Warlordimi a écrit : ↑mer. janv. 11, 2023 5:16 pmPourtant, tout le monde est bien au courant de la véritable vraie vérité sur ce qu'il se passe et s'est passé sur la lune !!!!!
J'ai, hélas, vu le 1. Ils ne m'ont pas eu avec le 2.
Warlordimi a écrit : ↑mer. janv. 11, 2023 5:16 pmPourtant, tout le monde est bien au courant de la véritable vraie vérité sur ce qu'il se passe et s'est passé sur la lune !!!!!
Pourquoi hélas, même si c'est très série B, c'est assumé et il y a un petit message qui est porté et plutôt bien amené, pour moi ça a été plutôt une découverte agréable quand je suis tombé dessus. C'est un truc sans prétention mais qui reste malgré tout sympa je trouve (après c'est aussi une histoire de goût on est d'accord mais perso je ne déconseillerai pas sa découverte aux curieux ). Moins aimé le 2 par contre, j'ai eu l'impression qu'ils ont trop voulu forcer la recette du un.
Ah, mais que tous ceux qui ont envie de les voir le fassent. C'est juste que j'ai investi dans le DVD du 1 et que, après l'avoir vu (et l'avoir revendu ou donné, sais plus), il est hors de question que j'investisse dans le DVD du 2. Maintenant, s'il passe à la télé, un jour/soir de faiblesse...CrazyFry a écrit : ↑jeu. janv. 12, 2023 8:09 amPourquoi hélas, même si c'est très série B, c'est assumé et il y a un petit message qui est porté et plutôt bien amené, pour moi ça a été plutôt une découverte agréable quand je suis tombé dessus. C'est un truc sans prétention mais qui reste malgré tout sympa je trouve (après c'est aussi une histoire de goût on est d'accord mais perso je ne déconseillerai pas sa découverte aux curieux ). Moins aimé le 2 par contre, j'ai eu l'impression qu'ils ont trop voulu forcer la recette du un.
ironclaude a écrit : ↑dim. janv. 01, 2023 9:46 amA la télé, hier soir, soirée réveillon : les chaînes rivalisent de spectacles débiles, de compils cucu-la-praline, et plus généralement de bêtise et de vulgarité...
...toutes, sauf Arte, qui nous a offert un joyau : 5 heures de documentaire sur la conquête de l'espace, de Spoutnik à la dernière mission Apollo. Je tombe dessus par hasard... et je reste scotché devant jusqu'à la fin, vers 2 heures du matin, soit à peu près l'heure ou on avait veillé, avec mon Père, pour ne pas rater le premier pas d'Armstrong sur la Lune !
Une somme pour rappeler 15 ans d'histoire d'une densité sans précédente, qui avait été une grande partie de l'Actualité de cette période là...
Bref, "du caviar" pour le réveillon, justement !
Si vous avez perdu votre soirée à regarder des vidéo-gags ou des auto-célébrations, il vous reste à espérer que ce soit rediffusé un jour, et cette fois-ci ne le ratez pas
Espérons que ça marche et que ça accélère la conquête de MarsKakumei a écrit : ↑mer. janv. 25, 2023 12:13 amNASA et DARPA vont tester un moteur a propulsion nucléaire.
https://www.nasa.gov/press-release/nasa ... s-missions
Le légendaire astronaute américain Buzz Aldrin, membre de la mission Apollo 11 et deuxième être humain à avoir posé le pied sur la Lune, a annoncé s’être marié vendredi. La noce a eu lieu à l’occasion de son 93e anniversaire, avec sa petite amie de longue date. Buzz Aldrin et Anca Faur, vice-présidente exécutive de Buzz Aldrin Ventures, ont formalisé leur union lors d’une cérémonie privée. « Pour mon 93e anniversaire, je suis heureux d’annoncer que mon amour de longue date, le docteur Anca Faur, et moi-même nous sommes mariés », a tweeté l’astronaute en joignant une photo de lui et de sa nouvelle épouse, âgée de 63 ans selon les médias américains.
(...)
Selon son profil LinkedIn, Anca Faur a obtenu un doctorat en génie chimique en 1996 à l’université de Pittsburgh. Avant de rejoindre Buzz Aldrin Ventures, elle avait travaillé pour les entreprises chimiques Union Carbide et Johnson Matthey. Elle fut aussi la trésorière d’un lobby de l’hydrogène et des piles à combustible, le « California Hydrogen Business Council ».
