Hi,
Reportage :
Dette publique, Fukushima, Typhon Roke : le Japon hésite entre punition divine et « attentat naturel »…
Partie I : les motifs d’une possible attaque
Plus d’un million d’évacués au Japon, plus d’une dizaine de morts et d’innombrables disparus, voilà le triste bilan après le passage fulgurant du typhon Roke sur le territoire nippon. Selon les médias locaux, cette catastrophe se surajoute à une vague meurtrière « d’attentats naturels » : les consciences au Japon se réveilleraient-elles ? Cette expression pour le moins ambigüe pourrait laisser y croire. Certains hauts responsables dans la hiérarchie des clans Yakuza commenceraient ouvertement à se lâcher : HAARP, le SURA russe, îles Kouriles et îles Sakhaline, tout est dit. Nous verrons cela plus loin… Le légendaire caractère zen des japonais pourrait s’estomper très vite devant la cruauté des faits dont l’enchaînement hallucinant trahit la signature d’une main suspecte, et l’expression « attentat naturel », pourtant non relayée par les médias occidentaux, résume bien la situation et le climat de suspicion permanent qui plane sur le Japon comme un nuage radioactif.
Le typhon Roke est passé près de la capitale Tokyo et de la centrale nucléaire de Fukushima avec des vents de 162 km/h. Le typhon n’est maintenant plus qu’une tempête tropicale qui bientôt disparaitra ainsi qu’un fantôme, tout droit sorti d’un mauvais rêve qui s’effacera avec le temps. Au total, c’est plus de 200 vols intérieurs qui ont été annulés, tandis qu’au moins 200 000 ménages dans le centre du Japon ont été privés d’électricité durant plusieurs nuits, selon des agences de presse japonaise. Les fortes pluies ont provoqué des inondations et des dommages aux routes dans des dizaines de lieux à Nagoya et dans plusieurs autres villes. La télévision Japonaise a montré des images de gens perdus au milieu d’une étendue infinie d’eau sale et boueuse, où ça et là on les voit jeter des regards vides alentour, cherchant des disparus qui ne reviendront jamais, tandis que des oripeaux inconnus, des débris de toutes sortes flottent parmi les cadavres, filant entre des restes de bâtiments engloutis. Les japonais vivent un monde apocalyptique en avant-première et en vitesse accélérée.
Les vents de ce typhon ont parfois atteint jusqu’à 212 km/h en moyenne et les 259 km/h en rafale en son centre… Les autorités ont procédé à l’évacuation de plus d’un million de personnes. C’est un bilan épouvantable pour le Japon qui est en plus l’un des pays les plus endettés du monde (5000 milliards de dollars de dette) avec les Etats-Unis, les britanniques et les français, comme si la tragédie de Fukushima ne lui suffisait pas, le Japon subit encore un typhon terrifiant et meurtrier, rappelant au pays du soleil levant les heures les plus sombres de son histoire, ressuscitant dans les rues de Tokyo les ombres dévastées des démons de l’ancien monde. Des associations nationalistes chinoises parlent d’un Japon « punit par les dieux du ciel » pour ne pas avoir reconnu les crimes commis sur le peuple chinois lors de la seconde guerre mondiale.
Comme on dit au Japon, « on se marie shinto et on meurt bouddhiste », peut-être que les japonais et leur gouvernement payent les dernières heures d’une dette karmique aussi lourde que tristement célèbre.
