Aide pour mon PPL
#126
coucou,
me revoila avec une question.
On a vu la différence entre le QFE, QNH, QNE et QFF. Le problème c'est que
je ne vois pas la différence entre le QFE et le QNE, si ce n'est que dans le
premier on cale l'altimètre sur 0 ft tandis que dans le second on cale l'altimètre
sur l'altitude-pression de l'aérodrome. Or le résultat est le même non ? Donc
pourquoi avoir deux codes Q pour une même info ?
C'est comme la différence QNH et QFF... :P
je sens que je vais me faire passer pour un con sur ce coup là
me revoila avec une question.
On a vu la différence entre le QFE, QNH, QNE et QFF. Le problème c'est que
je ne vois pas la différence entre le QFE et le QNE, si ce n'est que dans le
premier on cale l'altimètre sur 0 ft tandis que dans le second on cale l'altimètre
sur l'altitude-pression de l'aérodrome. Or le résultat est le même non ? Donc
pourquoi avoir deux codes Q pour une même info ?
C'est comme la différence QNH et QFF... :P
je sens que je vais me faire passer pour un con sur ce coup là
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#127
[quote="Mhm...mhm"]
je ne vois pas la diffé]
Euh, y a confusion, là. Je crois bien que tu mélanges.
Hop, code Q, pour mémoire.
Et un autre lien utile pour faire le point.
Et, déjà, pour ce que je connais bien:
QFE: pression. Celle à entrer pour que sur l'aérodrome correspondant on ait l'altimètre indiquant 0. Concrètement, on peut procéder à l'envers lorsqu'on se trouve sur cet aérodrome, et en fait placer l'aiguille sur zéro. Plus on prend de la hauteur par rapport au terrain, et plus l'erreur de l'instrument est grande.
Caler au QFE donne l'élévation par rapport au terrain.
QNE: altitude. Caler au QNE, ça veut dire qu'on cale à la pression du niveau moyen de la mer en conditions standards, soit 1013.2 hPa. Si bien qu'alors l'altimètre indique l'élévation par rapport à l'isobare de pression 1013.2 hPa (avec une erreur qui grandit plus on s'éloigne de cette couche isobare). Evidemment, comme on n'est pratiquement jamais tout à fait dans les conditions standards, ça permet de disposer d'une référence commune, mais pas de connaître précisément son altitude, en réalité.
Un calage QNE donne l'élévation par rapport à l'isobare 1013.2.
QNH: pression (calculée). Celle à entrer pour que sur l'aérodrome l'altimètre indique l'élévation par rapport au niveau moyen de la mer. En fait, on va mesurer la pression sur l'aérodrome (le QFE), et ensuite à partir de ce résultat on calculera à quoi ça doit correspondre comme pression au niveau de la mer, selon des conditions présupposées. Plus on s'éloigne de l'altitude du terrain, et des conditions standards, et plus l'altitude indiquée par l'instrument est "fausse". EDIT: Evidemment, là aussi on peut en quelque sorte "procéder à l'envers", en faisant afficher à l'instrument l'altitude connue du terrain lorsqu'on se trouve sur celui-ci, au sol, au lieu de caler sur une pression.
En gros, caler au QNH donne donc l'élévation par rapport au niveau moyen de la mer (pas tout à fait, du fait du calcul, mais c'est en gros ça).
je ne vois pas la diffé]
Euh, y a confusion, là. Je crois bien que tu mélanges.
Hop, code Q, pour mémoire.
Et un autre lien utile pour faire le point.
Et, déjà, pour ce que je connais bien:
QFE: pression. Celle à entrer pour que sur l'aérodrome correspondant on ait l'altimètre indiquant 0. Concrètement, on peut procéder à l'envers lorsqu'on se trouve sur cet aérodrome, et en fait placer l'aiguille sur zéro. Plus on prend de la hauteur par rapport au terrain, et plus l'erreur de l'instrument est grande.
Caler au QFE donne l'élévation par rapport au terrain.
QNE: altitude. Caler au QNE, ça veut dire qu'on cale à la pression du niveau moyen de la mer en conditions standards, soit 1013.2 hPa. Si bien qu'alors l'altimètre indique l'élévation par rapport à l'isobare de pression 1013.2 hPa (avec une erreur qui grandit plus on s'éloigne de cette couche isobare). Evidemment, comme on n'est pratiquement jamais tout à fait dans les conditions standards, ça permet de disposer d'une référence commune, mais pas de connaître précisément son altitude, en réalité.