Les trois précédents mariages de Buzz Aldrin ont fini en divorce. L’astronaute américain est le dernier survivant de la mission Apollo 11, durant laquelle lui et Neil Armstrong devinrent les premiers humains à poser le pied sur la Lune, le 20 juillet 1969.
(...)
Lors d’une audition à l’Assemblée nationale [et dont le compte-rendu a été publié cette semaine], le général Philippe Adam, le commandant de l’Espace, devait aborder les enseignements tirés de la guerre en Ukraine… Mais il a eu également à répondre sur les capacités qu’il estime prioritaires.
(...)
le général Adam a aussi parlé du développement d’un « avion spatial ». Le sujet n’est pas nouveau : il avait été évoqué par Éric Trappier, le Pdg de Dassault Aviation en 2018, puis par un rapport parlementaire sur les conséquences de la crise « covid » sur la Base industrielle et technologique de défense [BITD], publié deux ans plus tard et enfin par Emmanuel Chiva, alors directeur de l’Agence de l’innovation de Défense [AID], en novembre 2021.
« Nous discutons avec Dassault Aviation et la DGA [Direction générale de l’armement], en particulier le SASD [Service d’architecture de systèmes de défense]. Nous portons également des projets avec des sociétés que nous soutenons. C’est le cas d’Unseenlabs et de Cailabs », avait en effet déclaré M. Chiva [devenu depuis Délégué général pour l’armement], dans un entretien publié par La Tribune.
En tout cas, le général Adam a confié aux députés que les « avions spatiaux sont l’un des moyens auxquels nous pensons », notamment pour placer des charges utiles en orbite. « On récupère ce qui rentre, on remet un coup de peinture, on le remplit de carburant et on le renvoie », a-t-il dit. En outre, « le modèle économique est bien plus intéressant et tire les prix de lancement vers le bas », a-t-il fait observer.
Surtout, a encore expliqué le commandant de l’Espace, « l’avion spatial permet d’avoir des moyens flexibles ». Et d’ajouter : « C’était l’idée de la navette spatiale, qui avait été abandonnée avec Hermès, mais qui reprend sérieusement de l’intérêt parce que la technologie le permet, que les usages sont probablement différents, et que cela se fera de façon plus automatisée – pas forcément pilotée comme peuvent l’être des drones ».
Il LEM beaucoup !Deltafan a écrit : ↑mer. janv. 25, 2023 1:35 amAldrin fait le buzz
Article 20 minutes, avec le titre : L’ancien astronaute Buzz Aldrin s’est de nouveau marié pour ses 93 ans
https://www.20minutes.fr/monde/4020074- ... rie-93-ans
Le légendaire astronaute américain Buzz Aldrin, membre de la mission Apollo 11 et deuxième être humain à avoir posé le pied sur la Lune, a annoncé s’être marié vendredi. La noce a eu lieu à l’occasion de son 93e anniversaire, avec sa petite amie de longue date. Buzz Aldrin et Anca Faur, vice-présidente exécutive de Buzz Aldrin Ventures, ont formalisé leur union lors d’une cérémonie privée. « Pour mon 93e anniversaire, je suis heureux d’annoncer que mon amour de longue date, le docteur Anca Faur, et moi-même nous sommes mariés », a tweeté l’astronaute en joignant une photo de lui et de sa nouvelle épouse, âgée de 63 ans selon les médias américains.
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Selon son profil LinkedIn, Anca Faur a obtenu un doctorat en génie chimique en 1996 à l’université de Pittsburgh. Avant de rejoindre Buzz Aldrin Ventures, elle avait travaillé pour les entreprises chimiques Union Carbide et Johnson Matthey. Elle fut aussi la trésorière d’un lobby de l’hydrogène et des piles à combustible, le « California Hydrogen Business Council ».
Les trois précédents mariages de Buzz Aldrin ont fini en divorce. L’astronaute américain est le dernier survivant de la mission Apollo 11, durant laquelle lui et Neil Armstrong devinrent les premiers humains à poser le pied sur la Lune, le 20 juillet 1969.
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«Wolf 1069 b» tourne autour de son étoile en 15,6 jours. La distance qui les sépare correspond à environ un quinzième de la distance entre la Terre et le Soleil. Malgré la faible distance qui la sépare de son étoile, «Wolf 1069 b» ne reçoit qu'approximativement 65% de la puissance de rayonnement que la Terre reçoit du Soleil. Cela rend tout de même la planète potentiellement propice à la vie.
