170 Albatros cyber-espions au service de la France

[Deltafan]

Article RFI, avec le titre : L’albatros, cyber-espion des mers

http://www.rfi.fr/fr/podcasts/20200223- ... technology

On n'arrête pas le progrès !

Edit : oups édité avec le bon lien, suite au post d'Aquila ci-dessous

[*Aquila*]

Erreur de lien, je crois
C'est par là : http://www.rfi.fr/fr/podcasts/20200223- ... technology
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher... N'empêche, il fallait y penser !

[mek]

L'autre jour, je discutais avec un Albatros ...
Il m'a dit ceci : " L’être humain commence vraiment mais vraiment à me gonfler !! ".

[jojo]

Article RFI, avec le titre : L’albatros, cyber-espion des mers

http://specialdefense.over-blog.com/

On n'arrête pas le progrès !

En France, on n'a pas de Global Hawk, mais on a des idées

[ergo]

Pas cher, efficace, discret ... ca a beaucoup de bonne idée ça. Bien joué !

[Claymore]

Pendant mes année de Marine j'ai effectué une campagne d'un an, 2001-2002, à la RUN sur la frégate de surveillance Floréal qui y était basée, durant cette campagne nous avons effectué 4 ou 5 sorties dans les TAAF en surveillance de pêche dans la ZEE des îles Kerguelen et à chaque fois on a rien vu, pourtant c'est pas faute d'avoir pris toutes précautions avant de partir, on savait que des personnes renseignaient les "pirates" lorsqu'on appareillait, on gardait notre langue en ville ou on balançait des infos complètement à l'opposé de ce qui était prévu, partir au nord après l'appareillage en silence radio et radar, sauf navigation bien sûr, puis faire demi tour une fois la nuit tombée en s'écartant le la RUN, bref on a tout essayé ou presque.

Ensuite une fois là bas quand vous n'avez qu'un Panther qui puisse être vos yeux 200 nautiques devant ou autour du bateau mais que les conditions de mer ne vous permettent pas toujours de pouvoir le mettre en l'air et surtout le récupérer, on a d'ailleurs fait des trucs pas dans le manuel lors des postes avia mais qui fonctionnaient plutôt bien tout en étant en sécurité, j'avais dit en rigolant au chef de détachement qu'au lieu d'avoir un Panther qui ne peut pas toujours sortir ses griffes on aurait peut être mieux fait d'avoir une volière d'albatros à bord hé bah finalement j'avais vu juste !!! enfin presque

Faut les voir ces piafs dans 50 nœuds de vent, jouant avec les crêtes des vagues à gauche à droite, en montant et en descendant, le tout sans un seul battement d'aile , j'adorais monter en passerelle voir passer les albatros Royal tout près du bateau à hauteur de l'aileron extérieur tout en jetant un œil curieux à l'intérieur, tranquillou, impressionnant... mais mon préféré c'est l'albatros à sourcils noirs, un peu plus petit que le Royal mais magnifique et en plus grand nombre surtout.

[tanguy1991]

Retour poétique aux bases de l'aviation. Merveilleux.

J'avoue avoir longtemps regardé les oiseaux marin lors de mes descentes de quart, quand j'allais prendre l'air sur l'helideck. C'est dingue parfois d'être paumer "au milieu de nul part" sur la mer, et de quand même croiser ces animaux somptueux.

[kekelekou]

Du coup le passe-temps des marins des navires « ennemis » sera désormais de tirer ces majestueux volatiles histoire d’être sûr de ne pas prendre de risques...
Riche idée de mêler à nos gueguerres d’humains ces piafs qui n’ont rien demandé...

[Claymore]

Si tant est qu'ils y arrivent parce que d'après ce que j'ai compris les oiseaux n'ont pas besoin de trop s'approcher des bateaux pour les détecter, et puis bon, faire mouche sur un albatros qui vole vite et pas en ligne droite quand dehors t'as déjà du mal à tenir debout sans devoir s'accrocher à un bastingage ou s'appuyer sur une cloison, là moi je dis chapeau !

[Claymore]

Retour poétique aux bases de l'aviation. Merveilleux.

J'avoue avoir longtemps regardé les oiseaux marin lors de mes descentes de quart, quand j'allais prendre l'air sur l'helideck. C'est dingue parfois d'être paumer "au milieu de nul part" sur la mer, et de quand même croiser ces animaux somptueux.

Et pas qu'eux, en remontant des TAAF un jour on a récupéré un... faucon crécerelle ne me demandez pas ce qu'il foutait là mais ce qui est sûr c'est qu'il a dû être bien content de nous trouver, il est resté à bord 3 ou 4 jours pour se reposer perché dans la mâture ou sur les projecteurs de pont d'envol pour se mettre à l'abri, le cuistot lui montait les déchets qu'il enlevait des steaks ou de rôti pour le requinquer et ça a dû marcher parce qu'un beau matin on ne l'a plus vu, le lendemain on arrivait à quai.