Un calage QNE donne l'élévation par rapport à l'isobare 1013.2.
QNH: pression (calculée). Celle à entrer pour que sur l'aérodrome l'altimètre indique l'élévation par rapport au niveau moyen de la mer. En fait, on va mesurer la pression sur l'aérodrome (le QFE), et ensuite à partir de ce résultat on calculera à quoi ça doit correspondre comme pression au niveau de la mer, selon des conditions présupposées. Plus on s'éloigne de l'altitude du terrain, et des conditions standards, et plus l'altitude indiquée par l'instrument est "fausse". EDIT: Evidemment, là aussi on peut en quelque sorte "procéder à l'envers", en faisant afficher à l'instrument l'altitude connue du terrain lorsqu'on se trouve sur celui-ci, au sol, au lieu de caler sur une pression.
En gros, caler au QNH donne donc l'élévation par rapport au niveau moyen de la mer (pas tout à fait, du fait du calcul, mais c'est en gros ça).
#128
Ah ok. Je vois maintenant. merci.
Sinon j'ai encore un problème. je ne sais pas si vous utilisez le computer
pour résoudre les problèmes de météo, mais je cherche un tuto pour avoir
les procédés de calcul. C'est pas super bien expliqué dans le manuel...
Sinon j'ai encore un problème. je ne sais pas si vous utilisez le computer
pour résoudre les problèmes de météo, mais je cherche un tuto pour avoir
les procédés de calcul. C'est pas super bien expliqué dans le manuel...
#129
Il y a un point auquel il faut faire TRES attention en pratique : il ne faut pas régler l'instrument pour afficher le résultat attendu mais le régler en fonction des indications de l'ATIS.
En effet, l'habitude vient vite de "gagner du temps" en affichant sur l'altimètre la hauteur connue de l'aéroport : par exempe, je sais que St-Cyr est à 370 ft : je règle l'alti pour que s'affiche 370 ft et je considère que je suis au QNH. De la même manière, je peux afficher 0 ft et me dire que je suis au QFE.
C'est bien sûr une très mauvaise habitude car elle vous empêche de mesurer l'erreur de votre instrument : très souvent, l'altimètre se décale un peu par rapport à l'étalonage parfait : il faut donc connaître la valeur de ce décalage : pour cela, vous écoutez l'ATIS qui vous indique les valeurs QNH et QFE. Vous affichez donc la valeur QFE (par exemple 1006 hpa) et vous regardez ce que l'altimètre indique : si c'est zéro, c'est parfait et l'altimètre est bien étaloné. Si la valeur est différente, regardez pour quelle pression l'altimètre indiquera zéro (par exemple, il faudra sélectionner 1011 hpa pour qu'il affiche zéro) et retenez l'écart entre la bonne valeur (celle de l'ATIS) et 1011.
Ensuite, entrez la valeur du QNH (par exemple 1016) et regardez si le résultat correspond à l'altitude de l'aéroport. Si ça ne correspond pas, affichez la bonne altitude et regardez à quelle pression elle correspond : si le décalage que cela exige (par exemple, 1021) est identique au décalage constaté pour le QFE, vous saurez que votre instrument n'est plus étaloné à la perfection (mais ça arrive souvent) mais que son erreur est systématique. Dans ce cas, si vous devez voler au QNE, il faudra afficher 1013 + 5, soit 1018.
Si le décalage n'est pas le même entre QNH et QFE, c'est que l'instrument est foutu (ou que l'ATIS se trompe... mais ça doit être plus rare !).
En effet, l'habitude vient vite de "gagner du temps" en affichant sur l'altimètre la hauteur connue de l'aéroport : par exempe, je sais que St-Cyr est à 370 ft : je règle l'alti pour que s'affiche 370 ft et je considère que je suis au QNH. De la même manière, je peux afficher 0 ft et me dire que je suis au QFE.
