Rafale en Inde
#176
J'suis tombé dedans alors ...
Tout travail mérite son dû, n'est-ce pas "Oui Oui" ?
(Vainqueur de la Boulet's Cup Démo Team C6 en 2011 et 2013)
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#177
Et en plus, il a oublié les EAU (la Grèce étant éliminée pour cause de banqueroute peut-être contagieuse )Franck66 a écrit :Ergo je penche plus pour de l'humour, ce qu'il indique n'est pas crédible et le brésil n'est plus dans la course
#178
C'est pas évident, on a bien essayé de leur refourguer des frégates il y a quelques semaines, en pleine crise...Deltafan a écrit :(la Grèce étant éliminée pour cause de banqueroute peut-être contagieuse )
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#179
T'es même tombé dedans quand t'étais petit comme dirait l'autre
Tout ça pour dire "arrêtez de lire la presse. Déjà que les dirigeants ne savent pas ce qu'ils veulent, alors la presse..."
Tout ça pour dire "arrêtez de lire la presse. Déjà que les dirigeants ne savent pas ce qu'ils veulent, alors la presse..."
#180
Je crois quand même que je vais continuer, ne serait-ce que pour rentabiliser mon abonnementWarlordimi a écrit : (...) Tout ça pour dire "arrêtez de lire la presse. Déjà que les dirigeants ne savent pas ce qu'ils veulent, alors la presse..."
S'il fallait, par exemple, arrêter de regarder le petit écran parce que les politicien(ne)s qu'on y voit sont des menteurs, on n'aurait jamais fabriqué de télévision
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#181
Meuh si... Il y a TF1 tout de même!Deltafan a écrit :Je crois quand même que je vais continuer, ne serait-ce que pour rentabiliser mon abonnement
S'il fallait, par exemple, arrêter de regarder le petit écran parce que les politicien(ne)s qu'on y voit sont des menteurs, on n'aurait jamais fabriqué de télévision
#182
la tribune du 27 octobre 2011
La fin de l'année s'annonce cruciale pour l'avenir du Rafale à l'exportation... s'il n'y pas de report de décisions de ses éventuels acheteurs. Trois pays ont exprimé un vif intérêt pour l'avion de combat de Dassault Aviation, qui peut aujourd'hui capitaliser sur ses performances opérationnelles de haut niveau en Libye et en Afghanistan. Cela peut être le coup de pouce qui pourrait faire pencher la balance, enfin, en faveur d'un appareil qui a échoué jusqu'ici à l'export. Trois pays qui pourraient s'offrir toute la technologie aéronautique militaire française d'ici à la fin de cette année. C'est une période extraordinaire « de conjoncture des astres », comme le souligne un très bon connaisseur du dossier, et il n'est pas sûr que cela se reproduise avant bien longtemps. Trois pays enfin où la France dispose de réelles chances de succès : les Émirats arabes unis, l'Inde et la Suisse.
Près de 126 appareils en jeu
Aux Émirats arabes unis (EAU), qui se sent quelque peu redevable à l'égard de Paris après sa décision d'implanter une base interarmées française dans ce pays du Golfe, qui a également participé aux côtés des Français à l'opération Harmattan (Libye), les négociations se sont toutefois nettement durcies. La visite expresse à Paris (moins de 12 heures) il y a quelques semaines du prince héritier d'Abu Dabi, Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, qui a rencontré Nicolas Sarkozy à l'Élysée, s'est plutôt mal passée. D'où la décision de confier quelques jours plus tard au ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, le dossier Rafale aux EAU. « Il fallait une personne de poids pour remettre le dossier à l'endroit », explique-t-on à « La Tribune ». L'enjeu est la vente de 60 Rafale .