La rotation est probablement liée à l'orbite autour de l'étoile centrale. «Wolf 1069 b» fait toujours face à son étoile centrale du même côté. D'un côté, c'est le jour éternel, de l'autre, la nuit éternelle. C'est aussi la raison pour laquelle on voit toujours la même face de la Lune depuis la Terre.
Si l'on suppose que «Wolf 1069 b» est une planète nue et rocheuse, la température moyenne sur la face tournée vers l'étoile serait de moins 23 degrés Celsius. Il est toutefois possible que la planète ait une atmosphère. Dans cette hypothèse, la température pourrait s'y élever à plus de 13 degrés, selon une simulation informatique. Ainsi, l'eau resterait liquide et des conditions favorables à la vie pourraient y régner.
Une atmosphère est considérée comme une condition préalable à l'apparition de la vie. Celle-ci pourrait en outre protéger «Wolf 1069 b» du rayonnement électromagnétique qui détruirait les biomolécules. Il serait même possible que la planète possède un champ magnétique qui la protège des particules chargées du vent stellaire.
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Parmi les plus de 5000 planètes de ce type identifiées à ce jour, seule une douzaine présente des caractéristiques similaires à celles de «Wolf 1069 b». Cette nouvelle venue se trouve à 31 années-lumière de la Terre. Parmi les exoplanètes potentiellement propices à la vie, elle est la sixième la plus proche de la Terre en termes de distance.
Selon les chercheurs, il n'est pas encore possible de déterminer si des conditions favorables à la vie y règnent effectivement. «Nous devrons probablement attendre encore dix ans pour le savoir», a expliqué la directrice de recherche Diana Kossakowski de l'Institut Max Planck pour l'astronomie. Au Chili, un télescope d'un nouveau genre est en construction. Prénommé «Extremely Large Telescope», il pourrait être en mesure d'étudier la composition de l'atmosphère des exoplanètes et de détecter des indices de vie.
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13° à quel endroit ? La partie illuminée est chauffée en permanence par le soleil alors que l'autre partie est soumise au froid de l'espace. C'est, dans une certaine mesure, le cas de Mercure où la température varie de + 400 °C à −180 °C du fait de sa vitesse de rotation sur elle-même faible.«Wolf 1069 b» fait toujours face à son étoile centrale du même côté. D'un côté, c'est le jour éternel, de l'autre, la nuit éternelle .../... la température pourrait s'y élever à plus de 13 degrés, selon une simulation informatique.
L'université Caltech vient de lancer un projet grandiose avec le déploiement de panneaux photovoltaïques à 530 kilomètres au-dessus de nos têtes. Ce projet est financé par la Defense Advances Research Project Agency (DARPA), l'agence de recherche du département de la Défense des États-Unis. Il devrait permettre d'engranger des informations sur l'utilisation à grande échelle de panneaux solaires dans l'espace à des fins de production énergétique.
(...) en ce début 2023 (...) lancement du prototype Space Solar Power Demonstrator, à 530 kilomètres au-dessus de la Terre. Ce dernier représente 50 kilogrammes de matériel, envoyé dans l'espace via la mission Transporter-6 de SpaceX.
3 technologies différentes vont être testées à l'aide de ce démonstrateur :
-une structure d'environ 2 mètres sur 2 mètres, dont le déploiement permettra d'assurer le soutien d'une centrale solaire dans l'espace
-différents types de cellules photovoltaïques (32 au total) qui seront mis à l'essai afin de sélectionner les plus à même d'assurer la conversion de l'énergie du soleil en milieu spatial
-un réseau d'émetteurs d'énergie flexibles et légers
L'objectif de l'équipe de recherche est de déterminer quelle technologie peut permettre la mise en orbite de panneaux photovoltaïques à la fois efficace, tout en évitant d'être lourds et encombrants comme ceux installés au sol sur la planète Terre.
De même, la fonctionnalité des transmetteurs d'énergie va pouvoir être évaluée dans les différents environnements qu'ils rencontreront au fil du temps. Quant à l'analyse des 32 formes de cellules photovoltaïques, elle devrait selon les scientifiques, durer, environ 6 mois.
Des expériences fondamentales, alors qu'actuellement, la transmission d'énergie sur de telles distances donne de faibles résultats. À terme, développer des panneaux solaires dans l'espace permettrait de produire de l'énergie sans avoir à subir le cycle jour-nuit, les changements de saison et les aléas météorologiques. À ce jour, malgré la croissance du secteur du renouvelable, l'énergie photovoltaïque ne représente encore que 4 % de la consommation planétaire.