C'est bien sûr une très mauvaise habitude car elle vous empêche de mesurer l'erreur de votre instrument : très souvent, l'altimètre se décale un peu par rapport à l'étalonage parfait : il faut donc connaître la valeur de ce décalage : pour cela, vous écoutez l'ATIS qui vous indique les valeurs QNH et QFE. Vous affichez donc la valeur QFE (par exemple 1006 hpa) et vous regardez ce que l'altimètre indique : si c'est zéro, c'est parfait et l'altimètre est bien étaloné. Si la valeur est différente, regardez pour quelle pression l'altimètre indiquera zéro (par exemple, il faudra sélectionner 1011 hpa pour qu'il affiche zéro) et retenez l'écart entre la bonne valeur (celle de l'ATIS) et 1011.
Ensuite, entrez la valeur du QNH (par exemple 1016) et regardez si le résultat correspond à l'altitude de l'aéroport. Si ça ne correspond pas, affichez la bonne altitude et regardez à quelle pression elle correspond : si le décalage que cela exige (par exemple, 1021) est identique au décalage constaté pour le QFE, vous saurez que votre instrument n'est plus étaloné à la perfection (mais ça arrive souvent) mais que son erreur est systématique. Dans ce cas, si vous devez voler au QNE, il faudra afficher 1013 + 5, soit 1018.
Si le décalage n'est pas le même entre QNH et QFE, c'est que l'instrument est foutu (ou que l'ATIS se trompe... mais ça doit être plus rare !).
C2D E 6750, Asus P5KC, Nvidia 8800 GT 512 Mo, 2 Go de RAM, Cougar FFSB R1, TIR PRO 3 + VE, PC dash 2
#130
100%
A ne JAMAIS faire ! Surtout pas en IFR bien sûr, mais à ne pas faire non plus pour un petit vol le dimanche après midi.Electro a écrit :Il y a un point auquel il faut faire TRES attention en pratique : il ne faut pas régler l'instrument pour afficher le résultat attendu mais le régler en fonction des indications de l'ATIS.
En effet, l'habitude vient vite de "gagner du temps" en affichant sur l'altimètre la hauteur connue de l'aéroport : par exempe, je sais que St-Cyr est à 370 ft : je règle l'alti pour que s'affiche 370 ft et je considère que je suis au QNH. De la même manière, je peux afficher 0 ft et me dire que je suis au QFE.
#131
oui, il faut être d'autant plus vigilant que l'habitude vient vite !!!
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#132
Tu as raison, j'énonçais la théorie, mais avec celle-ci on oublie vite que dans la réalité rien n'est parfait.
#134
Dans les TAF & METAR a consulter normalement avant CHAQUES vol ...Azrayen a écrit :[chipote]
sauf quand y'a pas d'ATIS ou équivalent... ]
Az'
#135
Si le terrain est assez gros, genre Toussus ...
En ce qui concerne les 3 Q les termes exacts sont :
QFE : calage par rapport à la hauteur du terrain
QNE : calage en niveau de vol par rapport à la pression standard 1013.25 hPa
QNH : calage par rapport à l'altitude moyenne de la mer.
En ce qui concerne les 3 Q les termes exacts sont :
QFE : calage par rapport à la hauteur du terrain
QNE : calage en niveau de vol par rapport à la pression standard 1013.25 hPa
QNH : calage par rapport à l'altitude moyenne de la mer.
Babarement
#136
Les TAF et METAR ne sont émis que sur les gros terrains disposant de l'instrumentation météo adéquate. Sur 90% des terrains français il n'y a rien de tout ça. Alors il peut toujours y avoir le METAR d'un gros terrain pas trop loin, mais à 50nm il peut y avoir une variation sensible du QNH...Dans les TAF & METAR a consulter normalement avant CHAQUES vol ...
C'est un faux problème de toutes façons. En VFR, nul besoin d'une précision à 30ft près : une variation jusqu'à 3 hPa est tout à fait admissible. A mon sens c'est plus important de connaître l'erreur instrumentale que le QNH exact pour corriger si on passe en niveau de vol.
--
There are three simple rules for making a smooth landing: Unfortunately, no one knows what they are.
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#137
Pas mieux que Tomcat : je vole peu, mais la dernière fois que j'ai eu la curiosité de chercher un TAF/METAR, c'était pour Nangis Les Loges (au fin fond de la Seine & Marne) et l'info dispo la plus proche (sur le Net) était celle du Bourget...