En Inde, Dassault Aviation et Paris seront sur le qui-vive le 4 novembre prochain, date à laquelle New Delhi va ouvrir en présence des industriels les enveloppes commerciales des deux finalistes : Rafale et Eurofighter, défendu par le consortium BAE Systems, EADS et l'italien Finmeccanica. On en saura plus sur les chances de victoire de l'avion de combat français (voir Latribune.fr) d'un contrat évalué entre 10 et 12 milliards de dollars pour 126 appareils. La décision n'est pas attendue le 4 novembre, selon nos informations. Car les experts indiens devront examiner les offres pour savoir si les deux industriels évoquent bien le même périmètre industriel, technique, opérationnel au regard des prix avancés. C'est en général le moins-disant qui gagne en Inde.
En Suisse, Berne qui avait pourtant repoussé sine die l'acquisition d'avions de combat, est aujourd'hui très pressé. À tel point que les Suisses veulent décider avant le 14 décembre, date des élections au Conseil fédéral. Le Rafale dispose de chances sérieuses, en dépit de son prix plus élevé que celui du Gripen NG, l'appareil suédois. Outre des compensations accordées à l'industrie suisse, Paris propose à l'armée de l'air helvétique de s'entraîner dans l'espace aérien français et de disposer d'une base de soutien commune avec les Rafale français. C'est là l'un des points forts de l'offre de Dassault. La Suisse, dont la flotte est composée en partie de vieux F-5 Tiger (Northrop Grumman), pourrait acquérir entre 20 et 30 appareils en une ou plusieurs tranches.
La fin de l'année s'annonce cruciale pour l'avenir du Rafale à l'exportation... s'il n'y pas de report de décisions de ses éventuels acheteurs. Trois pays ont exprimé un vif intérêt pour l'avion de combat de Dassault Aviation, qui peut aujourd'hui capitaliser sur ses performances opérationnelles de haut niveau en Libye et en Afghanistan. Cela peut être le coup de pouce qui pourrait faire pencher la balance, enfin, en faveur d'un appareil qui a échoué jusqu'ici à l'export. Trois pays qui pourraient s'offrir toute la technologie aéronautique militaire française d'ici à la fin de cette année. C'est une période extraordinaire « de conjoncture des astres », comme le souligne un très bon connaisseur du dossier, et il n'est pas sûr que cela se reproduise avant bien longtemps. Trois pays enfin où la France dispose de réelles chances de succès : les Émirats arabes unis, l'Inde et la Suisse.
Près de 126 appareils en jeu
Aux Émirats arabes unis (EAU), qui se sent quelque peu redevable à l'égard de Paris après sa décision d'implanter une base interarmées française dans ce pays du Golfe, qui a également participé aux côtés des Français à l'opération Harmattan (Libye), les négociations se sont toutefois nettement durcies. La visite expresse à Paris (moins de 12 heures) il y a quelques semaines du prince héritier d'Abu Dabi, Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, qui a rencontré Nicolas Sarkozy à l'Élysée, s'est plutôt mal passée. D'où la décision de confier quelques jours plus tard au ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, le dossier Rafale aux EAU. « Il fallait une personne de poids pour remettre le dossier à l'endroit », explique-t-on à « La Tribune ». L'enjeu est la vente de 60 Rafale .
En Inde, Dassault Aviation et Paris seront sur le qui-vive le 4 novembre prochain, date à laquelle New Delhi va ouvrir en présence des industriels les enveloppes commerciales des deux finalistes : Rafale et Eurofighter, défendu par le consortium BAE Systems, EADS et l'italien Finmeccanica. On en saura plus sur les chances de victoire de l'avion de combat français (voir Latribune.fr) d'un contrat évalué entre 10 et 12 milliards de dollars pour 126 appareils. La décision n'est pas attendue le 4 novembre, selon nos informations. Car les experts indiens devront examiner les offres pour savoir si les deux industriels évoquent bien le même périmètre industriel, technique, opérationnel au regard des prix avancés. C'est en général le moins-disant qui gagne en Inde.