Juste un détail. Il y a bien une alternance jour nuit sur la lune. Elle présente bien toujours la même face, mais par rapport à la terre, pas du soleil…Jaguar a écrit : ↑dim. févr. 05, 2023 4:16 pmJe dirai côté éclairé !
Selon la distance à l'étoile la côté éclairé ira de "moins quelques dizaines/centaines" de degrés C à "plus quelques dizaines/centaines" de degrés C.
Alors que le côté sombre sera toujours à des températures négatives abyssales.... Par déduction, le +13 est forcément côté éclairé (raisonnement qui se tient, selon moi, justement parce que ces côtés sont statiques, si on ajoute une alternance et une atmosphère, ça change la donne, comme sur Terre bien sûr)
Sauf que la on parle d'une planète qui montre toujours la même face à son soleil, comme la Lune montre toujours la même face à la terre.
Oups désolé, je m’étais mis en tête que tu parlais de la lune.Jaguar a écrit : ↑mar. févr. 07, 2023 7:38 amSauf que la on parle d'une planète qui montre toujours la même face à son soleil, comme la Lune montre toujours la même face à la terre.
Je parle bien de Wolf 1069 b et pas de la Lune pour laquelle en effet, ce raisonnement ne fonctionnerait pas
Faut suivre hein !
En novembre 2021, le chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM], l’amiral Pierre Vandier, avait avancé l’idée de doter certains navires d’une capacité d’aveugler les satellites d’observation hostiles au moyen de faisceaux lasers. »
« Les lasers peuvent également être une arme de guerre spatiale opérée depuis les bateaux : ils peuvent ainsi aveugler des satellites d’observation pour assurer la dissimulation de forces navales en situation de conflit », avait-il en effet développé lors d’une audition parlementaire.
Une telle capacité pourrait effectivement avoir un intérêt pour une opération aéronavale ou amphibie, ce qui éviterait, par exemple, de calculer l’heure des raids ou d’un débarquement en fonction des fauchées des satellites, ce qui complique évidemment la tâche.
Visiblement, la Direction générale de l’armement [DGA] y travaille, comme l’a indiqué Emmanuel Chiva, son patron, à l’occasion d’une audition au Sénat [le compte-rendu vient d’être rendu public].
« Nous avons […] prévu ce que nous pouvons appeler de grands démonstrateurs signaux, consistant en des capacités au sol d’illumination laser de satellites adverses. », a en effet confié le Délégué général pour l’armement [DGA]. « Je pense que nous n’en sommes pas très loin », a-t-il précisé.
Cela étant, la DGA ne part pas d’une feuille blanche en la matière, notamment grâce aux travaux de l’Office national d’études et de recherches aérospatiales [ONERA] qui, dans les années 1990, mena des « essais grandeur nature de neutralisation de satellites en fin contractuelle de vie opérationnelle », ce qui lui permit de recueillir des données, en particulier sur les niveaux d’énergie nécessaires.
« Nous travaillons sur une technologie dite d’optique adaptative. L’effet recherché n’est pas de détruire l’objet, mais de l’empêcher d’effectuer sa mission. En concentrant l’énergie sur la cible, on pourrait endommager les panneaux solaires d’un satellite ennemi, ou pénétrer par ses fenêtres optiques et l’éblouir », avait par ailleurs expliqué un responsable de l’ONERA dans les pages de l’hebdomadaire Challenges, en 2019.
Par ailleurs, et compte-tenu du risque d’interception des communications par satellite, la DGA conduit également le projet Keraunos, dont l’objectif est d’expérimenter une liaison de communication optique, à base de laser haut débit, entre un nano-satellite en orbite basse et une station sol sur Terre.
« Les liaisons laser sont, par définition, difficiles à intercepter et parce qu’avec ce type de technologie, la station au sol pourra être mobile et embarquée dans un véhicule. Cela nous donne des capacités considérables, résilientes à un certain nombre d’actions que pourraient tenter nos compétiteurs », a expliqué M. Chiva, en évoquant ce projet sans le nommer.
Reste à voir l’effort qui sera consenti en faveur des capacités spatiales dans le cadre de la prochaine Loi de programmation militaire. Celle qui est encore en cours avait prévu un investissement de 4 milliards d’euros, afin de renouveler une partie des capacités des forces françaises.
« L’enjeu de la prochaine LPM sera de confirmer cet effort dans la durée et de garantir une cohérence dans les différents programmes, puisque beaucoup ont un lien avec le domaine du spatial », a seulement dit M. Chiva… Mais au moment de son audition par les sénateurs, tous les grands arbitrages n’avaient pas encore été rendus.