Cependant, des noyaux durs de journalistes indépendants japonais, sur leurs blogs, ne l’entendent pas de cette façon, et ils l’écrivent jusqu’à hanter la blogosphère japonaise : « ce sont les russes qui sont responsables, ils utilisent des armes climatiques comme les américains avec HAARP pour forcer la dépendance énergétique au gaz russe et l’endettement de notre pays. Tout le monde le sait, mais officiellement les armes climatiques n’existent pas, alors qu’elles sont même mentionnées dans certains traités européens. C’est absurde, le mensonge des médias internationaux est criminel », écrit sur son blog Daisuke Yoshida, journaliste indépendant de la banlieue d’Osaka, scandalisé par ce qui arrive à son pays : « Nous sommes une génération sacrifiée ». Ainsi, s’il s’avère que les russes ont frappé le Japon pour punir leur politique récente de revendication territoriale concernant les îles Kouriles et les îles Sakhaline que le Japon réclame à la Russie depuis 1945, comme l’ont fait les américains avec HAARP sur l’île d’Haïti, une guerre pourrait bien éclater entre les Yakusas et la mafia russe. Il faut préciser que depuis 1945 le Japon et la Russie n’ont signé aucun traité de paix, sans compter que lors de la guerre de 1905 opposant les russes aux japonais, guerre qui se termine par la victoire du Japon, les russes deviennent dans l’histoire moderne le premier peuple blanc à perdre face à une armée non-blanche, ils garderont alors une rancune profonde.
Ce n’est pas seulement pour des raisons historiques que le Japon souhaite récupérer ces îles, mais pour des raisons économiques : les îles Kouriles car les eaux sont parmi les plus poissonneuses au monde, et l’alimentation principale en protéine pour les japonais est le poisson ; les îles Sakhaline car elles sont riches en gaz et en matières premières, et le Japon pourrait ainsi relancer son économie endettée et surtout ne plus dépendre en gaz de la Russie et de ses voisins. Le Japon, depuis les années 1990, a massivement investit dans l’Extrême-Orient de la Russie, et ce jusqu’aux régions du lac Baïkal ; les japonais fournissent des produits divers, et notamment de l’aluminium. Des compagnies américaines, européennes, japonaises et russes possèdent des puits de pétrole et des gisements de gaz dans cette région stratégique que sont les îles Sakhaline et ses environs. Malgré la haine entre le bloc sino-russe et le bloc américano-japonais, des lignes de commerce maritime ont été mises en place, reliant les ports russes de Vladivostok et de Vanino aux ports japonais de Niigata et d’Otaru sur l’île d’Hokkaido. Il existe également une ligne de vols commerciaux entre l’île de Sakhaline et l’île d’Hokkaido. Les russes détruiront avec leur arme SURA le Japon s’il le faut, mais ils ne lâcheront rien.
Ils veulent garder les îles Kouriles pour la pêche et les réserves immenses d’hydrocarbures qu’elles recèlent. Comme le dit Henry Kissinger, « Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays, mais si vous contrôlez les semences, vous contrôlez l’alimentation. Et celui qui contrôle l’alimentation tient la population en son pouvoir ».Et puis, pour les russes, l’archipel des Kouriles forme un verrou stratégique pour la mer russe d’Okhotsk, ils conservent ainsi un atout politique, militaire et commercial sur la zone litigieuse tant convoitée. Moscou ne veut pas céder devant le gouvernement de Tokyo. Une guerre d’Etat à Etat étant impossible puisque une poignée de têtes nucléaires lancées à certains points stratégiques dans les flancs fragiles du Japon ferait couler tout l’archipel. Le Japon est comme un navire percé sur ses côtes qui ne tient que sur quelques rochers, si ces rochers venaient à exploser, nous pourrions dire adieu à 130 millions d’être humains.
C’est la raison principale d’ailleurs qui a mis a genoux, lors de la seconde guerre mondiale, l’empire japonais face à la bombe nucléaire américaine, car, après la destruction de Nagasaki et d’Hiroshima, les américains menaçaient d’utiliser leur bombe sur les soubassements de l’ile du japon et de la faire littéralement couler. Les japonais furent obligés de se rendre à l’évidence. La volonté, le « seishin » comme disent les japonais, ne pouvaient rien face à la technologie et le handicap naturel de leur pays. Eux qui durant des siècles avait été le seul peuple non-blanc à résister aux vagues de colonisation successives, ils avaient fini par se rendre malgré leur courage et leur génie. Tout se passe comme si l’histoire des hommes ne récompensait aucun mérite, aucune vertu. De ce constat clinique naît chez chaque japonais un sentiment terrible d’injustice.