Sinon je suppose que c'était possible de récupérer un ATIS plus proche (Lognes) mais bon, mon propos était juste de dire que c'est (éminament) souhaitable mais pas "toujours" si possible que ça
Bon, le plafond était suffisant, le Cap 10 c'est mignon et on n'a pas dépassé la TA, donc le calage allait bien
++
Az'
Sinon je suppose que c'était possible de récupérer un ATIS plus proche (Lognes) mais bon, mon propos était juste de dire que c'est (éminament) souhaitable mais pas "toujours" si possible que ça
Bon, le plafond était suffisant, le Cap 10 c'est mignon et on n'a pas dépassé la TA, donc le calage allait bien
++
Az'
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#138
Héééééé faut pas dire des méchancetés sur ce magnifique terrain !!!pour Nangis Les Loges (au fin fond de la Seine & Marne)
Nous on n'a pas d'Atis mais on est tranquille et on a des beaux avions de voltige
Sinon pour la météo à Nangis, en plus des gros aéroports parisien on peut regarder celle de Melun LFPM ou Troyes LFQB
Chat collé au plafond, tires le manche à fond !
#139
Ooo la gentille discussion ! Merci pour les conseils.
A bord on cale l'altimètre avec le gyro moteur éteind. L'altimètre sur le
relevé du terrain en QFE et le gyro par rapport au compas. Une fois le
moteur allumé on corrige avec le QNH et on recorrige le compas.
Ainsi par la première opération nous faisons une sorte de scanning afin de
vérifier si les appareils ne sont pas déterioré. Par la seconde opération on
cale proprement dit l'instrument.
A bord on cale l'altimètre avec le gyro moteur éteind. L'altimètre sur le
relevé du terrain en QFE et le gyro par rapport au compas. Une fois le
moteur allumé on corrige avec le QNH et on recorrige le compas.
Ainsi par la première opération nous faisons une sorte de scanning afin de
vérifier si les appareils ne sont pas déterioré. Par la seconde opération on
cale proprement dit l'instrument.
#140
Euh tu peux m'expliquer en détails ? je comprends pas ta manipulation...A bord on cale l'altimètre avec le gyro moteur éteind. L'altimètre sur le
relevé du terrain en QFE et le gyro par rapport au compas. Une fois le
moteur allumé on corrige avec le QNH et on recorrige le compas.
Ainsi par la première opération nous faisons une sorte de scanning afin de
vérifier si les appareils ne sont pas déterioré. Par la seconde opération on
cale proprement dit l'instrument.
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#141
Loin de moi cette idée !Don Diego 2000 a écrit :Héééééé faut pas dire des méchancetés sur ce magnifique terrain !!!
Je garde un excellent souvenir de Nangis, un terrain sans ATIS mais avec :
- la découverte de la voltige (argghh le négatif, rendez moi mes noeuilles !!)
- des passionnés très sympas, abordables & pédagogues, dont une "figure" de l'aviation française (mention spéciale pour l'arrivée au break)
- des avions hors du commun : le CC02 "Rafalou" (le pseudo n'a rien d'officiel).
Fin du HS, désolé
++
Az'
#142
[quote="Mhm...mhm"]Ooo la gentille discussion ! Merci pour les conseils.
A bord on cale l'altimè]
[quote="Tomcat"]Euh tu peux m'expliquer en dé]
Oui, je ne comprends pas non plus !?
A bord on cale l'altimè]
[quote="Tomcat"]Euh tu peux m'expliquer en dé]
Oui, je ne comprends pas non plus !?
#143
désolé pour le hors sujet, mais je découvre ce sujet, je m'aperçois que pour passer le ppl à l'air plus hard que le tt
question subsidiaire: mon tt est périmé depuis janvier 2004 (mon dernier vol remonte à aout 2003), est-ce que je dois repasser l'intégrale???
question subsidiaire: mon tt est périmé depuis janvier 2004 (mon dernier vol remonte à aout 2003), est-ce que je dois repasser l'intégrale???
Je veux METZ
#144
Le TT n'est pas équivalent au PPL (même si en fait ça te donne les même droits)
Effectivement, l’examen PPL est un peu plus théorique que l’ex TT qui n’existe plus.
