Celà à même commencé avec le Mk IB.
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Bonjour Jojojojo a écrit :Il faut aussi accepter l'idée qui si tous les vieux briscards qui trainent ici avec une connaissance encyclopédique n'apprendront pas grand chose dans ce genre de publication, heureusement pour les éditeurs le public se renouvelle.
etc..
Donc bref, ce genre d'ouvrage ne vous apporte rien à vous, mais pour quelqu'un qui a un intérêt récent pour les warbirds il faut bien commencer par quelque chose...
+1, ce HS est un témoignage, pas un livre de référence sur ce qu'est ou a été le/les spits.VG-35 a écrit :Bonjour Jojojojo a écrit :Il faut aussi accepter l'idée qui si tous les vieux briscards qui trainent ici avec une connaissance encyclopédique n'apprendront pas grand chose dans ce genre de publication, heureusement pour les éditeurs le public se renouvelle.
etc..
Donc bref, ce genre d'ouvrage ne vous apporte rien à vous, mais pour quelqu'un qui a un intérêt récent pour les warbirds il faut bien commencer par quelque chose...
Oui justement, il vaut mieux à ce moment là de commencer par un bouquin de référence (du genre the Spitfire story de A Price) ou le travail de synthèse (trier l'essentiel de l'accéssoire) a déjà été fait puis lire celui là en complément. Il s'agit là plutôt d'un récit dont une partie ne constituant en rien une mine d'informations serait parfaitement compressible voire carrément "zappable".
Je m'explique: page 6 on s'en contrefiche que l'ami de Quill Bob Preller, était du squadron 17, qu'il était sud africain, louait des avions tiger Moth, votait mandéla et que sa grand mère faisait du vélo. Je regrette par contre qu'il ne cite pas p 24 de manière plus précise ou les têtes de rivets n'avaient plus besoin d'être noyés sur la cellule, car même aujourd'hui avec tous les outils et lesconaisances dont on dispose, c'est pas évident...
Amic
Encore une fois, le titre anglais permet de remettre les choses en place :VG-35 a écrit :
Oui justement, il vaut mieux à ce moment là de commencer par un bouquin de référence (du genre the Spitfire story de A Price) ou le travail de synthèse (trier l'essentiel de l'accéssoire) a déjà été fait puis lire celui là en complément. Il s'agit là plutôt d'un récit dont une partie ne constituant en rien une mine d'informations serait parfaitement compressible voire carrément "zappable".
Je m'explique: page 6 on s'en contrefiche que l'ami de Quill Bob Preller, était du squadron 17, qu'il était sud africain, louait des avions tiger Moth, votait mandéla et que sa grand mère faisait du vélo. Je regrette par contre qu'il ne cite pas p 24 de manière plus précise ou les têtes de rivets n'avaient plus besoin d'être noyés sur la cellule, car même aujourd'hui avec tous les outils et lesconaisances dont on dispose, c'est pas évident...
Amic
Non, il n'y a aucune raison d'être agressif et c'est pourquoi je ne le suis pas ...mais ironique.Encore une fois, le titre anglais permet de remettre les choses en place :
Ce bouquin est un témoignage dans lequel l'auteur dit son ressenti et ses souvenirs marquants il ne s'agit pas vraiment d'une description technique du développement du spit.
Qu'on y pêche des infos intéressantes ok, mais je ne vois pas de raison d'être agressif parce que l'auteur y parle de ses amis et parce qu'il ne donne pas toutes les informations qui t'intéresse.