Les mois qui viennent verront le peuple japonais choisir entre la résignation ou la résistance…jusqu’au suicide collectif de toute une nation. L’histoire de l’Atlantide va-t-elle se répéter devant nos yeux impuissants ? Qui osera rompre le tabou et accuser les russes, qui osera parler d’armes climatiques sans passer pour fou, et comment accuser de toute façon les russes puisque si un pays reconnaissait officiellement cette catégorie d’armes de destruction massive inconnue du grand public, cela pourrait être considéré par les États-Unis d’Amérique comme une dénonciation implicite de leurs attentats criminels sur Haïti, le Honduras et le Venezuela, dont les morts se comptent par centaines de milliers. La situation semble désespérée pour le japon, le manga Akira semble apparaitre aujourd’hui comme la première prophétie néo-biblique mise en bande dessinée, et non plus comme une simple fiction de génie.
Quel événement ou quel homme pourrait sauver un Japon au bord du gouffre ? Les Kamis restent muets, et l’archipel s’enfonçant à mesure dans l’océan, le pays du soleil levant pourrait bien devenir le pays de la nuit éternelle, une légende endormie sous les eaux.
Partie II : le Japon, laboratoire pour armes climatiques ?
Depuis longtemps les USA et la Russie sont suspectés de développer des armes météorologiques. L’arme électromagnétique des russes s’appelle SURA, celle des américains s’appelle HAARP, il est à noter que le projet russe SURA est né 12 ans avant le projet américain baptisé HAARP. Ces armes de destruction massive sont une source de pouvoir immense destiné sur le long terme à remplacer les armes nucléaires. Ces armes climatiques et sismiques sont tenus secrètes pour une large partie de l’opinion publique, ce qui assure un pouvoir suprême car on ne peut accuser personne d’une tempête, d’un tsunami ou d’un cyclone, et encore moins d’être responsable d’un séisme faisant des milliers de morts…La nature est un coupable qui arrange tout le monde.
La population ne possède aucun outil de travail véritablement intellectuel. Les gens du commun, hélas, n’ont aucune culture scientifique, ils ne connaissent pas les travaux d’un Nikola Tesla ou d’un Otis Carr, d’un Evgeny Podkletnov ou d’un Rudolf Zinsser. Et tout le drame réside ici, car c’est le savoir qui détermine notre pensée et nos actions.
Et pourtant, ces armes climatiques sont capables de provoquer une influence électromagnétique sur l’ionosphère et sur la magnétosphère terrestre. Elles peuvent ainsi créer et moduler à leur guise des aurores boréales artificielles, des boules de lumière, des jeux luminescents animés ; elles peuvent communiquer par de basses fréquences avec des sous-marins et ce à des milliers de kilomètres ; elles ont par ailleurs la capacité de sonder les sols jusqu’à 15 kilomètres de profondeur, détectant ainsi la moindre cavité, les complexes souterrains militaires de l’ennemi ; ces armes peuvent aussi bien détruire tout satellite ou n’importe quel appareil électronique, que le brouiller ou en prendre tout simplement le contrôle. En agissant sur l’ionosphère, elles peuvent produire des changements météorologiques et des catastrophes naturelles : typhon, cyclone, tsunami, tremblement de terre, tempête. Les cyclones Katrina et Rita en sont de parfaits exemples. On peut aisément distinguer un événement naturel d’un événement artificiel : quand ces armes sont utilisées, elles produisent un rayonnement vert ou bleu dans le ciel. Ces lueurs fantastiques ont systématiquement été observées par les populations lors des séismes d’Haïti et du Sichuan en Chine en 2008, ainsi que lors des séismes du japon en 2011 qui ont suivi le tsunami : à chaque fois, les séismes étaient également d’une profondeur de 10 km. Une série de séismes de la même profondeur, sur des endroits différents du globe est impossible naturellement. Secondement, les lueurs n’apparaissent que lors des séismes profonds de 10 kilomètres. Ces lueurs et cette profondeur exacte, systématique, sont la signature irréfragable de ces armes climatiques.