Un PPL ne peut pas s'obtenir par équivalence, c'est pourquoi l'équivalent a mon brevet de pilote militaire du 2nd degré est un TT et pas un PPL, même si au moment du passage du CPL a Cognac j'était ATPL... !?!?
C'est compliqué hein !? Bref...
Ton TT sera toujours valable, il me semble bien que c'est a vie! Il te faut juste renouvler ta licence et te faire relâcher sur la machine
Effectivement, l’examen PPL est un peu plus théorique que l’ex TT qui n’existe plus.
Un PPL ne peut pas s'obtenir par équivalence, c'est pourquoi l'équivalent a mon brevet de pilote militaire du 2nd degré est un TT et pas un PPL, même si au moment du passage du CPL a Cognac j'était ATPL... !?!?
C'est compliqué hein !? Bref...
Ton TT sera toujours valable, il me semble bien que c'est a vie! Il te faut juste renouvler ta licence et te faire relâcher sur la machine
#145
Ca t'en donne un petit peu plus puisque c'est une licence théoriquement européenne : ta licence est reconnue à l'étranger, etc.DeeJay a écrit :Le TT n'est pas équivalent au PPL (même si en fait ça te donne les même droits)
Oui enfin il ne faut pas prendre ce topic en référence pour l'examen PPL... nul besoin de se plonger dans les équations pour obtenir son PPL théorique haut la main. Ca n'a rien de très compliqué.Effectivement, l’examen PPL est un peu plus théorique que l’ex TT qui n’existe plus.
Ouais, enfin maintenant c'est plus le cas puisque les instructeurs de l'armée de l'air ont une équivalence civile qui leur permet de valider le cursus dans le civil sans (trop) de problèmes.Un PPL ne peut pas s'obtenir par équivalence, c'est pourquoi l'équivalent a mon brevet de pilote militaire du 2nd degré est un TT et pas un PPL, même si au moment du passage du CPL a Cognac j'était ATPL... !?!?
Et pour être précis, tu n'avais "que" l'ATPL théorique à Cognac, pas un ATPL au sens strict. Le théorique n'a pas valeur de licence. Il va de soi qu'un pilote ATPL (complet) peut exercer tous les privilèges d'un CPL ou PPL sans plus de procédures.
Oui ça doit pas être trop compliqué pour le renouveler, mais il faudra passer une équivalence PPL puisque tous les TT sont amenés à être transformés prochainement. A voir précisément avec l'administration.Ton TT sera toujours valable, il me semble bien que c'est a vie! Il te faut juste renouvler ta licence et te faire relâcher sur la machine
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#146
Tout a fait.Tomcat a écrit :Et pour être précis, tu n'avais "que" l'ATPL théorique à Cognac, pas un ATPL au sens strict. Le théorique n'a pas valeur de licence. Il va de soi qu'un pilote ATPL (complet) peut exercer tous les privilèges d'un CPL ou PPL sans plus de procédures.
Pour les instructeurs de l'AA, tu parles de FI/FE ?
#147
Oui, les instructeurs de Cognac sont maintenant tous FI, sauf erreur de ma part...
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There are three simple rules for making a smooth landing: Unfortunately, no one knows what they are.
There are three simple rules for making a smooth landing: Unfortunately, no one knows what they are.
#148
Ils devrait tous le devenir, mais mes pots de promo qui sont monit là bas, ne le sont pas encore ! Je leurs demanderai ...
#149
PPL ne peut pas s'obtenir par équivalence, c'est pourquoi l'équivalent a mon brevet de pilote militaire du 2nd degré est un TT et pas un PPL, même si au moment du passage du CPL a Cognac j'était ATPL... !?!?
tu es passé par cognac???
mon monit sur dr400 (et accessoirement mon père) avait été monit à la ba de cognac
Ton TT sera toujours valable, il me semble bien que c'est a vie! Il te faut juste renouvler ta licence et te faire relâcher sur la machine
cela me rassure, je pourrais reprendre tranquille alors (en 2009 ou 2010)
Je veux METZ
#150
Ouaip, en 2003 - 2004 au 1er et 2eme EIVkezni a écrit :tu es passé par cognac???
mon monit sur dr400 (et accessoirement mon père) avait été monit à la ba de cognac