En Suisse, Berne qui avait pourtant repoussé sine die l'acquisition d'avions de combat, est aujourd'hui très pressé. À tel point que les Suisses veulent décider avant le 14 décembre, date des élections au Conseil fédéral. Le Rafale dispose de chances sérieuses, en dépit de son prix plus élevé que celui du Gripen NG, l'appareil suédois. Outre des compensations accordées à l'industrie suisse, Paris propose à l'armée de l'air helvétique de s'entraîner dans l'espace aérien français et de disposer d'une base de soutien commune avec les Rafale français. C'est là l'un des points forts de l'offre de Dassault. La Suisse, dont la flotte est composée en partie de vieux F-5 Tiger (Northrop Grumman), pourrait acquérir entre 20 et 30 appareils en une ou plusieurs tranches.
#183
la tribune du 27 octobre 2011
La fin de l'année s'annonce cruciale pour l'avenir du Rafale à l'exportation... s'il n'y pas de report de décisions de ses éventuels acheteurs. Trois pays ont exprimé un vif intérêt pour l'avion de combat de Dassault Aviation, qui peut aujourd'hui capitaliser sur ses performances opérationnelles de haut niveau en Libye et en Afghanistan. Cela peut être le coup de pouce qui pourrait faire pencher la balance, enfin, en faveur d'un appareil qui a échoué jusqu'ici à l'export. Trois pays qui pourraient s'offrir toute la technologie aéronautique militaire française d'ici à la fin de cette année. C'est une période extraordinaire « de conjoncture des astres », comme le souligne un très bon connaisseur du dossier, et il n'est pas sûr que cela se reproduise avant bien longtemps. Trois pays enfin où la France dispose de réelles chances de succès : les Émirats arabes unis, l'Inde et la Suisse.
Près de 126 appareils en jeu
Aux Émirats arabes unis (EAU), qui se sent quelque peu redevable à l'égard de Paris après sa décision d'implanter une base interarmées française dans ce pays du Golfe, qui a également participé aux côtés des Français à l'opération Harmattan (Libye), les négociations se sont toutefois nettement durcies. La visite expresse à Paris (moins de 12 heures) il y a quelques semaines du prince héritier d'Abu Dabi, Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, qui a rencontré Nicolas Sarkozy à l'Élysée, s'est plutôt mal passée. D'où la décision de confier quelques jours plus tard au ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, le dossier Rafale aux EAU. « Il fallait une personne de poids pour remettre le dossier à l'endroit », explique-t-on à « La Tribune ». L'enjeu est la vente de 60 Rafale .
En Inde, Dassault Aviation et Paris seront sur le qui-vive le 4 novembre prochain, date à laquelle New Delhi va ouvrir en présence des industriels les enveloppes commerciales des deux finalistes : Rafale et Eurofighter, défendu par le consortium BAE Systems, EADS et l'italien Finmeccanica. On en saura plus sur les chances de victoire de l'avion de combat français (voir Latribune.fr) d'un contrat évalué entre 10 et 12 milliards de dollars pour 126 appareils. La décision n'est pas attendue le 4 novembre, selon nos informations. Car les experts indiens devront examiner les offres pour savoir si les deux industriels évoquent bien le même périmètre industriel, technique, opérationnel au regard des prix avancés. C'est en général le moins-disant qui gagne en Inde.
En Suisse, Berne qui avait pourtant repoussé sine die l'acquisition d'avions de combat, est aujourd'hui très pressé. À tel point que les Suisses veulent décider avant le 14 décembre, date des élections au Conseil fédéral. Le Rafale dispose de chances sérieuses, en dépit de son prix plus élevé que celui du Gripen NG, l'appareil suédois. Outre des compensations accordées à l'industrie suisse, Paris propose à l'armée de l'air helvétique de s'entraîner dans l'espace aérien français et de disposer d'une base de soutien commune avec les Rafale français. C'est là l'un des points forts de l'offre de Dassault. La Suisse, dont la flotte est composée en partie de vieux F-5 Tiger (Northrop Grumman), pourrait acquérir entre 20 et 30 appareils en une ou plusieurs tranches.