Le HAARP russe se nomme SURA, il précède son homologue américain HAARP de 12 ans. Leurs installations se ressemblent comme des jumeaux. Comparer par vous-même :
Vue générale du champ d’antenne de SURA.
Et maintenant HAARP en Alaska:
Site H.A.A.R.P. près de Gakona, située en Alaska :
H.A.A.R.P. ( High frequency Active Auroral Research Program)
L’installation du « chauffage ionosphérique » SURA, selon les termes de l’armée russe, est située près de la petite ville de Vasilsursk, près le la Volga et à 100 km de Nizny Novgorod. Elle est capable d’irradier 190 mégawatts dans la gamme des 4.5 à 9.3 MHz, ce qui représente la puissance d’une petite centrale nucléaire. Cette installation aurait vu le jour en 1981 (HAARP, aux USA, naît en 1993). Ce qui est risible à souhait c’est que le site anglophone de Wikipedia annonce que les chercheurs de SURA ont découvert qu’on pouvait moduler l’ionosphère en basse fréquence, comme si c’était une grande découverte… C’est précisément un des buts de ce type d’installation : pouvoir utiliser l’ionosphère comme une immense antenne afin d’émettre en très basse fréquence pour communiquer avec les sous-marins (seules les très basses fréquences pénètrent profondément dans l’océan), ainsi que pour développer toutes ses autres potentialités dont nous avons déjà parlé précédemment.
Ces armes sismiques sont couplées à des générateurs impulsionnels, à plasma et à résonance combinés à des bombes à onde de choc. Le système expérimental des Etats-Unis (High frequency Active Auroral Research Program, dit « HAARP ») permet également de créer des anomalies climatiques afin de provoquer des inondations, des sécheresses et des ouragans. les données disponibles sur des dizaines de séismes coïncident avec celles du tremblement de terre de magnitude 7,8 sur l’échelle de Richter survenu au Sichuan (Chine), le 12 mai 2008, également causé par des ondes électromagnétiques HAARP. On observe une corrélation entre les activités sismiques et l’ionosphère, caractéristique de HAARP :
1. Les tremblements de terre dans lesquels la profondeur est linéairement identique dans la même faille, sont provoqués par une projection linéaire de fréquences induites.
2. Des satellites coordonnés permettent d’engendrer des projections concentrées de fréquences dans des points déterminés
3. Un diagramme montre que des tremblements de terre considérés comme artificiels se propagent linéairement à la même profondeur
Voici un tableau assez récapitulatif :
Localisation Date Profondeur
Venezuela 8 janvier 2010 10 km
Honduras 11 janvier 2010 10 km
Haïti 12 janvier 2010 10 km
Les Etats-Unis d’Amérique comme le gouvernement de Moscou continueront à mentir et à faire passer pour conspirationnistes, ou pour terroristes, tous ceux qui tenteront de révéler ces armes au grand public. Pourquoi ? Réponse : parce-que l’un comme l’autre ils se tiennent à bout portant, ils dépendent l’un de l’autre, car révéler l’existence de ces armes climatiques serait néfaste pour la politique des américains, aussi bien que pour celle des russes. Les deux perdent, personne ne gagne. Ils feront tout pour conserver ce pouvoir d’un prix inestimable car la vraie puissance n’est pas « l’invincibilité », mais « l’invisibilité ». Car on ne peut combattre ni en vouloir au vent, au soleil, etc. C’est la raison pour laquelle le gouvernement américain dépense des milliards dans sa propagande de réchauffement climatique pour assurer la survie du plus gros mensonge de notre temps.
