est indispensable que l’État donne de la visibilité aux acteurs industriels en leur garantissant son aide financière sur la durée tout en hiérarchisant ses besoins prioritaires en termes de souveraineté », souligne le GICAT. L’amorce reposerait sur un plan d’urgence d’au moins 150 M€ sur trois ans. L’effort permettrait de dépasser le stade du démonstrateur pour expérimenter des CONOPS et offrir in fine une capacité initiale susceptible de répondre à un besoin urgent. L’intervalle serait également mis à profit pour structurer un écosystème national.
L’équation est conditionnée par le niveau élevé de R&D qu’exigent ces développements. Il ne s’agit pas seulement de combler l’écart avec la concurrence, mais aussi de plancher sur des briques naissantes ou à venir, comme le vol en essaim, la résilience des communications ou le rôle de l’intelligence artificielle. Et ne pas limiter la réflexion aux seuls conflits récents. « Ce que l’on voit en Ukraine n’est pas nécessairement ce que l’on verra dans cinq ans », pointait un intervenant.
Pour maintenir la dynamique dans la durée, l’État français devrait y consacrer plusieurs centaines de millions d’euros en moyenne par an à compter de la fin de la décennie, estime le GICAT. Si elle évolue avec un temps de retard, la lutte anti-drones se généralise et se durcit en parallèle. Désormais, aucun drone n’est indétectable, et encore moins indestructible. L’attrition est donc une donnée intrinsèque à leur emploi. Réponse parmi d’autres, la massification entraîne une réflexion sur l’équilibre à trouver entre les coûts d’acquisition et le degré de technicité. Autres paramètres clés, la normalisation et une logique de modularité doivent être privilégiées afin de réaliser des économies d’échelle.
Cette équation économique inclut aussi dès l’origine la question de l’export. À l’instar des autres filières, celle-ci ne peut se développer en ne misant que sur le marché intérieur. La clientèle étrangère s’avère cruciale en termes économiques, conformément au souhait de la BITD d’exporter 50% de sa production. Les principes d’exportation doivent néanmoins être anticipés afin de ne pas subir le veto d’un éventuel fournisseur étranger ou, pire, de devoir brider l’emploi par les opérationnels.
"Toujours en mouvement est l'avenir…"
Yoda
Yoda
Re: Infos diverses sur les drones
#200Les mines, les lance-flammes et les obus anti-personnels sont « socialement acceptés » ? Ils ont pourtant fait des missions de victimes depuis 1914. On ne fait pas la guerre avec des chocopops. Ce genre de jérémiades de "bien pensants" nous ont déjà couté le Famas et une grande partie de l'industrie d'armes individuelles françaises. Y a-t-il moins de guerres depuis ? Ben non, on achète ailleurs. Et si un jour un conflit nous tombe dessus, soit nos soldats seront équipés et protégés, soit ils se feront laminer et les mêmes qui sont pour le sont « socialement accepté » seront les premiers à jeter la pierre et faire payer le lampiste.Systèmes d’armes « de rupture », ces drones « kamikazes », « tueurs » et autres munitions rôdeuses jouissent, premièrement, d’une image peu reluisante aux yeux du grand public. Le déploiement de ces matériels ne pourra se faire que s’ils sont « socialement acceptés » grâce à l’usage du bon vocabulaire et à une intransigeance vis-à-vis des questions éthiques.
Il y a des abrutis qui ont dit "nous vaincrons car nous sommes les plus forts". Ca nous a fait perdre des milliers d'hommes mais on a fait des rues et des parcs à leurs noms.
(\_/)
(_'.')
(")_(") "On obtient plus de choses avec un mot gentil et un pistolet qu'avec le mot gentil tout seul" Al Capone.
Mon pit
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(")_(") "On obtient plus de choses avec un mot gentil et un pistolet qu'avec le mot gentil tout seul" Al Capone.
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