La fin de l'année s'annonce cruciale pour l'avenir du Rafale à l'exportation... s'il n'y pas de report de décisions de ses éventuels acheteurs. Trois pays ont exprimé un vif intérêt pour l'avion de combat de Dassault Aviation, qui peut aujourd'hui capitaliser sur ses performances opérationnelles de haut niveau en Libye et en Afghanistan. Cela peut être le coup de pouce qui pourrait faire pencher la balance, enfin, en faveur d'un appareil qui a échoué jusqu'ici à l'export. Trois pays qui pourraient s'offrir toute la technologie aéronautique militaire française d'ici à la fin de cette année. C'est une période extraordinaire « de conjoncture des astres », comme le souligne un très bon connaisseur du dossier, et il n'est pas sûr que cela se reproduise avant bien longtemps. Trois pays enfin où la France dispose de réelles chances de succès : les Émirats arabes unis, l'Inde et la Suisse.
Près de 126 appareils en jeu
Aux Émirats arabes unis (EAU), qui se sent quelque peu redevable à l'égard de Paris après sa décision d'implanter une base interarmées française dans ce pays du Golfe, qui a également participé aux côtés des Français à l'opération Harmattan (Libye), les négociations se sont toutefois nettement durcies. La visite expresse à Paris (moins de 12 heures) il y a quelques semaines du prince héritier d'Abu Dabi, Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, qui a rencontré Nicolas Sarkozy à l'Élysée, s'est plutôt mal passée. D'où la décision de confier quelques jours plus tard au ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, le dossier Rafale aux EAU. « Il fallait une personne de poids pour remettre le dossier à l'endroit », explique-t-on à « La Tribune ». L'enjeu est la vente de 60 Rafale .
En Inde, Dassault Aviation et Paris seront sur le qui-vive le 4 novembre prochain, date à laquelle New Delhi va ouvrir en présence des industriels les enveloppes commerciales des deux finalistes : Rafale et Eurofighter, défendu par le consortium BAE Systems, EADS et l'italien Finmeccanica. On en saura plus sur les chances de victoire de l'avion de combat français (voir Latribune.fr) d'un contrat évalué entre 10 et 12 milliards de dollars pour 126 appareils. La décision n'est pas attendue le 4 novembre, selon nos informations. Car les experts indiens devront examiner les offres pour savoir si les deux industriels évoquent bien le même périmètre industriel, technique, opérationnel au regard des prix avancés. C'est en général le moins-disant qui gagne en Inde.
En Suisse, Berne qui avait pourtant repoussé sine die l'acquisition d'avions de combat, est aujourd'hui très pressé. À tel point que les Suisses veulent décider avant le 14 décembre, date des élections au Conseil fédéral. Le Rafale dispose de chances sérieuses, en dépit de son prix plus élevé que celui du Gripen NG, l'appareil suédois. Outre des compensations accordées à l'industrie suisse, Paris propose à l'armée de l'air helvétique de s'entraîner dans l'espace aérien français et de disposer d'une base de soutien commune avec les Rafale français. C'est là l'un des points forts de l'offre de Dassault. La Suisse, dont la flotte est composée en partie de vieux F-5 Tiger (Northrop Grumman), pourrait acquérir entre 20 et 30 appareils en une ou plusieurs tranches.
#184
Oui...c'est bien...les états vont pouvoir redistribuer des tunes aux citoyens et continuer à être garant de la sécurité et de la santé de leurs peuples respectif...
C'est pas moi qui le dit...C'est TF1 (bis) ..alors..
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#185
Franck tu bégayes fort ...