En effet, ces armes climatiques dont les essais se démultiplient, expérimentalement ou pour agir avec comme leviers d’influence sur tel ou tel pays récalcitrant, désorganise tout notre écosystème, ce qui engendre des conséquences néfastes qui se traduisent par des déséquilibres atmosphériques et énergétiques. C’est pour cela que les séismes ou les sécheresses pourraient s’avérer sur des périodes de plus en plus longues incontrôlables. Les américains et les russes jouent aux apprentis-sorciers, ils se prennent pour des dieux, mais ils oublient qu’ils ne sont que des hommes marchant sur une planète, pour eux immenses, qui n’est qu’un grain de sable dans l’univers. Ils ne commanderont jamais au soleil ni à la lune. Le seul pouvoir absolu dont dispose l’homme est celui qu’il exerce sur son esprit. Seul le progrès intérieur libère l’homme. Seul l’amour et la sagesse pourront sauver le peu de résistants dans ce monde à l’agonie. Que ces derniers écoutent leur cœur pour qu’ils se rappellent pourquoi ils combattent l’empire mondial.
Elias Zahra pour Wikistrike
source :
Voir « Les armes sismiques » par Jean-Pierre Petit, 1er mars 2006.
Officiellement, les forces US étaient prépositionnées autour d’Haïti dans le cadre d’un exercice militaire simulant… une intervention humanitaire en Haïti. Cf. « Defense launches online system to coordinate Haiti relief efforts », par Bob Brewin, Govexec.com, 15 janvier 2010.
Le Programme HAARP : science ou désastre ?, par Luc Mampaey, Groupe de recherches et d’information sur la paix et la sécurité (Bruxelles, 1998).
Le 2 avril 1997, lors d’une conférence sur le contre terrorisme, William Cohen, secrétaire d’Etat à la Défense américain affirmait : « … d’autres terroristes sont engagés dans un type d’action écologique où ils peuvent altérer le climat, déclencher des tremblements de terre, des éruptions volcaniques en utilisant des ondes électromagnétiques… Tout ceci est réel… » Voulait-il dire « terroristes » ou « certaines nations », hypocrisie de politique…Si des terroristes ont une telle arme, alors les grandes nations aussi.
voir l’article sur le rapport européen de 1999 : wikistrike.over-blog.com
Selon le Russia today, un rapport de l’armée russe a confirmé l’attaque sur Haïti par HAARP, accusant ainsi directement sans les nommé les américains. Le rapport indique en outre que le système de réalisation de ces essais est la fréquence élevée du programme de recherche active auroral (HAARP). Les données coïncident également avec un rapport précédent qui associe le séisme de magnitude 7,8 en Chine avec HAARP.
Digital Journal a rapporté que le président vénézuélien Hugo Chavez a accusé les Etats-Unis d’avoir provoqué le tremblement de terre en Haïti, lequel a tué plus de 100 000 personnes, grâce à une arme tectonique.
Bien que la Russie ait accusé les Etats-Unis de posséder une telle arme, le chef du parti Vert de Géorgie a affirmé que Moscou possédait également des armes similaires, et ce depuis plus longtemps que son rival américain, il a même accusé Moscou d’avoir provoqué un séisme sur le territoire géorgien il y a plusieurs années.
Voir l’article de Thierry Meyssan sur voltairenet.org : « les Etats-Unis ont-ils provoqué le séisme d’Haïti ? » voltairenet.org
Voir l’article « Haïti et l’arme sismique » sur voltairenet.org : voltairenet.org
Source :
http://www.choix-realite.org/5220/le-ja ... russe-sura
En 1986 aprés l'accident nucléaire à Tchernobyl, l'armée russe utilisa le SURA afin de "perçer" les nuages radio-actifs, plus un "aérosol" à base d' Azote / Chlor d'argent..
En 1994, la france a utilisé le systeme Haarp au Rwanda.
SURA - HAARP : armes climatiques
Re: SURA - HAARP : armes climatiques
#3Gros délire : ils auraient aussi pu se repaître du malheur des Haïtiens, des philippins ...
Re: SURA - HAARP : armes climatiques
#6Mouarf...pourtant avé le micro-onde...çà marche...la coca a explosé !!