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#186
Les américains proposent maintenant le F-35 pour le contrat de 126 avions
http://www.flightglobal.com/news/articl ... ys-364191/
Comme il est loin d'être au point, je ne pense pas que ce sera un candidat sérieux.
Surtout qu'eurofighter , explique très bien dans ses pubs que le F-35 n'est pas doué pour l'air air
http://www.flightglobal.com/news/articl ... ys-364191/
Comme il est loin d'être au point, je ne pense pas que ce sera un candidat sérieux.
Surtout qu'eurofighter , explique très bien dans ses pubs que le F-35 n'est pas doué pour l'air air
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#187
C'est moins absurde qu'il n'y parait, en fait l'avion que cherchent les Indiens pour le MMRCA n'est pas un avion de supériorité aérienne, pour ça ils ont la famille Su 27, Su 30, 200 prévus au total, et ensuite il auront le PAKFA.
En fait, l'avion qu'ils cherchent est plutôt un successeur du Jaguar, ce sont d'ailleurs les mêmes nombres, et la même répartition achat puis licence, presque 30 ans après.
Le F 35 a ce profil, certes il est très en retard sur les autres candidats, mais comme les Indiens ont perdu encore plus de temps avec leur processus de décision, encore un petit effort et il aura ses chances.
Son problème majeur jusqu'à présent était la politique restrictive des USA sur la fabrication et l'utilisation de cet avion ... Mais dans le cadre d'une éventuelle alliance stratégique avec l'Inde pour contenir l'expansionisme Chinois, tout deviendrait possible !
En fait, l'avion qu'ils cherchent est plutôt un successeur du Jaguar, ce sont d'ailleurs les mêmes nombres, et la même répartition achat puis licence, presque 30 ans après.
Le F 35 a ce profil, certes il est très en retard sur les autres candidats, mais comme les Indiens ont perdu encore plus de temps avec leur processus de décision, encore un petit effort et il aura ses chances.
Son problème majeur jusqu'à présent était la politique restrictive des USA sur la fabrication et l'utilisation de cet avion ... Mais dans le cadre d'une éventuelle alliance stratégique avec l'Inde pour contenir l'expansionisme Chinois, tout deviendrait possible !
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#188
C'est ce que j'allais dire: de toute façon le temps que les Indiens se décident le F-35 sera devenu pleinement opérationnel.ironclaude a écrit :Le F 35 a ce profil, certes il est très en retard sur les autres candidats, mais comme les Indiens ont perdu encore plus de temps avec leur processus de décision, encore un petit effort et il aura ses chances.
#189
Ca me paraît normal qu'ils tentent de (re-, voir ci-dessous)venir dans la compétition. Il ne manque plus que le prix fixé à trois cacahuètes pour chaque avion et les porte-avions en prime pour vérifier un de mes posts plus hautwarbird2000 a écrit :Les américains proposent maintenant le F-35 pour le contrat de 126 avions
http://www.flightglobal.com/news/articl ... ys-364191/
Comme il est loin d'être au point, je ne pense pas que ce sera un candidat sérieux.
Surtout qu'eurofighter , explique très bien dans ses pubs que le F-35 n'est pas doué pour l'air air
Ceci dit, il me semble qu'ils avaient déjà proposé la bestiole il y a quelques semaines (mois ?) et que les Indiens avaient refusé l'offre. Ils reviennent avec de nouveaux arguments ? Ou l'info est déjà ancienne (malgré les 22 heures d'âge que je lis en haut de l'article) ?
Edit : c'était il y a quelques mois (On voit plus l'temps passer ma bonne dame) :
http://www.defencetalk.com/india-reject ... fer-31733/
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#190
non mais, le F-35 en tant que MMRCA, c'est une montagne de com, mais rien que ça, pour espérer faire capoter le processus, éventuellement
le coeur du MMRCA est le transfert de technologies destiné à permettre aux industriels indiens d'acquérir un savoir-faire et pérenniser leur industrie aeronautique. Il n'y a rien de transférable dans les technologies du F-35, déjà le partenaire le plus privilégié (la GB) ne peut mettre le nez dedans, et vous croyez que les US céderaient leurs secrets à l'Inde pour une bouchée de pain? Même pas en rêve
c'est juste du vent, de l'agitation pour essayer de faire miroiter à des officiels ne connaissant rien à la question, le côté "nous meilleurs pour moins cher" et espérer faire sauter le marché, pour, éviter que l'industrie concurrente (européenne) ne puisse l'obtenir, ce marché
le coeur du MMRCA est le transfert de technologies destiné à permettre aux industriels indiens d'acquérir un savoir-faire et pérenniser leur industrie aeronautique. Il n'y a rien de transférable dans les technologies du F-35, déjà le partenaire le plus privilégié (la GB) ne peut mettre le nez dedans, et vous croyez que les US céderaient leurs secrets à l'Inde pour une bouchée de pain? Même pas en rêve
c'est juste du vent, de l'agitation pour essayer de faire miroiter à des officiels ne connaissant rien à la question, le côté "nous meilleurs pour moins cher" et espérer faire sauter le marché, pour, éviter que l'industrie concurrente (européenne) ne puisse l'obtenir, ce marché
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#192
c'est Secret Story ?
carte mere MSI Z97-G43 (MS-7816)/ Intel Core i7 @ 4000 MHz-/8192 Mo/NVIDIA GeForce GTX 970/ Western Digital WD10EZEX-08M2NA0 ATA Device (1000Go)/Windows 7 64bit
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#195
Les dernières nouvelles:
http://www.indianexpress.com/news/bids- ... ../871143/
1: les Indiens ont enfin ouvert les enveloppes
2: le Rafale est moins cher que l'Eurofighter
3: mais pas de beaucoup ( 5% ? ), en tout cas... pas assez pout plier le match
Donc: les discussions vont devoir continuer pour préciser si les deux propositions sont bien complètes, etc... Bref, c'est pas fini
http://www.indianexpress.com/news/bids- ... ../871143/
1: les Indiens ont enfin ouvert les enveloppes
2: le Rafale est moins cher que l'Eurofighter
3: mais pas de beaucoup ( 5% ? ), en tout cas... pas assez pout plier le match
Donc: les discussions vont devoir continuer pour préciser si les deux propositions sont bien complètes, etc... Bref, c'est pas fini
#196
pourtant il a plus fait ses preuves que le typhoon (pas dur en même temps...) mais bon sachant que la vente d'avions de combat implique plus de choses que simplement les avions...
#197
j'espère que le prix n'est pas le seul argument de sélection, il me semble effectivement que le Rafale possède des atouts qui ne font qu'accentuer cette petite différence de prix.mais pas de beaucoup ( 5% ? ), en tout cas... pas assez pout plier le match
ensuite il reste à traiter la partie politique
#198
Deux mois d'attente supplémentaires donc, ce qui devrait nous faire courant janvier... Peut-être... (histoire connue...)
#199
l'objectif de l'inde est de sélectionner un des 2 jets avant la fin de l'année.Deltafan a écrit :Deux mois d'attente supplémentaires donc, ce qui devrait nous faire courant janvier... Peut-être... (histoire connue...)
2 mois, c'est au plus tard.
Le rafale est semble t il moins cher.
C'est déjà un bon point, surtout qu'il est quasiment certain qu'EADS à pressé le citron au maximum en intégrant le discount réservé aux partenaires Eurofighter (les Typhoon réservés à l'Inde étant d'une façon certaine ceux de la tranche 3B annulée de l'Allemagne, UK, Italie et Espagne)
#200
Je me demande d'ailleurs quelle est leur définition. Parce que la facture Rafale doit s'aligner sur un truc déjà commandé par nous, avec le gros des développements bien finis (AESA). Mais la leur ?